Le grand dévoilement de l'être humain, un dépouillement total, dans sa plus grande nudité.
Tout un évènement pour celui qui a conscience de ce grand dévoilement. Tout un revirement, l'être associé à la forme humaine, identifié à celui-ci, à être dans les croyances, à vivre dans la dépendance, en se racontant les mêmes histoires, en tant que personnage dans un monde de personnage, d'histoires et de peurs. Que des mémoires qui empêchent l'être humain de comprendre sa vraie. Qu'en est-il de ce dévoilement, l'être humain semblable à aux mille feuilles, des couches et des couches d'illusions. Un être d'une pure conscience, limité à être ce personnage, victime de ses histoires, croyances et peurs, une dualité illusoire, se croyant séparé de tout. Tout un dégraissage, tout un dépouillement, du jour au lendemain de faire cette transition, quitté une zone de confort pour aller vers l'inconnu, vers cette zone où tout est épuré, se trouve juste la pure conscience, libre de toute illusion, libre de toute appartenance, libre de tout.
Ce grand dévoilement qui fait que l'être humain se déshabille de tous ses masques, de tous ses rôles, n'étant plus ce personnage qui croit sauver ce monde, qui croit être la victime de celui-ci tout en étant le juge, bourreau d'office. Se dévêtir et ainsi tout jeter à la poubelle cosmique, remettre tout au recyclage, afin que cela soit transformé à nouveau en énergie lumineuse, rien ne se perd, tout change d'aspect. Pas si évident pour l'être humain de se dévêtir, de ne plus être dans sa zone de confort, se cachant derrière ses croyances, ses histoires et ses peurs, cela est rassurant pour la simple raison qu'il connaît bien la chanson de la dualité. Mais qu'en est-il de l'unité, de ne plus être ce personnage et endosser cette pure conscience libre de tout repère, s'exposant dans sa nudité totale, libre comme le vent d'aller là où l'amour nous porte. Goûter à l'éternité, goûter à l'essentiel, en la lumière de l'amour, goûter à la nature, à toute la diversité de la vie, à toutes les illusions, à toutes les créations. Voir que l'on n'est rien qu'une pure conscience tout en étant la globalité, faire face à sa projection, à sa création. faire face à cette autre manifestation ne soit, à cette autre conscience endossant la forme humaine où quelle qu'en soit sa forme. Réaliser qu'en cet instant, il n'y a que soi, le soi manifesté, le soi projeté hors du verbe.
Que reste-t-il après ce dépouillement de soi, de ce que l'on croit et pense être ? Rien que la pure conscience, peu importe le nom, elle en a pas besoin car elle est dépouillée de tout, de tous les personnages, de toutes les formes, de toutes les histoires, de toutes les croyances et peurs. Quand l'être réalise qu'en fait qu'il n'y a que lui, que soi avec son soi manifeste, projeté, réalisé en tant que création diverse, dans cette infinitude, dans cet infiniment petit et grand. L'être conscient de ce qu'il est, il n'a plus le même regard, avant ce dévoilement, avant que tout soit dépouillé, il percevait que les couches successives des mille feuilles et non la vérité toute crue, sans artifices. En tant que conscience avisée, détenant cette humble vérité, continuons-nous à mettre des couches et des couches ? En gardant cette zone de confort, qu'est l'illusion des croyances, des personnages, des histoires, de toutes ses mémoires qui voilent ce que nous sommes en réalité ou bien nous endossons notre véritable nature divine, dans un dépouillement total à percevoir que la lumière, que l'unité, que l'amour divin.
La seule vérité c'est que tout est un, tout en un, l'un en tout. J'écris ce message, mais en fait je le partage à moi-même car tout est un. Quand je parle, je parle à qui, à moi-même, quelle que soit l'action que je pose envers qui ou quoi que ce soit, je le fais à moi-même. Dans cette nudité totale de ce que je suis, de ce que nous sommes, tout ce que l'on fait se trouve être soi, nous, maintenant que nous savons, que reste-t-il à faire ? Partager cette lumière et aimer tout d'un même amour, que du bon, que du bonheur, que de la joie pour la simple raison que tout est un, que tout est soi, qu'en fait cette pure conscience ce qui nous unit tous. Pour cela il suffit juste de se dépouiller et tout est dévoilé.
Tout un évènement pour celui qui a conscience de ce grand dévoilement. Tout un revirement, l'être associé à la forme humaine, identifié à celui-ci, à être dans les croyances, à vivre dans la dépendance, en se racontant les mêmes histoires, en tant que personnage dans un monde de personnage, d'histoires et de peurs. Que des mémoires qui empêchent l'être humain de comprendre sa vraie. Qu'en est-il de ce dévoilement, l'être humain semblable à aux mille feuilles, des couches et des couches d'illusions. Un être d'une pure conscience, limité à être ce personnage, victime de ses histoires, croyances et peurs, une dualité illusoire, se croyant séparé de tout. Tout un dégraissage, tout un dépouillement, du jour au lendemain de faire cette transition, quitté une zone de confort pour aller vers l'inconnu, vers cette zone où tout est épuré, se trouve juste la pure conscience, libre de toute illusion, libre de toute appartenance, libre de tout.
Ce grand dévoilement qui fait que l'être humain se déshabille de tous ses masques, de tous ses rôles, n'étant plus ce personnage qui croit sauver ce monde, qui croit être la victime de celui-ci tout en étant le juge, bourreau d'office. Se dévêtir et ainsi tout jeter à la poubelle cosmique, remettre tout au recyclage, afin que cela soit transformé à nouveau en énergie lumineuse, rien ne se perd, tout change d'aspect. Pas si évident pour l'être humain de se dévêtir, de ne plus être dans sa zone de confort, se cachant derrière ses croyances, ses histoires et ses peurs, cela est rassurant pour la simple raison qu'il connaît bien la chanson de la dualité. Mais qu'en est-il de l'unité, de ne plus être ce personnage et endosser cette pure conscience libre de tout repère, s'exposant dans sa nudité totale, libre comme le vent d'aller là où l'amour nous porte. Goûter à l'éternité, goûter à l'essentiel, en la lumière de l'amour, goûter à la nature, à toute la diversité de la vie, à toutes les illusions, à toutes les créations. Voir que l'on n'est rien qu'une pure conscience tout en étant la globalité, faire face à sa projection, à sa création. faire face à cette autre manifestation ne soit, à cette autre conscience endossant la forme humaine où quelle qu'en soit sa forme. Réaliser qu'en cet instant, il n'y a que soi, le soi manifesté, le soi projeté hors du verbe.
Que reste-t-il après ce dépouillement de soi, de ce que l'on croit et pense être ? Rien que la pure conscience, peu importe le nom, elle en a pas besoin car elle est dépouillée de tout, de tous les personnages, de toutes les formes, de toutes les histoires, de toutes les croyances et peurs. Quand l'être réalise qu'en fait qu'il n'y a que lui, que soi avec son soi manifeste, projeté, réalisé en tant que création diverse, dans cette infinitude, dans cet infiniment petit et grand. L'être conscient de ce qu'il est, il n'a plus le même regard, avant ce dévoilement, avant que tout soit dépouillé, il percevait que les couches successives des mille feuilles et non la vérité toute crue, sans artifices. En tant que conscience avisée, détenant cette humble vérité, continuons-nous à mettre des couches et des couches ? En gardant cette zone de confort, qu'est l'illusion des croyances, des personnages, des histoires, de toutes ses mémoires qui voilent ce que nous sommes en réalité ou bien nous endossons notre véritable nature divine, dans un dépouillement total à percevoir que la lumière, que l'unité, que l'amour divin.
La seule vérité c'est que tout est un, tout en un, l'un en tout. J'écris ce message, mais en fait je le partage à moi-même car tout est un. Quand je parle, je parle à qui, à moi-même, quelle que soit l'action que je pose envers qui ou quoi que ce soit, je le fais à moi-même. Dans cette nudité totale de ce que je suis, de ce que nous sommes, tout ce que l'on fait se trouve être soi, nous, maintenant que nous savons, que reste-t-il à faire ? Partager cette lumière et aimer tout d'un même amour, que du bon, que du bonheur, que de la joie pour la simple raison que tout est un, que tout est soi, qu'en fait cette pure conscience ce qui nous unit tous. Pour cela il suffit juste de se dépouiller et tout est dévoilé.