dimanche 31 mars 2019

Rien n'existe à part notre vraie nature divine, en cette présence éternelle, la lumière de l'amour.

Rien n'existe à part notre vraie nature divine, en cette présence éternelle, la lumière de l'amour. 




Vivre l'instant présent, accueillir et accepter ce qui se dévoile, se révèle, tels des nuages dans le ciel. N'ayons aucune pesée qui vient nourrir ce qui est dévoilé. Comprendre que nous devons être le contraire de tout conditionnement, ce qui veut dire avoir aucune identification à quoi que ce soit, ni à ce corps, ni à ce que l'on croit et pense être, tout en réalisant que tout est lumière. Ce que nous percevons n'est que le fruit du conditionnement, qui passe et qui revient. L'important est d'être en paix, en harmonie, en joie, notre amour ne doit pas être identifié à quoi que ce soit, pour la simple raison que tout est illusion. La seule réalité est cette présence éternelle, cette lumière dont tout en fait partie,  tout n'est que projection, comme il en est pour toute réalité. Cela est semblable à un rêve, tant que nous savons que c'est un rêve, nous en sommes l'observateur, tout en étant le créateur. C'est en s'identifiant que l'on croit que tout est réel et qu'il y a conditionnement. Car celui qui sait qu'il rêve, sait que tout est illusion, que c'est un rêve.
Qu'importe ce qu'il expérimente dans le rêve, quel que soit le conditionnement, il n'est pas sous son emprise. Il sait que tôt ou tard, il en sort de ce rêve éphémère et ainsi retrouve en totalité sa présence éternelle, qui n'est pas assujettie au rêve, ni au temps de celui-ci, ni à son espace, dimensions, ni à aucune pensée venant des conditionnements du rêve. Alors, il revient à cette présence éternelle, libre de toute identification, à cet amour qui est dénudé de tout concept, croyance, de tout conditionnement.

Nous pouvons à la fois rêver de façon éveiller pour ne plus être dans le conditionnement, mais en tant que lumière de l'amour qui traverse, transcende et consume tout dans le rêve éphémère par le feu sacré de l'amour, de sa présence éternelle qui précède toute illusion, création, réalité, rêve. Plus aucune identification, que la lumière en présence consumant tout par le feu sacré de l'amour. Oublions tous les conditionnements, toutes les identifications, toutes les pensées issues de ce rêve éphémère, au-delà de toutes ces apparences, de tous ces voiles, il y a que la lumière éternelle, cette présence qui est notre vraie nature divine. Elle est de toute éternité, par contre le rêve éphémère n'est que conditionnement, qu'identification à quelque chose qui n'est pas réel, qui ne transcende, ni ne traverse le temps, l'espace et dimensions, seule la lumière de l'amour consume tout et nous fait prendre connaissance de notre vraie nature divine, l'amour dénudé de tout. Ce sont les identifications, les conditionnements et les pensées qui empêchent de sortir du rêve éphémère. Dans ce rêve, nous nous sommes créé un personnage qui contribue à nourrir le livre d'histoire, qui alimente l'illusion de dualité et de séparation. Rien n'existe à part notre vraie nature divine, en cette présence éternelle, la lumière de l'amour.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette

mercredi 27 mars 2019

Qu'importe ce que nous croyons, nous recevons tous la lumière appropriée, l'amour de notre vraie nature divine, en cette présence éternelle de l'amour.

Qu'importe ce que nous croyons, nous recevons tous la lumière appropriée, l'amour de notre vraie nature divine, en cette présence éternelle de l'amour. 

Sommes-nous vraiment seuls en cet univers, en ce monde, en ce rêve éphémère ? On peut croire que nous sommes seuls marchant dans ce monde, dans cet univers à la recherche de notre véritable nature divine. Comment ne pas se sentir seule quand ce monde rejette notre amour, rejette notre présence pour la simple raison que notre seul but est aimé. Pouvons-nous vivre dans cette attente d'être aimé ? En fait, sommes-nous en train de rêver ? Croyant être seul à chercher cet amour incommensurable, cet amour dénudé de tout concept, un amour qui ne rejette rien, qui accueille et accepte tout d'un même amour. Est-ce possible d'atteindre cet amour qui ne demande que d'aimer ? En fait, nous ne sommes jamais seuls, on peut le croire, pour la simple raison que l'on se retrouve dans une forme restreinte, cette forme de matière limitée à ses sens, qui nous fait croire à l'illusion de dualité et de séparation.



Est-il possible de vivre cet amour dénudé de tout concept, d'être aimé pour ce que l'on est ? En fait, nous ne sommes jamais seuls, nous recevons en tout temps cet amour dénudé de tout concept. Nous sommes tellement plongés dans nos émotions, dans nos sentiments que l'on oublie qu'en tout temps nous recevons cet amour, cette lumière. Nous nous sentons seuls car nous ne prenons pas connaissance de ce que nous recevons en tant qu'amour. Je vais vous dévoiler un secret, nous ne sommes jamais nés, nous ne sommes jamais mort, le fait de quitter de façon naturelle, accidentelle ou occasionné par d'autres moyens, nous laisse croire que la mort existe, comme pour la naissance. En fait, nous précédons toute création, toute dimension, temps et espace, nous sommes cette présence éternelle. Le fait de vivre cette expérience dans la forme humaine, nous laisse croire à la naissance et à la mort. Nous ne quittons pas une forme, c'est la forme qui nous quitte, soit par vieillissement, soit par maladie, par accident ou autres.

En fait, nous expérimentons notre propre création illusoire, un rêve éphémère où tout est possible, nous pouvons être partout en tout et avec tout, le temps, l'espace et les dimensions, ne sont que les instruments de l'illusion afin de rendre cela réel, vivant. On croit avoir une âme, une conscience et un esprit pour tout simplement s'accrocher au rêve éphémère, de pouvoir y sentir notre présence. Il y a un nombre incalculable de formes de vie, dans toute cette matrice, dans cet univers infini et dans d'autres plans de conscience, quoi qu'il en soit, tout est illusion, tout se manifeste en un seul instant d'éternité, dans cet ici et maintenant. Nous sommes tellement identifiés à la forme que l'on croit au temps, à son unité de mesure que sont les secondes, minutes, heures, jours et années et ainsi de suite, on y voit défiler le temps, qui en fait se trouve être une illusion de l'esprit, puisque en tant que présence éternelle nous n'avons jamais quitté quoi que ce soit, nous sommes toujours hors du temps, de l'espace, dimensions, autres sphères de consciences.

On se croit seul et pourtant, c'est ce rêve éphémère qui nous le fait croire, car on s'identifie à cette grande pièce de théâtre. Si je vous disais que tout est déjà accompli, que chacun est cette présence éternelle, qu'il n'a jamais eue de séparation, ni de dualité, ni de souffrance ou de manque d'amour. Peu importe ce qui nous importune, qui nous fait souffrir, qui nous fait réagir négativement ou positivement, tout est illusion, il y a que la présence éternelle qui s'actionne dans tout le rêve éphémère à vivre toutes les possibilités possibles et cela dans tous les espaces, dans le temps et dans toutes les dimensions. On croit que nous sommes seuls car nous ne réalisons pas que tout est la même présence éternelle qui se déploie en toute chose. Le plus drôle c'est en tant que présence nous n'avons jamais quitté la source originelle, en fait tout est que projection, illusion et on se laisse prendre au jeu. Il suffit de vivre la perte d'un être cher pour croire à la mort ou assister à une naissance pour croire en la vie.

Qu'est-ce que la vie ? La vie n'est que la manifestation d'une forme pour permettre à la présence de l'utiliser comme un véhicule de lumière, comme il en est pour l'âme et pour l'esprit. Ce qui permet à la vie d'être, c'est la présence éternelle et lorsque cette forme ne peut plus assurer ses fonctions, en tant que véhicules de lumière, nous passons à un autre pour ainsi continuer notre apprentissage et expérience dans le rêve éphémère afin de comprendre notre vraie nature divine. Qu'importe le temps, l'espace ou dimensions, en tant que présence éternelle on se trouve en toute chose, en tout ce qui est, dans toute la matrice, tout est quantique, tout se vit dans cet ici et maintenant. Cela peut paraître inimaginable que cela se passe ainsi. Lorsque nous réalisons que nous ne sommes pas la forme mais bien cette présence éternelle, nous ne sommes plus dans l'attente de quoi que ce soit, nous voyons ce monde, cet univers, ce rêve éphémère avec un nouveau regard, nous avons que de la gratitude, car tout est la présence éternelle en action, en la lumière de l'amour.

Nous recevons en tout temps son amour dénudé de tout concept, la lumière appropriée pour nous faire voir que nous sommes à l'origine de notre propre souffrance, de notre propre manque d'amour, de notre propre solitude, pour la simple raison que l'on cherche à obtenir cet amour, quand nous avons déjà tout en nous. Nous ne sommes pas la souffrance, les maux, les blessures, ni la forme, ni la conscience, ni l'âme et l'esprit, nous sommes cette présence éternelle qui se révèle et se dévoile à elle-même par le rêve éphémère, par toutes les dimensions, par toutes les sphères de conscience, par le temps et l'espace. Qu'importe la réalité qui est nôtre, elle est la lumière appropriée, cet amour dénudé de tout concept que nous recevons de la présence éternelle, de notre source originelle. Nous n'avons jamais quitté la source originelle, nous ne sommes jamais nés comme nous ne sommes jamais mort, nous le croyons pour la simple raison que l'on s'identifie à la forme au lieu de s'identifier à la présence qui a permis à la forme de vivre.

Pouvons-nous juger les actions de ce monde, de cet univers, de tout ce qui se passe dans le rêve éphémère ? Lorsque l'on réalise que tout est un, que nous ne sommes pas la forme mais bien cette présence éternelle en action, nous ne pouvons plus juger qui ou quoi que ce soit, quelles que soient les actions et les réactions, tout est toujours juste, on peut croire que cela est injuste, que cela n'a pas sa raison d'être. Ce sont par les épreuves de la vie, que l'on avance, que l'on est en mesure d'avancer et de se questionner, ce sont ces apprentissages et expériences avec la vie, que la présence éternelle nous dévoile et nous révèle sa présence et son amour. Lorsque nous transcendons notre conscience, ainsi toutes les croyances, tous les concepts, toutes les histoires, en se dépouillant et en se dénudant de tout, cette vérité s'installe et tous les voiles tombent de l'illusion de dualité et de séparation.

C'est par le vécu, c'est par l'amour dénudé de tout concept que l'on réalise que tout est illusion et que nous sommes tous accomplis. Il faut juste sortir du rêve éphémère, comment ? Quelle que soit la façon, la présence éternelle sait comment s'y prendre, car chacun le vit différemment cet éveil à sa vraie nature divine et qu'en fait il n'y a que la lumière de l'amour. En vivant cet éveil, tout est accompli, nous ne sommes plus identifiés à ce rêve éphémère et à tout ce qui la compose. Un seul regard et c'est celui de la lumière de l'amour, notre essence éternelle. Qu'importe ce que nous croyons, nous recevons tous la lumière appropriée, l'amour de notre vraie nature divine, en cette présence éternelle de l'amour.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette 

Nous sommes la présence éternelle qui se révèle à elle-même par la lumière appropriée, lumière de l'amour, de l'unité.

Nous sommes la présence éternelle qui se révèle à elle-même par la lumière appropriée, lumière de l'amour, de l'unité.

Parlons de la lumière appropriée, en fait tout ce que l'on vit est toujours juste, tout a sa raison d'être. Pourquoi en est-il ainsi ? On ne réalise pas qu'en fait que tout est mis en place pour nous dévoiler et nous révéler notre vraie nature divine. En fait la réalité n'est rien d'autre que notre propre création. On aura beau se rebeller, se mettre en colère, vivre de l'injustice ou autres, rien ne changera ce qui se passe dans l'instant présent, il est un présent, voir un cadeau pour prendre connaissance de qui on est et non de ce que l'on croit et pense être. Plusieurs diront que vivre des épreuves, des trahisons, des injustices, des humiliations, des rejets ou des abandons, ce n'est pas des cadeaux, des présents, ils verront cela comme des souffrances, des maux, un manque d'amour et non comme de quoi, que tout prend son origine en son propre cœur. Ils ne comprennent pas qu'ils en sont la cause, pour la simple raison qu'ils s'identifient à leur propre conscience qui juge ce qui est bon ou pas, ne se remettant pas en cause.


Qu'importent comment les épreuves peut-être perçut ? Tout à sa raison d'être et tout est juste, la réalité ne fait que refléter la lumière nécessaire à notre propre réalisation. Le plus drôle c'est que nous sommes déjà réalisé, que nous sommes jamais nés, jamais mort, en tant que présence éternelle. Nous ne croyons pas être réalisés pour la simple raison que l'on s'identifie à la forme, à la conscience, à l'âme et à l'esprit. Tant il y a identification à quoi que ce soit dans ce que nous croyons être, nous n'avons pas un regard de la globalité, la réalité, qui se présente se trouve être la manifestation de la lumière appropriée qui nous fait vivre l'instant présent, cette relation d'unité. En fait, nous vivons avec notre propre reflet, nous révélant nos propres blessures, maux, mal-être comme il en est pour notre bien-être, ce qui se résume par l'illusion de dualité et de séparation. On croit être séparé de tout, mais qu'en fait tout est nous. La difficulté est de réaliser qu'en fait que tout est un, tout est notre reflet, tout est notre création, qu'importe qui nous sommes en tant que personne, nous sommes tous la même présence évoluant dans différentes réalités, car personne ne vit la même réalité, les mêmes épreuves, mais le fond reste le même pour tous. Tous se trouvent être confrontés à sa propre création, tout en étant la même présence.

Tant que nous croyons être un être évoluant dans la forme humaine, possédant une conscience, une âme et un esprit, on se dissocie du reste, en croyant vivre une réalité qui nous dépasse par toute cette illusion de dualité et de séparation, par ce manque d'amour universel. On se croit victime et on croit vivre de l'injustice. En fait, nous ne réalisons pas que nous créons notre propre réalité, nous sommes responsables de ce que nous vivons, expérimentons. J'entends dire que nous ne sommes pas responsable des maux de ce monde, de sa souffrance, qu'en fait nous en sommes les victimes. Ce que nous ne réalisons pas c'est que nous sommes tout ce qui se trouve dans la réalité, dans cet univers, dans cette matrice, nous ne sommes pas juste cette forme dans laquelle nous prenons conscience de cette réalité, nous en sommes la totalité. Tout ce que nous vivons m'est que la résultante à cette identification à la forme, aux émotions et aux sentiments engendrés, ce qui crée une réalité à l'image de notre propre identification et cela à travers notre propre création. On croit que chacun vit d'une façon individuelle, mais qu'en fait que tout est lié, que tout en est le centre, la même présence éternelle. Quand nous réalisons que tout est notre propre reflet, création, on réalise qu'en fait que tout contribue à nous apporter cet éveil à sa vraie nature divine.

À comprendre le pourquoi de l'illusion de dualité et de séparation, lorsque l'on est prêt à entendre cette vérité, celle-ci nous est dévoilé par un scénario qui nous est propre à chacun. Afin de se dévoiler et se révéler à soi, que nous sommes la présence éternelle qui prend connaissance que tout contribue à apporter cet éveil, qui nous unit tous en un. C'est ainsi que nous intégrons la vérité, que tout ce temps consacré aux croyances, aux concepts, archétypes ou autres, en nous gardant prisonniers de cet enfermement, de ce rêve éphémère. Tout change quand nous réalisons que tout est un miroir afin de voir notre propre aveuglement, ignorance, que toute identification alimente l'illusion, qui nous voile notre vraie nature divine, en nous gardant dans cet enfermement. On réalise qu'en fait, que tout ce que nous croyons n'est qu'illusion et que la vérité a toujours été présente, toujours à recevoir la lumière appropriée pour sortir de ce rêve éphémère. En réalisant que la seule vérité est avant toute création, que nous n'avons jamais quitté la source originelle, qu'en tout temps, il y avait cette unité. Nous ne pouvions la voir pour la simple raison que notre regard était posé sur la forme, sur la conscience, sur l'âme et l'esprit qui ne sont qu'apparences, illusions. De toute éternité, nous sommes la présence éternelle, la lumière de l'amour, dénudé de tout concept.

C'est ainsi que tout se dissout, que toute illusion disparaît pour voir ce qui se trouve au-delà du décors, de toute réalité, de toute manifestation, création, ce qui précède avant toute chose, avant le temps, l'espace et dimensions, qu'en fait que nous sommes tous cette présence éternelle. Nous pensons que tout est réel pour la simple raison que l'on s'identifie en tant que forme, en tant que conscience, en tant qu'âme et esprit, oubliant cette présence qui unifie tout en un, cette présence éternelle. Celle-ci nous envoie en tout temps sa lumière appropriée, quelle que soit la réalité, cette lumière est un présent, un cadeau pour nous faire voir à travers ce que nous pensons et croyons être, par les émotions, les sentiments et à travers toute cette souffrance, nous faire voir en notre propre cœur que nous avons créé l'illusion parfaite, la réalité idéale pour nous révéler que nous sommes créateur de notre instant présent. En tant que présence éternelle, tant que nous n'avons pas compris notre relation d'unité avec tout, nous revenons en tant que présence évoluant dans toute sa création.

Que voyons-nous, que percevons-nous ? Qu'en fait qu'importe ce qui se trouve dans la création de cet ici et maintenant, passé, présent et futur, ne sont que le même instant d'éternité, la même présence éternelle en action qui apprend de sa propre manifestation en toute chose. Tout est un, nous ne sommes pas la forme, ni la conscience, ni l'âme et ni l'esprit nous sommes tous la même présence éternelle qui se révèle et se dévoile à elle-même a travers une infinitude de réalité. Lorsque nous réalisons que tout est soi, que tout est notre reflet, nous avons que de la gratitude, car sans cette illusion de dualité et de séparation, nous ne pouvons pas concevoir que tout est un. C'est par l'apprentissage et par l'expérience que la vérité se dévoile lorsque nous sommes prêts à l'entendre, tout se met en place pour se réaliser et ainsi se libérer de toute illusion pour n'être que la présence éternelle qui a de la gratitude envers toute cette création illusoire, réaliser que nous précédons toute création, temps, espace et dimensions. Nous sommes la lumière de l'amour dénudé de tout concept, qu'importe ce que nous pouvons vivre, c'est la lumière de l'amour, qui oeuvre pour nous faire voir que nous ne sommes pas ce que nous pensons et croyons être, mais bien en tant que présence éternelle qui se révèle à elle-même par la lumière appropriée, la lumière de l'amour.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette 

dimanche 24 mars 2019

Par amour, je vous révèle et dévoile notre vraie nature divine, la lumière de l'amour.

Par amour, je vous révèle et dévoile notre vraie nature divine, la lumière de l'amour.
Par amour, je transcende ce monde, cet univers, pour toute cette souffrance, pour toute cette dualité, pour qu'il n'y ait plus jamais l'illégalité, pour qu'il n'y ait plus jamais de manque d'amour, pour qu'il n'y ait plus jamais aucun rôle, pour qu'il n'y ait plus jamais de guerre, de famine, de pauvres ou de riches. Par amour, qu'il n'y ait plus aucune croyance, concepts, archétypes ou autres enfermements. Par amour, qu'il n'y ait plus de temps, d'espace et dimensions. Par amour, je transcende toutes les souffrances, de toutes les blessures, de toutes les peines, de toutes les consciences, de toutes les présences et de toute vie. Par amour, que nous ne soyons plus témoins de cette illusion de dualité et de séparation. Que tous retrouvent leurs libertés, tous unifiés en la même présence éternelle, ou tout est amour, paix et joie. Par amour, qu'il n'y ait plus aucune création qui alimente l'illusion de dualité et de séparation, que tous retrouvent la vue, que tous sortent du rêve éphémère. 
Par amour, je me suis retrouvé, comme je me suis vu en tout ce qui est, libre de toute illusion, de dualité et de séparation. Par amour, il n'y a rien à prendre de ce monde illusoire, de son illusion de dualité et de séparation et de son manque d'amour. Par amour, je mets fin à toutes ces histoires, la fin de ce livre d'histoire. Par amour, je me révèle et me dévoile à ce rêve éphémère, en tant que présence éternelle, en tant que lumière de l'amour dénudé de tout concept, de tout ce rêve éphémère. Je ne suis pas ce corps, ni cette conscience, ni cette âme, ni cet esprit, tout cela appartient au rêve, à l'éphémère, à cet enfermement. Je précède toute chose, toute création, toute illusion et c'est ce que je suis venu révéler et dévoiler, que nous ne sommes rien de ce monde, de cet univers, de cette matrice. Nous sommes la présence éternelle, la lumière de l'amour, l'essence éternelle. Demandez-moi qui suis-je ? Et je vous répondrai, rien de ce qui appartient à ce rêve éphémère, je suis la paix, la joie et l'amour qui précède toute création, là où tout est un.
Présence auteur
Régis Raphaël Violette

On croit vivre la vie, ressentir la présence éternelle, Dieu, mais c'est le contraire car tout en est sa présence, son essence éternelle.

Qu'importe le rôle que nous avons en cet ici et maintenant, tout est mis en oeuvre pour qu'elle, la présence éternelle se dévoile et se révèle à elle-même, par cet amour dénudé de tout concept.
Nous sommes la présence éternelle qui se dévoile et se révèle à elle-même par le rêve éphémère, l'illusion. 



On croit vivre la vie, ressentir la présence éternelle, Dieu, mais c'est le contraire car tout en est sa présence, son essence éternelle. 


La présence éternelle est et précède toute création. En ce qui nous concerne, cette présence vit le rêve éphémère en expérimentant l'illusion, en créant tous les scénarios possibles et inimaginables pour se révéler et se dévoiler à elle-même cette force d'amour qui est dénudé de tout concept. Regardons autour de nous, il n'y a que la présence éternelle en action dans le rêve éphémère, se renvoyant sans cesse la lumière appropriée pour se libérer des voiles de l'illusion de dualité et de séparation. C'est par l'apprentissage et par l'expérience, que la présence éternelle se découvre et atteindre l'illumination, mettre fin à ce rêve. Ayant tout expérimenté, ayant tout vécu dans l'ici et maintenant, elle a transcendé l'esprit, l'âme, la conscience et la forme pour redevenir cette présence éternelle qui est avant toute création, l'amour dénudé de tout concept. 

Ne nous rappelons pas ce que nous sommes dans le rêve éphémère, dans l'illusion, mais rappelons-nous qui nous sommes de toute éternité qui précède toute création. Que nous sommes la présence éternelle le tout en un, la lumière de l'amour. 


Présence auteur  
Régis Raphaël Violette


Note de l'auteur
Plusieurs croient que Dieu, la présence éternelle est quelque chose d'extérieur à eux, mais la vérité c'est que tout est Dieu qui se révèle et se dévoile à lui-même. Ils prient pour recevoir sa lumière, sa bénédiction, sans réaliser qu'ils sont Dieu dans le rêve éphémère, où tout est que sa présence. Seul la lumière de l'amour dénudé de tout concept, nous fait réaliser que nous sommes Dieu, la présence éternelle et cela avant toute création, rêve éphémère.

Oublions ce qui appartient au rêve éphémère et soyons que cette présence éternelle qui se dévoile et se révèle à elle-même par la lumière de l'amour, dénudé de tout concept.

vendredi 22 mars 2019

Je n'ai pas à juger les propos ou les actions de ce qui se passe en ce monde ou dans cet univers, là où tout est sous l'emprise du temps, de l'espace et des dimensions.

🙏🌞💖Je n'ai pas à juger les propos ou les actions de ce qui se passe en ce monde ou dans cet univers, là où tout est sous l'emprise du temps, de l'espace et des dimensions.

Qu'importe qui nous sommes en tant que forme qui se manifeste dans ce rêve éphémère, dans cette illusion du temps, de l'espace et des dimensions, tout est illusion. Même ce que nous pouvons sentir et ressentir, tout ça a un but de nous faire voir au-delà des apparences notre vraie nature divine, celle de la lumière de l'amour dénudé de tout concept. L'illusion est une chose merveilleuse pour prendre connaissance de notre véritable nature divine. Le fait de croire que tout est réel, rend le jeu plus crédible, car nous en ressentons des émotions, qui occasionnent de la souffrance, de la joie, toute une gamme d'émotion et de sentiment, ainsi en est-il pour l'apprentissage et l'expérience. Lorsque l'on réalise que tout est un jeu, un rêve éphémère, que l'on n'est pas la conscience, ni la forme, ni rien de ce rêve éphémère, juste la lumière de l'amour qui nous dévoile cette grande vérité, que rien n'existe vraiment. Seul l'amour existe car sa lumière transcende, traverse et consume toute création, illusion, rêve éphémère, temps, espace et dimensions. Nous ne sommes pas les émotions, tout ça fait partie de cet apprentissage et expérience dans le rêve éphémère, rien n'est réel, on pense que tout est réel parce que l'on croit que c'est cela la vie. La vie c'est autre chose, c'est la présence éternelle qui n'est pas assujettie à aucun concept et qui précède toute illusion et création. 

Présence Auteur
Régis Raphaël Violette

jeudi 21 mars 2019

Seul l'amour dénudé de tout concept, donne des ailes afin d'être libre de toutes blessures, ancrages, croyances ou autres liens d'enfermements.

Seul l'amour dénudé de tout concept, donne des ailes afin d'être libre de toutes blessures, ancrages, croyances ou autres liens d'enfermements. 

Il n'en tient à chacun de vivre cet état de paix, d'amour et de joie, de ressentir à nouveau cette liberté, mais pour le faire, il faut libérer tous ceux qui sont enchainés à nos blessures. Être libre c'est aussi dénouer tous les liens, toutes les chaînes, ne plus avoir aucun ancrage à ces blessures. C'est ainsi que nous prenons notre envol, libre de ce bagage émotionnel. L'amour donne des ailes, il est si facile d'aimer, en accueillant et en acceptant tout d'un même amour. Cela ne donne rien de rester dans les blessures, c'est vivre inutilement la souffrance et la douleur émotionnelle et physique. L'être qui ne se pardonne pas et qui ne pardonne pas à celui ou à celle qui est à l'origine des blessures, reste dans la souffrance aussi longtemps qu'il ne la libère pas. N'avez-vous pas assez souffert, à continuer à porter les chaînes de la souffrance, de la douleur émotionnelle et physique ?

Quand il suffit de reconnaître que la blessure, qui occasionne la douleur émotionnelle et physique n'est qu'un manque d'amour. Car celui qui souffre, ne sait plus aimer, il est dans la douleur et parfois, il ne fait que transmettre cette douleur, il croit qu'en agissant ainsi, il attire l'attention pour recevoir de l'amour. Alors, chacun est libre de le faire ou pas, d'enlever les chaines des blessures, ainsi on se libère, on allège le cœur de toutes ces souffrances inutiles, en s'assurant que les auteurs de ces blessures reçoivent tout l'amour pour ainsi s'envoler dans la lumière. Pardonnons à tous ceux qui ont occasionné toutes ces blessures, ces êtres souffrent, ils cherchent la lumière de l'amour. En nous libérant des blessures par l'amour, nous les libérons du même coup, afin que tous se retrouvent dans la lumière éternelle, là où tout est paix, joie et amour. Sans cela, nous ne pouvons pas nous envoler, pour la simple raison que les ailes de l'amour, ne sont pas développées. Seul l'amour dénudé de tout concept, donne des ailes afin d'être libre de toutes blessures, ancrages, croyances ou autres liens d'enfermements. 

Présence Auteur 
Régis Raphaël Violette 

mercredi 20 mars 2019

Sommes-nous prêt à entendre cette humble vérité ?

Sommes-nous prêt à entendre cette humble vérité ? 

Dis-moi, quelles sont tes peurs, je te dirai qu'en fait, quelles que soient les peurs, tu en serais le créateur. Alors à toi de ne plus croire en eux et croire en l'amour. 

Imaginons un instant que ce monde, cet univers et tout ce qui la compose représente l'image parfaite de ce qui se passe en notre propre univers intérieur. Ce qui est en bas est semblable à ce qui est haut. D'un côté, nous avons la forme humaine pour prendre connaissance de notre propre création, et de l'autre nous avons cette liberté d'aller là où l'on veut dans notre univers intérieur. Ce monde extérieur est-il réel comme il en est pour cet univers intérieur ? En fait, nous n'avons jamais quitté la source originelle, Dieu, cette présence éternelle, nous croyons que tout est réel, que ce soit cette réalité ou toute autre réalité dans notre propre univers intérieur. Qu'importe ce que nous percevons comme étant la réalité, on peut les comparer à un mille feuilles, il y a des endroits où on se retrouve plongé dans les peurs, dans les croyances, dans les concepts et autres archétypes, autres mondes? En fait, quel que soit le monde où on se retrouve, nous sommes confrontés à notre image. J'entends dire que ceux qui font partie de ces mondes, ne font pas partie de notre réalité. Détrompez-vous, tout est la même présence, se manifestant dans différentes formes, espace-temps et autres dimensions. Est-ce que notre réalité est réelle ? Il est réel, tant que nous le concevons ainsi, comme il en est pour toutes les autres dimensions, univers et mondes.


Quoi qu'il en soit, nous avons cette faculté d'être dans cette réalité en tant que forme humaine et nous avons cette possibilité de voyager dans cet univers intérieur, dans cette matrice. Comprendre qu'en tant que présence éternelle, nous avons accès à tout, tout en étant tout. Pourquoi, vivons-nous toutes ces possibilités, que nous avons accès en toute chose, tout en vivant dans ce monde, nous montrant une facette de notre propre création illusoire. Nous entendons toutes sortes d'histoires, nous avons tous eu des sorties astrales ou nous nous sommes retrouvés dans des vaisseaux ou à discuter avec d'autres entités de lumière et même partager de l'information d'une ou des civilisations plus avancées que celle que nous vivons en ce monde. Qu'importe ce que nous avons vécu, expérimenté, il n'y a pas de hasard, tout est parfaitement orchestré. Quel en est le but ? Celui de comprendre que tout est illusion, que nous n'avons jamais quitté la source originelle et que l'on fait face à nos peurs, à nos croyances, concepts ou autres enfermements. Quelle que soit la dimension, quelle qu'en soit le degré d'évolution, cela ne change pas cette réalité que tout est notre propre miroir. On croit qu'en se retrouvant dans une dimension plus élever, cela va nous apporté cette liberté d'être, cette paix, cette joie. Il ne peut y avoir de paix durable, ni de joie, ni de vrai amour, si nous ne prenons pas connaissance que tout est illusion, que nous sommes confrontés à nos propres pensées, que rien n'a quitté la source originelle, que tout est un, Dieu, cette présence éternelle.

Que ce soit la plus basse des dimensions à la plus haute, rien n'est réel, pour la simple raison que l'on se retrouve confronté à nos propres illusions. Quelle que soit l'illusion de dualité ou de séparation qui se retrouve en notre cœur, il n'est que le reflet de ce miroir que nous croyons réel, tout manque d'amour qui se manifeste de l'extérieur n'est que la résultante de notre univers intérieur. Tout est illusion, la seule chose qui est réelle, c'est cette présence éternelle qui se manifeste dans l'illusion pour rendre tout réel, mais qu'en fait il n'y a que cette présence éternelle. Qui est au-delà du temps, de l'espace et dimensions. Plusieurs diront que cela est impossible, qu'il ne peut y avoir qu'une seule et même présence, par peur de perdre leur repère, tout lien d'enfermement, qui les démarque de l'ensemble, se croyant unique. Lorsque l'être sera prêt à entendre cette vérité, il ne pourra plus alimenter les histoires, les croyances, quelle que soit la réalité, il prendra connaissance que tout est issu de la même présence, que rien n'est vraiment réel, ce qu'il croyait réel n'est qu'une illusion. Rien ne peut subsister dans l'illusion, tout change, tout évolue, il n'y a ni fin, ni commencement, un cycle sans fin. Seul celui qui est sorti de l'illusion, sait que rien n'est réel, sauf ce qui n'a jamais bougé, qui n'a jamais quitté la source, Dieu, ce que nous sommes de toute éternité, la lumière. Seule la lumière de l'amour dénudé de tout nous dévoile notre vraie nature divine, en nous identifiant plus à ce mille feuilles, à cet univers intérieur et extérieur, mais en son centre. Pouvons-nous l'identifier ? Il n'est pas identifiable, il est tout simplement cette force créatrice qui nous fait voyager dans la matrice, le rêve éphémère.

Peu importe les démons qui habitent notre cœur, ils ne sont que nos propres illusions, tout est un, qu'importe ce qu'il y a en notre cœur comme émotions, comme peurs, comme croyances ou autres, tout est illusion, tout est la même présence. Alors, libérons notre cœur de toutes ces illusions, retrouvons la paix, la joie et l'amour unifié, en nous retrouvant tous dans la même présence éternelle, libre de toute illusion. Dis-moi, quelles sont tes peurs, je te dirai qu'en fait, quelles que soient les peurs, tu en serais le créateur. Alors à toi de ne plus croire en eux et croire en l'amour.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette 

Comment parvenir à pardonner l'impardonnable et comment retrouver la paix quand la prière n'a rien changé et que l'on a perdu tout espoir pour y arriver ?

Comment parvenir à pardonner l'impardonnable et comment retrouver la paix quand la prière n'a rien changé et que l'on a perdu tout espoir pour y arriver ?



En fait, il ne peut y avoir de pardon quand il y a effort, on pourra toujours essayer, mais rien ne peut changer le passé, la souffrance émotionnelle laisse des traces, des cicatrices, semblable à des tatouages sur l'âme, se rappelant les plus grandes souffrances, certains êtres restent très fragiles émotionnellement, physiquement. Il n'y a pas un seul être en ce monde qui n'a pas vécu aucune souffrance. La souffrance est la non-reconnaissance de l'amour, car celui qui sait aimer, aime tout d'un même amour, tout en accueillant et en acceptant le choix de vie. Pourquoi souffrons-nous ? La souffrance est la réaction d'une action. En fait, en tant que présence incarnée dans la forme humaine, la souffrance vient des conséquences dues à notre propre relation avec ce monde, il est notre miroir de ce que l'on croit et pense être. Il ne peut y avoir de pardon véritable quand nous ne sommes pas en mesure de pardonner avec le cœur.

Plusieurs croient pardonner mais le cœur n'oublie jamais, se rappelant sans cesse l'origine de la souffrance. Il est vrai que l'apprentissage en tant que présence incarnée dans la forme humaine est tout une expérience à acquérir, la plus grande difficulté c'est faire face à un monde en souffrance. N'oublions pas que celui qui blesse, qui offense se trouve déjà en état de souffrance. Peut-on guérir de la souffrance émotionnelle, physique ? En fait, la souffrance n'est qu'un regard envers soi et ce monde, cet univers. Tant et aussi longtemps que la souffrance reste, s'incruste, s'imprègne dans notre conscience, dans ce que l'on croit et pense être, nous portons ce bagage émotionnel. On parle souvent des blessures de l'âme, qui sont le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice, la souffrance du rejet a de lourdes conséquences sur l'être qui s'est fait rejeter par un être cher, ou par qui que ce soit, se sent rejeté, pas aimé comme s'il portait l'étiquette du rejet. Il en est de même pour les autres blessures, vivre dans la peur de revivre ces blessures, tout en les portant en son cœur et de les ressentir à nouveau. Il est drôle de constater que lorsque nous identifions à cette souffrance, que nous en portons le bagage émotionnel et physique, la réalité présente,  fait en sorte de faire ressortir cette souffrance du passé, alimentant l'instant présent.

L'être aura beau essayer de pardonner, de prier, mais rien n'y fait, l'être continue à porter ses blessures, sa souffrance émotionnelle et physique. Pourquoi en est-il ainsi ? La raison est simple, tant qu'il y a souffrance émotionnelle et physique, l'être ne peut s'en libérer. Comment parvenir à ne plus souffrir ? C'est en prenant connaissance que nous ne sommes pas la souffrance, que nous ne sommes pas les blessures de l'âme, comment faire ? En changeant notre regard, la souffrance est comme un vêtement fait de blessures, tant que nous endossons ce vêtement, nous alimentons cette souffrance. En portant ce vêtement de la souffrance, nous envoyons un signal fort à l'univers, à tout ce qui nous entoure, l'univers, ne fait que renvoyer à nouveau une réalité qui est à l'image de cette souffrance, de ces blessures. Plus on se croit victime, plus on crée une réalité semblable. En portant cette souffrance, on ne fait que la percevoir en tout ce qui est. La souffrance à plusieurs visages, plusieurs masques, sans vouloir offenser qui que ce soit, lorsque nous nous identifions à la souffrance, l'univers ne fait que créer cette réalité, qui n'est que la manifestation, la réalisation de cette identification à cette souffrance.

Voilà pourquoi, il est si important de changer de regard et de ne plus s'identifier à aucune souffrance, le faire c'est reconnaître en son cœur cette même souffrance. C'est que l'on continue à endosser ce vêtement fait de plusieurs blessures. Est-ce que la prière va changer quoi que ce soit, ainsi en est-il pour le pardon ? Il ne peut y avoir de changement si nous ne changeons pas nous-mêmes notre façon de voir le monde, l'univers. Tout jeune j'ai compris que pour se libérer de la souffrance, que je devais changer ma façon de faire, en changeant ma perception, mon regard, en me disant je ne suis pas cette souffrance, ni ces blessures, tout en regardant l'objet de cette souffrance, la personne ou les personnes qui en sont la cause, en souhaitant que du bon. Je leur souhaitais le meilleur du monde. Tout en me disant que j'avais fini d'entretenir cette souffrance et c'est par cet amour inconditionnel que je suis parvenu à m'en libérer. J'avais changé mon regard, petit à petit ce vêtement de souffrance, s'est dissous, il n'y avait plus de souffrance en mon cœur, que de la joie, que la paix et que l'amour dénudé de tout concept, croyance ou autres liens d'enfermements.

Comprendre ceci, tant et longtemps que nous endossons comme vêtement celui de la souffrance et des blessures de l'âme, nous ne pouvons pas être heureux, être dans la joie, d'être en mesure de tout aimer, de tout accueillir d'un même amour, qu'importe le choix de chacun. Mon regard a changé ma vie, en endossant plus aucune souffrance, ni blessure, je suis l'amour, la joie et la paix pour la simple raison que je souhaite à tous le même amour, la même joie, la même paix. D'après-vous, celui qui souffre, qui porte son vêtement de souffrance, quelle est son plus grand besoin ? Il a juste besoin qu'on lui reflète sa véritable nature divine, il a juste besoin d'être aimé, d'être accepté et accueilli dans cet amour qui ne juge point, qui veut que le meilleur pour tout son être, de ne plus être vu comme étant la victime, portant un costume de souffrance, mais comme étant cette présence éternelle, celle de l'amour, la paix et la joie.

C'est en retournant cette reconnaissance de son propre cœur, en la lumière de l'amour qu'il nous est si facile d'aimer tout d'un amour dénudé de tout concept et de transcender toute la souffrance et blessure. J'ai choisi de ne plus souffrir car je ne suis pas la souffrance mais bien l'amour qui est ma véritable présence en ce monde, en cet univers. Je ne suis ni le passé, ni le futur, je suis que l'ici et maintenant, cette présence éternelle, qui se manifeste dans l'amour, la joie et la paix du cœur. Est-ce que je nourris mon mental de la souffrance et des blessures de l'âme ? Non, mon mental est libéré de la souffrance et des blessures, il sait que je ne suis ni la conscience, ni la forme, ni rien de ce monde, que je suis que la présence éternelle qui est au-delà du temps, de l'espace et dimensions. Comme je le perçois en tout ce qui est, au-delà des voiles de l'oubli, il n'y a que la présence éternelle, notre vraie nature divine, notre essence éternelle. Pourquoi être dans l'espoir de pouvoir se libérer de la souffrance ? Quand nous sommes de toute éternité, la lumière de l'amour, la présence éternelle qui ne connaît aucune souffrance, ni blessures, juste l'amour dénudé de tout concept.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette 

samedi 16 mars 2019

La fin des temps, retour en la présence éternelle, libre du rêve éphémère.

La fin des temps, retour en la présence éternelle, libre du rêve éphémère.


Avant toute création, il y a que la lumière, paix, silence et amour, rien ne peut altérer cette présence éternelle. Cette nuit encore, ma guidance intérieure, ma présence me fait voir qu'il y a que la lumière et que le reste est illusion. L'illusion est le verbe, qui détermine le commencement des temps, de l'espace et dimensions, que l'on pourrait désigner par le rêve éphémère. En fait, nous ne sommes jamais nés, comme nous ne sommes jamais morts. Le verbe, s'est fait conscience, âme, corps et esprit. On apprend par le rêve éphémère, Maya le voile de l'illusion ne lâche pas facilement la présence pour la simple raison, lorsqu'il y a identification, cela prend forme, prend vie. On se trouve être victime de notre propre film intérieur et extérieur, on s'en fait la réalité, dans laquelle on se retrouve piégée. En restant dans le rêve éphémère, on est dans le livre d'histoire, en tant que présence se retrouvant dans la forme humaine ou autres, on est confronté à nos propres illusions.


Qu'est-ce l'illusion ? Une projection, une manifestation, un reflet de ce que l'on croit être ou pas dans le rêve éphémère. On aime, déteste et on vit par choix. Nous nous rendons pas compte que nous créons notre propre enfermement. Il suffit de vivre une expérience hors du commun, pour ensuite croire que ce qui nous arrive est extraordinaire, une révélation. Comme je le dis, il est si facile de se faire prendre au jeu, du verbe, du rêve éphémère. Vivre l'expérience humaine, en tant que présence, est à la fois quelque chose de formidable tout en étant quelque chose de très éprouvant, tout est si fragile. Pouvons-nous parvenir à atteindre cette paix, ce silence et cet amour libre de toute projection, de manifestation, de tout reflet ? Non, pas tant que nous restons identifiés au personnage, au verbe, au rêve éphémère, il ne peut y avoir de paix durable, de silence et d'amour véritable, car tout est basé sur l'apprentissage et l'expérience. Tant que nous recevons la lumière appropriée pour ainsi se libérer des voiles, des croyances, des concepts et autres liens d'enfermements, nous continuons à être dans le rêve. Lorsque je dis que le verbe est le rêve éphémère, il est le commencement du temps, de l'espace et des dimensions, pour ainsi se projeter, se manifester, être dans le paraître. Le verbe se conjugue à l'infini dans cet ici et maintenant. Rien n'est réel, nous sommes confrontés à nos propres démons, à nos propres pensées, croyances, concepts, religions, archétypes et autres conditionnements, projections.

Depuis la nuit des temps, il est dit que la fin des temps va venir, l'apocalypse, l'achèvement, la libération de toute illusion. Libre à ceux et celles qui croient qu'ils pourront continuer sur d'autres plans de conscience, continuant ainsi l'apprentissage, d'être secouru par les extras terrestres ou par d'autres formes de vie intelligente. Cela reste le verbe, le rêve éphémère et qu'elle qu'en soit son origine stellaire, dimensions ou autres. Que signifie la fin des temps, la fin du verbe, du rêve éphémère, Maya, l'illusion. Sortir du verbe, du rêve éphémère, du paraître pour vivre le parfait amour, la paix et le silence. La lumière, qui n'est plus la conscience, mais la présence qui précède le verbe, le rêve éphémère. Tout ce que l'on croit être vérité, réel, n'est que mensonge, illusion, nous ne sommes jamais nés, comme nous ne sommes jamais morts, puisque nous sommes la lumière, cette présence qui est avant toute chose. Qu'importe ce que nous vivons en tant que personnage, tout n'a qu'un but, celui de continuer le rêve éphémère, à chacun de nous de réaliser que nous ne sommes rien de ce rêve éphémère. Nous sommes la lumière, la paix, le silence et l'amour dénudé de tout. C'est ainsi que nous vivons la fin des temps. C'est déjà réalisé pour ceux qui le vivent déjà, il n'y a que la lumière. Quoi qu'il en soit, cela a été annoncé et cela s'en vient à grands pas pour ceux qui sont restés piégés dans le rêve éphémère. Rien ne sera épargné par cette lumière, présence éternelle qui consume tout par cet amour, cette paix et silence. qui met fin au livre d'histoire.

Présence auteur
Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
C'est ainsi, en tant que présence éternelle, nous aimons tout d'un même amour, lumière, qu'importent les histoires de ce monde, de ce rêve éphémère. Notre lumière, notre présence éternelle précède toute création, illusions. Tout ce qui se présente à nous, nous l'aimons d'un même amour libre de toute illusion.

jeudi 14 mars 2019

Abordons de façon à mieux comprendre et intégrer ce qu'est l'amour dénudé de tout concept.

Abordons de façon à mieux comprendre et intégrer ce qu'est l'amour dénudé de tout concept.


Il ne peut pas y avoir plusieurs regards pour vivre l'éveil, il n'y en a qu'un seul, celui de l'amour dénudé de tout concept. Pourquoi n'y a-t-il qu'une seule voie pour réaliser ce qu'est le vrai éveil? En ce monde, nous avons notre propre regard face à toute cette diversité de la vie, nous regardons l'extérieur de la même façon que l'on se voit de l'intérieur. En tant que présence incarnée dans la forme humaine, on se sert de ce véhicule de matière pour poser notre regard, tout ce que l'on voit est sous formes d'images, comme si nous regardions un film sous plusieurs aspects de réalités. On ferme les yeux et on y voit se dérouler un autre film, d'autres images, tout nous reflète ce qui se passe en nous, en tant que manifestation de la présence. Bon, cela peut-être très compliqué à comprendre, tout en étant si simple, nous percevons ce monde, cet univers selon différents aspects de réalités extérieures, tout en le voyant intérieurement sous d'autres angles. Ce qui fait une globalité.

Quoi qu'il en soit, en tant que présence, plusieurs réalités gravitent et forment cette globalité, nous sommes le centre de l'univers intérieur et extérieur. Nous créons des mondes qui ne font pas partie du monde extérieur mais intérieur, avec qui nous avons des échanges, des partages d'informations, comme nous le faisons avec le monde extérieur. Quoi qu'il en soit, nous posons notre regard sur tout et selon comment il est interprété, cela détermine notre état d'être. Le regard peut prendre différentes formes, accusateur, méprisable, dominateur, aimable, bienfaiteur, plein de douceur, amoureux, haineux et beaucoup d'autres, selon ce que l'on perçoit, par les sens. Nous posons un regard selon les émotions ressenties, qui font référence à la façon que l'on se regarde tout en regardant les autres, la vie, quelle qu'en soit la réalité, nous reflète sans cesse un aspect du miroir, de notre propre création.

Nous ne sommes pas juste la conscience qui se sert du véhicule de matière pour découvrir le monde extérieur et aussi tout en le découvrant intérieurement, nous sommes la présence qui fait face à sa propre création. Le regard a une telle importance, c'est ce que l'on perçoit qui nous renvoie les images de ce que l'on croit être dans cet ici et maintenant. Peut-on être juste, si dans cet ici et maintenant, en tant que présence on ne réalise pas que tout est son propre reflet ? Nous ne pouvons pas être juste quand on s'identifie à la forme humaine pour vivre cette relation avec tout ce qui compose la réalité. La présence, qui est dans la forme humaine, se trouve être confrontée à tous les autres regards, qui ne font qu'exprimer leurs propres expériences de la vie, retournant ainsi que sa propre création intérieure, la réalité de cette présence.  Il y a échange d'informations, il y a partage des auras, de fréquences. Il suffit d'un regard pour savoir réagir ou agir, selon ce que l'on perçoit et cela va dans tous les sens. On se demande pourquoi ce monde vit tant de dualités, de souffrances, d'intolérances, car tous les êtres humains posent leurs regards différents et cela occasionne l'illusion de dualité et de séparation. Je fais un portrait de ce monde, celui des regards qui entretiennent l'illusion de dualité et de séparation.

Il est facile de voir comment les gens vivent dans la peur, dans la méfiance. Il suffit d'aborder un parfait inconnu. Comment va-t-il réagir quand il se sent abordé par quelqu'un qui ne le connaît pas. Est-ce la peur va dominer où son regard reflètera la bienveillance ? Comprenons bien ce qui se passe lorsque nous posons notre regard, il détermine l'état d'être, dans lequel nous abordons l'ici et maintenant, celui que nous avons avec notre propre création extérieure et intérieure, pour la simple raison que tout est la même présence. Comme je le disais, nous ne sommes pas le véhicule de matière, mais bien la présence qui se retrouve en toute sa création. On va me dire, que ce n'est pas le cas, détrompez-vous, tout est lié, tout est un. Quel que soit le regard, il est notre propre reflet de ce qui se passe en notre propre création. Qu'importe ce qui compose notre univers, notre réalité, tout est la même présence qui se manifeste en toute chose. Tout jeune, je savais que Dieu se trouve en toute chose, comme il est en tout mon être, sa présence est partout, en tout et avec tout.

Voilà l'importance du regard, comment percevons-nous la réalité, l'univers, que ce soit de l'intérieur comme de l'extérieur ? Cela détermine notre état d'être. Sommes-nous confiant, fuyant, apeuré, troublé, confus, en paix, serein, heureux, en joie, malheureux, triste, souriant, colérique ou autres ? Il y a tant de façon à exprimer notre état d'être, exprimant notre relation avec cet aspect extérieur et intérieur. Pourquoi en est-il ainsi ? C'est que toutes ces êtres ne réalisent pas qu'en fait tout est la même présence se manifestant en d'autres véhicules de matière dans tout l'univers qu'il soit intérieur ou extérieur. Qu'importe la provenance, le temps, l'espace et dimensions, tout est la manifestation d'une même présence évoluant dans d'autres réalités, comme il en est de même pour toutes les êtres incarnant la forme humaine. Il est important de réaliser qu'en fait c'est à nous en tant que présence éternelle de reconnaître que tout est notre création, en reflétant un autre regard que l'amour, nous créons l'illusion de dualité et de séparation. L'éveil commence par soi pour ainsi le transmettre par un seul regard, celui de l'amour dénudé de tout concept, accueillant et acceptant tout d'un même amour.

Un seul regard apporte la paix, la joie, le silence intérieur et extérieur, pouvant ainsi tout accueillir, tout accepter. Qu'importe la façon que l'on peut être perçu, tout regarder d'un même amour ne faisant aucune référence à toute croyance, archétype ou autre lien d'enfermement. Tant que nous n'avons pas ce regard, notre regard s'en trouve falsifié par les peurs, par les jugements, par les différences, croyances, concepts et autres qui ne font que créer l'illusion de dualité et de séparation. Tant que l'on s'identifie à ce genre de regard, on juge sur les apparences, au lieu de voir que tout est la même présence éternelle, évoluant dans différentes formes, véhicules appropriés à chaque réalité. Changeons juste la façon de nous voir et de voir ce monde, en y percevant que la présence éternelle qui fait face à sa propre création. Avec le regard de l'amour et cela dans toutes les réalités, autant en son intérieur qu'à l'extérieur. Ainsi tout ce qui gravite autour de nous en tant que présence éternelle est aimée d'un même amour, la présence qui se reconnaît en toute chose. Il suffit de changer de regard pour être cette présence qui accueille et accepte tout d'un même amour, abordant tous les regards avec cet amour. Réalisant que tout est sa propre création, quelle qu'en soit la réalité. Nous sommes la présence éternelle et cela avant toute création.

Présence
Régis Raphaël Violette 

Tout comme Don Quichotte se battant contre les moulins à vent, nous nous battons contre nos propres illusions.

🙏🌞💖Tout comme Don Quichotte se battant contre les moulins à vent, nous nous battons contre nos propres illusions.

Pourquoi devons-nous passer par toute sorte de réalité ?

Le but est de comprendre à travers l'apprentissage et expérience de nos propres créations, notre vraie nature divine, notre essence éternelle. En ce monde, nous avons choisi d'apprendre, en se conformant aux croyances, aux concepts et aux histoires de ce monde. Nous n'avons pas inventé la roue, on se sert de ce qui nous tombe sur la main pour avancer. L'homme est victime de son propre regard, la civilisation est né de celui-ci, de ce qu'il croit nécessaire pour son évolution, tout en se garantissant une ligne de conduite. En fait, l'homme est victime de son ignorance, il n'a pas su voir le lien qui l'unit à toute la création, se bâtissant sa propre cage dorée. Cela a été nécessaire de vivre tout cet apprentissage et expérience. Conscient de se diriger vers la fosse aux lions, il est responsable de sa souffrance, de tout ce chaos. On assiste à la fois à sa propre destruction tout en assistant à sa résurrection. L'ancien monde va être dissous, il ne restera rien, par contre cette résurrection permet à l'homme de transcender le personnage, de fermer le livre d'histoire.

L'homme émerge de ses cendres, pour y dévoiler ce qui est à l'origine de tout ce qui est, cette présence éternelle. Elle contribue à la chute de l'homme afin que celui-ci renaisse et se révèle à lui-même, en tant que présence éternelle. Il réalise, qu'il n'est pas la conscience, ni la forme mais bien cette essence éternelle, qui se dévoile par l'amour dénudé de tout concept, c'est ainsi qu'il prend connaissance de sa vraie nature divine, tout en réalisant, qu'elle est à l'origine de tout ce qui est. Cela peut paraître très éprouvant, d'avoir suivi le chemin de l'ignorance, de la souffrance pour réaliser notre véritable nature divine, l'amour dénudé de tout concept en fut l'élément déclencheur pour dissoudre la conscience sous l'emprise du mental et de l'ego. Rien ne se fait tout seul, nous recevons en tout temps la lumière appropriée pour nous épurer, pour dévoiler notre vraie nature divine, en la présence éternelle, en se dévoilant à toute sa création. Qu'importe le temps, tout est illusion, tout est accompli, il n'y a que la présence éternelle et cela avant toute création. 🙏🌞💖

Présence
Régis Raphaël Violette

mardi 12 mars 2019

S'il suffisait de revenir à la source pour retrouver notre vraie nature divine.

S'il suffisait de revenir à la source pour retrouver notre vraie nature divine.


Ce n'est pas d'hier que cette expression retour en la source fait partie de notre réalité. Plusieurs peuples de la terre en font référence. On aura beau inventer une technologie plus avancée, mais rien ne peut égaler ce qui est à l'origine de tout. Celle-ci n'a pas eu besoin de l'homme et de son savoir pour avoir créé toute réalité, il suffit de voir la nature, toute cette diversité de la vie être dans sa façon de vivre avec ce monde. Pourtant, la vie a pu émerger, elle a trouvé tous les éléments. Et cette vie se manifeste en notre espèce, faisans de nous des êtres humains. L'homme s'est éloigné de cette source originelle, celle qui permet à la vie d'émerger, de s'acclimater selon son propre environnement, au détriment de l'homme. Pouvons-nous dire actuellement qu'en tant que présence de la vie vivant dans la forme humaine que nous sommes connectés à toute cette diversité, en étant la même force créatrice qui a permis à la vie de se manifester dans une diversité infinie ? Cela ne touche pas simplement ce monde, cette planète, mais tous les univers, cette espace infini, ainsi que des dimensions.

Tout ça a été créé par la même force créatrice, cette source qui est avant toute création, cette présence qui se manifeste en tout, qui permet à toute cette diversité infinie de pouvoir s'adapter et cela quelle qu'en soit la réalité. Nous vivons ce retour à la source, à cette présence éternelle, qui est à l'origine de tout. Ne croyons pas que les histoires de l'homme vont perdurer pour toute l'éternité, nous assistons à son dernier chapitre. Que va-t-il rester de l'homme ? Le monde du mental, de l'ego, qui ne perçoit que le monde à travers ses propres besoins égoïstes, afin d'assouvir son manque d'amour, cherchant à combler cet immense vide, en s'identifiant au personnage qu'il a lui-même créé, cet être est en train d'assister à sa propre destruction, pour renaître en la source. Fin d'un monde, qui s'identifie à ses propres croyances, concepts, archétypes ou autres visions d'égarements. Pourtant, toute la diversité de la vie est criante de vérité, la réponse se trouve en sa source. Peu importe l'espèce de vie, chacune d'elle s'est adaptée, a évolué en apportant les changements. Qu'en est-il de l'homme ? Peut-on dire qu'il a connu le même succès ? Je ne suis pas là pour faire le procès à l'homme, par contre ce qui nous arrive, ne pouvait pas être plus beau, plus merveilleux, pour la simple raison que l'on assiste à la dissolution de ce que nous croyons et pensons être, en tant qu'être humain.

Cela ne veut pas dire qu'il disparaîtra, peut-être dans sa forme actuelle pour ainsi se retrouver dans une autre forme, qui ne sera plus dictée par le monde du mental, qui ne fera plus de référence aux histoires, aux croyances, aux concepts et à tout cet enfermement. Pour certains, nous sommes déjà libéré, un peu comme un serpent changeant de peau et pour d'autres la transition est en train de se faire. Nous changeons, nous évoluons à vitesse grand v, qui aurait dit que l'homme se libèrerait de son histoire, de son karma, de ses croyances ou autres pour être cette présence éternelle, n'ayant plus peur de la mort, n'ayant plus peur des jugements, des histoires de ce monde. Nous sommes plusieurs à avoir transcendé le personnage, cette conscience à l'image du monde du mental, de l'ego, de cette illusion de dualité et de séparation. Rien n'a jamais été séparé, tout a toujours été unifié, le croire c'est continuer à alimenter l'illusion. Est-ce que la vie pleure ses morts ? Non, la vie ne pleure rien, elle continue, ainsi en est-il pour cette présence qui a quitté sa forme, qu'importe d'où provient cette présence, univers, espace et dimensions, nous continuons à vivre pour la simple raison que nous sommes l'essence éternelle de la vie.

Dire, qu'en tant que présence évoluant dans la forme humaine, nous nous sommes laissés dominer par les croyances, par les concepts, les archétypes, les peurs, tout ce qui nous éloignait de notre essence éternelle. Oubliant la présence au détriment d'une identification à un personnage illusoire, qui croyait être supérieur à la nature, qui n'a jamais compris qu'en détruisant celle-ci, l'homme assisterait à sa propre destruction. Imaginez un instant, plus de dualité, plus de confrontation, plus aucune pensée qui vient faire du tort à qui que ce soit, toutes les pensées qui sont du domaine du mental et de l'ego, n'existeront plus, juste un amour dénudé de tout concept, qui perçoit la présence éternelle en tout ce qui est, qui perçoit cette magnificence, cette grâce en tout, en toute cette diversité comme étant la manifestation d'une seule et même présence. Ni même la mort, ni même l'espace, ni le temps, ni les dimensions, ne pourront altérer notre présence actuelle, car nous savons que nous sommes la même présence et que celle-ci précède toute création.

Le retour à la source, tout suit son cours, tous y passeront. Réjouissons-nous de cela, nous vivons ce qu'il y a de plus merveilleux, des plus formidables, la dissolution de toute illusion. Être à nouveau ce que nous sommes de toute éternité, cette présence éternelle, l'amour dénudé de tout concept, illusion. Je laisse la guidance de mon cœur s'exprimer, comme elle se présente en mon cœur unifié. Pour ceux et celles qui ne comprennent pas la profondeur de ce qui est dévoilé, écrivez-moi en privé. Il ne peut y avoir de plus grand ou de plus petit, car en nous tous, se trouve notre essence éternelle, en cette présence qui est à l'origine de tout ce qui est et avant toute création.

Présence éternelle
Régis Raphaël Violette