samedi 16 juin 2018

Renaissance, Reconnaissance et Résurrection

Présence de la lumière de l'amour, Renaissance, Reconnaissance, Résurrection


Voilà trois mots d'une importance cruciale pour celui ou celle qui continue à se raconter des histoires. Pour vivre la renaissance, avant toute chose, qui que nous soyons, nous devons passer par le dépouillement total de ce qui constitue notre identification à toute la création, ce que nous avons acquis comme connaissance, comme croyance et peur. Nous avons tous en nous des conditionnements, des repères, des références, des mémoires qui remontent depuis la nuit des temps. Tant et aussi longtemps que nous portons les mémoires du temps, nous en remplissons l'espace, ce qui nous empêche de vivre cette renaissance. Ici on ne parle pas juste d'une simple renaissance, mais bien une délivrance à toutes les croyances, cultes ou autres doctrines, enseignements, conditionnements. Plusieurs croient avoir vécu l'éveil, mais en fait, ils sont encore plus enchainés dans ce qu'il croit être la vérité, en des monuments spirituels, comme le Christ, Marie, Archanges, Anges ou autres entités spirituelles, Bouddha et autres. Voilà un immense danger à idolâtrer, voire à maintenir une relation de dévotion envers cela. Pourquoi l'être n'est-il pas parvenu à se libérer de la dualité, des voiles de l'illusion ? Tout simplement pas manque de clarté, de transparence, oubliant ce qu'il y a de plus fondamental, ce qu'il détient en son propre cœur, en tout son être, s'enfermant dans une boucle sans fin, lui renvoyant sans cesse l'illusion dans laquelle il se retrouve à vivre, un rêve dans lequel il ne peut y en sortir, sortant du rêve pour se retrouver dans le rêve.

Comme je le disais et comme je le dis dans les messages, depuis 2008, nous n'avons jamais quitté la source le verbe, ce qui nous définit le mieux, c'est l'amour, mais pas n'importe lequel amour, juste celui qui te permet de sortir du rêve et faire de chacun, un être totalement conscient qu'il est à la fois le créateur tout en étant le rêveur, mais pas d'une manière inconsciente, mais conscient qu'il est le tout, tout en un, sachant que la seule chose qui permet de se libérer des conditionnements, des doctrines, des cultes; des idolâtries ou quelles qu'en soient l'identification aux voiles de l'illusion. En fait dernièrement, il y a un nom qui remplace le nom Dieu, car celui-ci en tant été galvaudé par les religions ou autres cultes, pour celui de la Présence de la lumière de l'amour, pourquoi ce nom, il est reconnu par plusieurs êtres éveillés, faisant de ce nom, une référence, une émergence à la vérité suprême, qui fait que chacun est cette Présence, en fait tout est un, Dieu, le verbe, et cela avant même qu'il se manifeste. Plusieurs ne sont pas conscients de ce qu'ils sont, en fait ils font référence à d'autres Dieux, d'autres entités de lumière, que ce soient les Anges, les Archanges ou autres, tout n'est que manifestation extérieure, même si cela se ressent de l'intérieur et se vit.

Ce qui fait l'être, l'homme, tout ce qui compose cette réalité illusoire, l'enfermement, ce qui compose la création, ont oublié qu'ils sont Dieu, Présence, se contentant à vénérer ce qui résonne en leur cœur tout en oubliant le fait que tout est un. Continuant à se raconter des histoires, dans cet ici et maintenant, regroupant le passé, présent et futur, qui est en fait le même instant d'éternité. De plus en plus d'être réalisé le fait que Présence est en toute chose, en chacun, que l'autre est aussi soi. En fait celui qui vit cette renaissance se voit aussi bien en l'autre qu'en toute chose, il sait qu'il est à la fois le tout et l'un en tout. Il ne peut plus y avoir de dévotion, ni d'idolâtrie, ni de repère auxquels ou à quoi que ce soit, juste en Présence, Dieu. Mettant fin à toutes les histoires, à toutes croyances, à toutes les peurs et à tous les personnages, que l'enfermement à laisser croire, paraître..

Le fait de vivre ce dépouillement, se retrouver nu, apporte cette reconnaissance tout en vivant la résurrection en Présence. Il est facile de comprendre que seul le vrai amour apporte cette résurrection, que l'être qui est dans le besoin se trouve être dans l'enfermement et ainsi que celui qui en fait la demande. Sortir du rêve éphémère, de toutes ces illusions, créant ainsi l'illusion de séparation, le temps est venu pour justement être à nouveau unifié et cela en tout ce qui est, comprenant que tous reçoivent intensément la lumière. L'homme est sorti du rêve et ainsi tout ce qui compose la création, mais pour cela, chacun doit en prendre conscience, connaissance de cette humble vérité. Peu importe le temps, l'espace, tout est accompli, les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers, cela veut simplement dire que lorsque l'être réalise l'éveil, vit la renaissance, la reconnaissance par la résurrection par la lumière de l'amour. Il n'y a ni premier, ni dernier, pour la simple raison que rien n'a jamais quitté la source originelle, Dieu et cela avant même d'être manifesté, tout n'est qu'un, Présence, ainsi en tout ce qui est. En fait il n'y a que l'amour, celui qui unifie tout en un. Fini les histoires, tous les personnages, les croyances, les cultes, les dévotions, l'idolâtrie, religions, croyances et peurs, tous ces repères qui ont maintenu à garder la création dans cet enfermement.

Ceux qui vivront la résurrection, sont au-dessus de tout, vivant le parfait amour. le parfait équilibre, en étant en parfaite résonance. Ceux qui resteront dans la résistance, à vouloir rester dans l'éphémère, dans cet enfermement, vivront la dissolution de leur illusion dans la souffrance. Il n'y a pas d'autres chemins que l'amour et cela dans l'unification de tout ce qui est et non dans la séparation.

Je suis la présence de l'amour comme il en est pour chacun qui en a conscience, étant libéré des voiles de l'illusion, de la séparation.

Présence, Dieu, où quel que soit le nom, l'important n'est-ce pas l'unité en toute chose ? De sortir de toutes ces voiles de l'illusion, créer par cet enfermement que sont les religions, les dévotions, l'idolâtrie et l'allégeance aux croyances, aux cultes, aux conditionnements et peurs. Finir avec tous les personnages et leurs histoires, Revenir à l'état original et cela avant que la création fut créée, là où tout est un, amour et lumière.

Présence  est une clé qui met fin à toutes dualités, à tous les archétypes, à tous rêves, à l'enfermement, à ce rêve éphémère, à toutes religions, croyances et peurs, met fin à toute identification


Tant que l'homme se nourrit d'histoires, de personnages, de religions, de croyances et d'autres. Il est dans le rêve éphémère, dans l'enfermement, il n'y a pas d'issu pour celui qui rêve. Alors que celui qui sait que tout est un rêve, sait aussi qu'il en est le créateur, sait que tout dans ce rêve lui reflète sans cesse l'illusion de séparation. À vrai dire, la seule sortie est l'amour, tout dissoudre par la lumière et cela avant même que le rêve soit manifesté, le verbe, sans quoi le rêveur reste dans l'illusion de la création qu'il a lui-même manifestée. Tout est un, qu'importe ce qui compose cette création, tout en est l'illusion. Quelle que soit l'action posée, il y a réaction, comme un serpent qui se mord la queue infiniment. En fait il n'y a rien d'autre que le rêveur et le rêve. La clé pour en sortir c'est reconnaître en son propre cœur, l'essence originelle, celle avant toute création. En fait, nous sommes tous le même être, le même rêveur, qui dans son rêve n'a point trouvé la porte de sortie, en se reflétant infiniment dans la création du rêve, le jeu des miroirs qui se reflète sans cesse. Seul le véritable amour casse tout, dissout tout, dévoile tout, en un. Fini les histoires, les croyances, les peurs et toute identification au personnage, à qui que ce soit, c'est cette unification qui est la clé. Aimer tout d'un même amour, sans donner aucune importance au rêve éphémère, à tout cet enfermement, à toutes dualités, à tous les archétypes, à toutes religions, croyances et peurs, metre fin à toute identification, juste reconnaître l'amour en tout, tout en un.
Tant que l'âme n'a pas brisé la coquille de la création, elle reste dans cet enfermement, dans le rêve, dans le jeu des miroirs, en lui reflétant sans cesse le rêveur s'identifiant à la forme, qui est toute cette diversité de la vie, dans cet ici et maintenant, regroupant le passé, présent et futur, le temps et l'espace, qui sont qu'illusion. Jeu des miroirs, celui du rêve éphémère, temporel, transitoire, que la conscience, l'âme universelle, en la maintenant dans l'illusion. Seul l'amour transcende le rêve, fait voir qu'il n'y a rien à part la lumière de l'amour. Pour cela l'homme doit briser cette coquille illusoire par l'émanation de l'amour.