mercredi 27 février 2019

On se demande où est la vérité. Ne cherchons pas, elle est en nous.

On se demande où est la vérité. Ne cherchons pas, elle est en nous.


En fait, qui que l'on soit, nous sommes notre propre vérité et chemin. Comment est-ce possible que nous sommes chacun sa propre vérité et chemin ? Il n'y a rien à comprendre, tout est si simple, cela a toujours été le cas, mais depuis que le mental est entré en jeu, tout devient compliqué, tout devient confus, pour la simple raison que le mental se croit être séparé du reste de la création. Mais qu'en est-il vraiment de ce qui est réel et de ce qui ne l'est pas ? Pourtant la vérité la plus simple, c'est que tout est un, en fait, toutes nos actions créent notre réalité. On croit être séparé, mais en fait, c'est le contraire, quelles que soient nos actions, elles sont revenus à la source émettrice, c'est ce qui crée notre réalité. Cela voudrait dire toutes actions, que ce soient les pensées, tout ce que je peux exprimer avec cette forme humaine, qu'importe ce que je fais en une seconde, en une heure, en une journée, en une année ou en tout temps, c'est le faire à soi-même, tout est un. Voilà la vraie réalité, on est victime de nos propres actions. et nous en récoltons les fruits.

En plus, nous nous servons d'une forme, d'une conscience, d'un mental, d'une âme, un esprit pour pouvoir se manifester dans notre propre création, nous créons tout, le rêve éphémère, l'illusion quantique, tout se passe dans l'ici et maintenant. Le plus drôle dans cette histoire, c'est que tout est notre reflet. Est-ce que ce reflet est réel ? Il n'est pas plus réel que nous le sommes, ainsi en est-il pour tout ce qui est. Comprendre que cet univers n'est rien d'autre qu'une illusion. On parle des anges, des archanges, des entités de lumière, d'autres consciences de lumière ne venant pas de cette réalité et pourtant, nous pouvons communiquer, échanger, partager. Encore là, tout est illusion, tout semble réel pour la simple raison que l'on s'identifie à la forme et à son contenu, au lieu de voir qu'en fait que rien n'existe vraiment, seule cette intelligence divine, cette présence éternelle qui est avant toute création, temps, espace et dimensions. Et cette présence éternelle crée tout à son image, si nous ne sommes pas conscients, nous ne réalisons pas que nous alimentons la réalité qui est nôtre en cet ici et maintenant. Les anges, les archanges, les entités de lumière ou autres consciences venant d'un autre plan d'existence, d'un autre univers, qu'importent leurs provenances, nous sommes à la fois eux ils sont nous. Comment est-ce possible ?

Comme je le disais, par notre vraie nature divine, elle qui orchestre et planifie tout, qui apporte la lumière appropriée à tout ce qui est. J'entends dire comment est-ce possible ? Il n'y a rien à comprendre avec le mental, tant que nous ne lâchons pas prise, nous ne pouvons pas le vivre et le concevoir. Est-ce que nous cherchons à connaitre cette vérité ?En fait, cette vérité, cette lumière vient à nous, la présence éternelle qui se dévoile, en nous apportant cette lumière. Voilà pourquoi à la base nous ne sommes rien et tout à la fois. Il suffit juste de voir, voir cette réalité, cette illusion, car elle n'est qu'à l'image de notre propre dualité, de séparation. En vivant cette illusion de dualité et de séparation en sa propre conscience, en son âme, esprit, mental et en la forme actuelle, c'est ce qui nous sert de véhicule de lumière. En le vivant en soi, la réalité illusoire ne fait que l'exprimer, manifester. Alors que tout est notre propre création, de notre état actuel, de cette relation avec soi-même.

Comme je le dis, tout est un, quelles que soient nos actions, cela revient à le faire à soi-même, c'est ce qui crée la réalité présente. Rien d'autre qu'une illusion, alors que nous sommes la vérité, la présence éternelle qui se dévoile à travers cet ici et maintenant. Avant de vous en prendre à qui ou à quoi que ce soit, réalisons que tout est soi et que la résultante de nos actions, crée notre réalité illusoire. Que nous ne le réalisons ou pas, tout vient à temps, la présence éternelle se dévoile comme elle l'a fait pour moi et pour d'autres. Tout est accompli, mais pour le comprendre, c'est la présence éternelle qui en temps et lieux nous le fait réaliser, vivre, en vivant la dissolution de l'être, du mental et de toute illusion de dualité et de séparation. Je ne demande pas de me croire, chose certaine quand l'élève est prêt, la présence éternelle intervient pour mettre fin au livre d'histoire, au rêve éphémère.

En fait, en cet instant, je ne fais que me parler à moi-même, tout est un et cela quelle qu'en soit la réalité dans cet ici et maintenant, il n'y a que la présence éternelle, notre essence éternelle. On comprendra que je ne suis pas là pour me juger, ni me condamner, ni offenser qui que ce soit, tout n'est que mon reflet comme je le suis, qui n'est qu'illusion, tout est la présence éternelle et cela avant toute création.

Présence
Régis Raphaël Violette 

mardi 26 février 2019

Qui est-il ce fameux personnage, qui nous éloigne de la lumière ?

Qui est-il ce fameux personnage, qui nous éloigne de la lumière ?


Il est le mental, la personnalité et son contenu, les conditionnements, les croyances, les concepts, les archétypes ou tout autres enfermements. Nous forgeant une personnalité propre au mental, au personnage, ce qui nous éloigne de notre vraie nature divine. Il ne peut y avoir de personnalité, pour la simple raison que nous sommes la présence éternelle qui est en toute chose, en tout ce qui est et avant toute création. Le mental n'est qu'illusion, en nous faisant croire que nous sommes séparés de la présence éternelle. Celle-ci s'est manifesté dans le rêve éphémère, contenant toute création, toute possibilité, toutes formes confondues, permettant à la vie de s'exprimer à travers ce rêve éphémère, qui n'est que projection. Lorsque nous sommes libérés du mental, de ce personnage et de toutes les histoires, nous sommes à nouveau en paix, en harmonie, on ne se pose plus de question, du pourquoi et du comment. En suivant notre guidance intérieure, notre vraie nature divine en la présence éternelle. Nous n'avons pas besoin de tout savoir, de tout connaître, nous avons déjà toute la vérité, la lumière, le vrai savoir en la présence éternelle, aimant tout d'un même amour, voyant que la lumière de la vie, que son essence éternelle. Devrait-on accueillir le personnage, celui qui s'identifie à l'ego, qui a fait du mental son propre serviteur ? Sans vouloir offenser quiconque, le mental n'a pas sa raison d'être, il est l'instigateur de l'ombre, on doit se dépouiller, se dénuder, se libérer de tout contenu, de tout concept, de toute croyance et autres, une conscience individuelle qui est à l'origine de tout aveuglement, puisqu'elle se nourrit des histoires, cherchant à paraître que d'être.

Libre à chacun de servir ce qu'il croit d'être juste, de croire à une personnalité illusoire. Pour ma part, je dissous la personnalité, le mental de tout son contenu, intrusion venant de toute projection, de toute manifestation du paraître, tout ce qui alimente la conscience, le personnage, l'ego, qui donne l'illusion de la personnalité. En me dépouillant de tout, en me dénudant l'esprit, afin d'être ce qui est et cela avant toute apparition, toute création, avant le temps, l'espace et dimensions, être ce que nous sommes de toute éternité, la présence éternelle qui dans le rêve éphémère est libéré de tout concept, qui n'a point besoin de paraître pour être. L'anomalie vient de cette identification au mental, à cette conscience, à cette personnalité de l'ego. tout pour nous duper, nous éloigner de la lumière. L'intelligence divine est déjà en nous, en notre essence éternelle, tout se fait de façon naturel, inné. L'amour dénudé n'a point besoin de maître pour aimer tout d'un même amour. La question à se poser sommes-nous le mental ? Non, nous sommes la lumière libre de toute ombre, juste le mot mental en dit long. Voilà pourquoi il m'est difficile d'être dans le mental, dans cette conscience, dans cette personnalité, tout sonne faux, cela n'a aucun sens, par contre être dans le cœur, être la présence éternelle qui aime tout d'un même amour, sans se poser aucune question sans faire de tri pour savoir qui a le mérite de recevoir cette lumière ou pas. Aimer c'est reconnaître que tout est lumière, pas de place pour le mental, la conscience, le personnage ou la personnalité, l'ego. Juste être ce que nous sommes de toute éternité et cela avant toute ce qui est, l'amour dénudé de tout concept, la présence éternelle, il n'y a rien à demander. Juste être amour.

Présence
Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
Je ne suis rien de ce monde illusoire, juste la présence éternelle qui aime tout d'un même amour.


lundi 25 février 2019

Tout est dévoilé, en fait il y a que la présence éternelle qui se dévoile.

Tout est dévoilé, en fait il y a que la présence éternelle qui se dévoile.


Cette nuit, je me réveille encore dans cet état de grâce, comment dire, j'étais la paix, la joie, la lumière de l'amour, cette présence qui traverse, transcende et consume toute illusion. Tout est clair, transparent, tout est limpide, plus aucune ombre que la lumière. Je suis là pour me dévoiler, la présence éternelle qui se dévoile. Tout est illusion, qu'importe la réalité dont fait face le personnage que l'on croit être, tout est illusion. Pourquoi cette illusion semble réelle ? C'est tout simplement une question d'identification. On croit être cette conscience, cette âme, cet être qui est en train de faire l'apprentissage de cet univers et de tout ce qui la compose. Qu'importe la réalité qui est nôtre, elle est à l'image de notre propre personnage. On dit que tout est un, mais en restant ancré au personnage, on se trouve être confronté à ses propres pensées, sentiments, émotions, à ses peurs, Il ne faut pas y en vouloir au personnage que l'on croit être pour la simple raison qu'il est conditionné, programmé à vivre dans cette illusion, que ne fait que lui refléter sa propre dualité et séparation. Encore cette nuit, on me dévoile la vérité, que tout est illusion, ce que l'on voit en l'autre, ou en cet univers en est que notre propre reflet, l'illusion du personnage.

On perçoit la réalité présente par nos sens, tout est analysé par le mental, en fait nous récoltons des fruits de notre propre esprit. Quand on dit que tout est accompli, que tout est un, que tout est illusion, qu'il n'y a pas un être plus grand ou plus petit, on a connaissance de ces vérités quand nous consumons le personnage et ses histoires. En restant dans le personnage, il nous fait croire à toute cette illusion, il alimente les histoires. En fait, malgré toute l'information partagée, la plus grande difficulté est de se consumer, de se traverser, de se transcender afin de ne plus être dérangé par aucune histoire, de vivre la dissolution du personnage. Qu'importe sa provenance de toutes les histoires, cela reste une projection, un scénario, une pièce de théâtre, dans lequel le personnage principal est le centre de tout. Tant que nous percevons quiconque dans le personnage, on se laisse prendre au jeu, car le personnage ne fait que refléter ses pensées, sentiments, ses émotions, selon que qu'il croit être en tant que personne vivant une réalité conforme à son image. Qu'est-ce que cela veut dire ? Tant que je m'identifie en tant qu'entité , en tant que personnage, en tant qu'âme venant apprendre et expérimenter ce monde, cet univers, je ne fais que créer la réalité illusoire, je reçois la lumière appropriée à ce que je crois et pense être en tant que personnage. Ce qui veut dire, tout ce qui compose cet univers, n'est que ma propre création illusoire, qu'importe comment cela est vécu à travers tous les personnages quels qu'ils soient, je ne vois que ma réalité illusoire. Il en est de même pour tous les personnages confronté à cette création illusoire, un seul qui s'éveille et tout est accompli.

En fait, en cet instant, depuis que j'ai vécu l'éveil, c'est que je me dévoile à moi-même cette vérité, puisque tout est un, que tout est la présence éternelle qui se manifeste en tant que personnage, en toute cette création illusoire. Qu'importe la forme incarnée, le temps, l'espace et dimensions, quelles que soient la réalité, tous les personnages reçoivent la lumière appropriée à leur niveau de conscience. Il est vrai qu'on se laisse prendre au jeu des personnages, le mental prêt à réagir sur sa proie, tout ce qui le dérange vient l'affecter, vient le perturber, surtout le mental déteste de ne rien faire. Voilà l'importance de comprendre que tout ce qui affecte notre mental, ne sont que des histoires pour alimenter cette réalité illusoire. Je me suis poser la question que suis-je venu apporter à cet univers illusoire ? En fait, je ne fais que me dévoiler que tout est illusion, que tout est la présence éternelle, que tout est lumière, que tout est amour, paix et joie. Il est vrai que lorsque l'on reste identifié au personnage, à son livre d'histoire, que cela peut être très éprouvant, que cela fait naître des peurs, alimenter des croyances, des concepts, des archétypes et autres enfermements, juste en y pensant.

C'est ainsi que nous éprouvons la souffrance, le manque d'amour, les attentes, les maux, vivons sans cesse cette illusion de dualité et de séparation, pour la simple raison que tout cet univers ne fait que refléter cette création illusoire. Il est vrai que les anges, les archanges et autres entités de lumière peuvent nous seconder, nous guider, mais ne peuvent pas nous sortir de ce rêve éphémère, de cette création illusoire, pour la simple raison qu'ils sont notre projection. Ils ne sont pas réels, comme nous le sommes pas dans ce rêve éphémère. Qu'est-ce qui change en vivant cet éveil, en traversant, transcendant et en consumant le personnage que nous avons cru être ainsi que tous les personnages de cet univers, création illusoire ? Cela change tout, qu'importe ce que cette création m'apporte comme réalité illusoire, il ne reste que la présence. Est-ce important de savoir si les personnages qui font parties de ma réalité illusoire s'éveillent ? Non car, ce que nous croyons être dans ce rêve n'est qu'illusion. On va me dire, qu'il y a des êtres humains qui tuent, qui violent, qui manipulent les gens, qui font des actes incompréhensibles, qui n'ont aucune conscience, qu'ils agissent avec tant de mépris, tant de violence envers ce monde, envers eux-mêmes, dire que tout ça est illusion, c'est quand même un peu fort. Cela peut paraître incompréhensible pour celui qui observe sa propre réalité illusoire, de constater qu'il y a en ce monde des actes impardonnables, incompréhensifs et que cela ne devait pas exister.

Que devons-nous comprendre dans cette réalité illusoire, dans ce rêve éphémère ? Juste, cette simple vérité, tant que nous croyons être le personnage, qu'il reste identifié à cette forme, nous ne pouvons pas sortir de cette illusion. La seule porte de sortie c'est vivre cet éveil, je dis souvent quand l'élève est prêt le maître agi. C'est la présence éternelle qui se dévoile à elle-même, qui m'a permis de sortir du personnage pour prendre connaissance que tout est illusion. Cela peut paraître impensable qu'il y ait des anomalies, des actes irréfléchies, impardonnables, avant d'en arriver à des actes incompréhensifs, le personnage ne fait qu'exprimer sa souffrance intérieure, en fait il cherche à s'en libérer. Quoi qu'il en soit, qu'importent les actes en ce monde et cet univers illusoire, tout n'a qu'un but se dévoiler à soi-même. Comprendre que tout est illusion, qu'il n'y a rien à juger, ni à condamner. Lorsque nous sommes confrontés à vivre, à observer ou être témoin de toutes ces souffrances, c'est que tout simplement, nous restons identifiés au personnage, aux histoires, aux croyances, aux concepts et tout autre lien d'enfermement.

Comment se peut-il qu'il y ait des êtres humains qui ont pardonné l'impardonnable, qu'ils ont vécu de grande souffrance, pourtant ils ont pardonné leurs bourreaux. C'est qu'ils ont compris que seul le vrai pardon, l'amour dénudé de tout concept permet de le faire. Il n'y a plus de souffrance quand nous endossons notre lumière, cette présence éternelle qui est avant toute création. L'univers n'est plus, il est que le rêve éphémère et comme je le dis dans ce message, je suis là pour me dévoiler, mettre fin au livre d'histoire et à tous les personnages. N'ayant plus le même regard, voyant que la présence éternelle, sans donner aucune importance aux histoires. C'est en réalisant que l'on est la présence éternelle que toute illusion se dissipe, qu'il y a que la lumière, l'amour dénudé de tout concept, paix et joie. Je ne demande pas de me croire, en tout temps chacun reçoit la lumière appropriée pour justement faire l'expérience de la présence éternelle qui se dévoile, qu'importe toute création, toute illusion se trouve être consumée par son amour.

Présence
Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
C'est ainsi qu'en tant que présence éternelle, ma présence traverse, transcende et consume toute création, toute illusion, que je reconnais que tout est lumière, paix et amour.

dimanche 24 février 2019

Comment faire ce pas de côté, celui d'être dans son soi accompli ?

Comment faire ce pas de côté, celui d'être dans son soi accompli ?


Qu'on le veuille ou non, nous incarnons en cet instant une forme humaine, qui est assujettie au temps, à l'espace et dimensions, ce qui fait de nous une présence en cet univers, en ce monde. Déjà comprendre que nous ne sommes ni la forme, ni ce monde, ni cet univers, nous en faisons l'apprentissage et l'expérience en tant que présence. Lorsque l'on s'identifie à la forme humaine, à ce monde et à cet univers,. à toutes les croyances, concepts, archétypes où tout autres liens d'enfermements, nous restons piégés en quelque sorte, comme si nous étions un personnage qui se raconte dans un livre d'histoire. Et lorsque l'on s'identifie à la personnalité du personnage, nous en vivons les conséquences, les émotions engendrées qui font que le personnage dans ce livre d'histoire vit une déchirure avec sa vraie nature divine, une grande souffrance. Pourquoi, il a juste oublié qu'il n'est pas juste le personnage de ce grand livre d'histoire mais bien la présence éternelle qui en fait la lecture. En fait en s'identifiant comme faisant partie de ce monde, de cet univers, on est confronté à toute cette illusion de dualité et de séparation.

On croit être unique, séparé, vivant indépendamment du reste de la création, qui est en fait à l'image du personnage. Il est difficile de comprendre, d'intégrer que tout est un, que tout dans ce livre d'histoire, ou dans ce rêve éphémère que tout soit la manifestation du même personnage se retrouvant dans la totalité du livre d'histoire, du rêve éphémère, de toute création de l'esprit. Comment cela se peut-il ? Le personnage ne peut comprendre le pourquoi, le comment, tant qu'il y a identification au personnage, il est rattaché au livre d'histoire, en l'occurrence à ce rêve éphémère. Et on se laisse prendre au jeu des personnages, chacun reprochant à l'autre sa propre souffrance, sa déchirure avec sa vraie nature divine. Alors on voit les autres comme extérieur à nous, le jeu du miroir, chacun des personnages se reflètent les mêmes blessures, les mêmes histoires, perçus de façon différente car chaque personnage a sa propre personnalité. Chacun est victime de sa personnalité, des croyances, des concepts, des archétypes, des conditionnements et autres enfermements. Il suffit de voir le contraste avec la nature et l'activité humaine, l'un est une belle représentation de la vie, où l'on sent et ressent l'âme de la nature et de l'autre l'activité humaine sans âme aucune, reflétant la mort, le sans vie.

Ne nous demandons pas pourquoi nous nous sentons pas à notre place dans cette activité qui ne fait que détruire la vie, la nature est essentielle à nous sentir vivant, pleine de vie, à ressentir la joie, le bonheur et l'amour dénudé de tout concept. Il y a cette force de la nature, qui nous rappelle notre vraie nature divine, ce tout en un, pas de croyance, pas de concept, pas d'archétype, pas de religion, pas de conditionnements, pas tout ce chaos mental, juste l'harmonie des choses, l'ordre parfait. La nature n'a point besoin de l'homme, pour se régénérer, afin de renouveler le cycle de la vie. Par contre l'homme, le personnage qui se raconte des histoires, a besoin de la nature, en agissant ainsi envers ce monde, cet univers, il meurt à petit feu, il ne respecte rien, ce qu'il respecte, ce sont ses croyances, son enfermement. En fait, il est victime de son ignorance, enfermement. Comme si nous pouvions voir en ce livre d'histoire deux aspects, l'un étant parfaitement orchestré, comme le montre si bien la nature et de l'autre l'homme jouant à son personnage, agissant sans âme aucune envers ce monde, envers toute création. Il est vrai que tout est le fruit de l'esprit, que tout est un, tout est la même présence éternelle. Comment retrouver sa vraie nature ? En nous reconnectant avec dame nature, en agissant avec amour, un amour dénudé de tout concept. Comme je le disais, nous ne sommes pas le personnage, ni la personnalité, nous sommes la présence éternelle, celle qui est avant toute création. Pourquoi, vivons-nous cet apprentissage et expérience ?

Nous le vivons pour comprendre notre vraie nature divine et prendre connaissance de notre enfermement et de notre égarement. En prenant connaissance que l'on se raconte des histoires, que sont les croyances et autres, qui ne font que nous éloigner de ce que nous sommes de toute éternité. Cette présence éternelle qui n'est qu'amour. Ne restons pas prisonnier de cette personnalité, de tout son contenu mental, nous ne sommes rien de toutes ces histoires, qu'importe ce que nous croyons, ce sera toujours notre reflet. Nous ne sommes pas le reflet, mais bien la présence éternelle qui se manifeste en toute création. Qu'importe ce que nous voulons atteindre, ce sera toujours notre reflet, il n'y a rien à attendre, de qui ou de quoi que ce soit, nous sommes déjà la présence éternelle et cela avant toute création. Quelle que soit la souffrance, les maux, où tous autres ressentis, nous en sommes les créateurs pour la simple raison que l'on s'identifie au personnage, au lieu de ce qui a toujours été et cela avant tout. Quoi qu'il en soit, qu'importe le personnage, la personnalité, tôt ou tard, tout est consumé par le feu sacré de la présence éternelle, nul ne peut ignorer sa vraie nature divine. Tôt ou tard, il y a basculement, il n'y aura plus aucune identification au personnage et à ses histoires, une renaissance en la présence éternelle. Comme je le disais, le temps, l'espace et dimensions ne sont qu'illusion, le fait de sortir du personnage, nous faisons que réaliser que tout est accompli, qu'il n'y a que la présence éternelle.

Présence
Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
N'oublions pas que nous sommes à la fois la goutte d'eau tout en étant la mer, l'océan, toutes les étendues d'eau, le fleuve de la vie, la présence éternelle, celle qui avant toute création et celle qui est en toute création. 

vendredi 22 février 2019

Gratitude à la vie et retour au point zéro, absolu, avant toute création, en la présence éternelle.

Gratitude à la vie et retour au point zéro, absolu, avant toute création, en la présence éternelle.


Gratitude a la vie, voilà un message qui rend grâce à la vie, à chacun, à cet univers dans lequel nous sommes venus apprendre notre véritable nature divine. Comment ne pas remercier toutes les âmes, toutes les consciences, vos âmes, à tous les personnages qui ont contribué de loin comme de près à cette révélation. Un certain sage, disait remercier ceux et celles qui nous font souffrir, qui nous offensent, qui nous condamnent pour leurs propres fautes, qui nous ont manqués de respect, ce sont des maîtres. À tous ces êtres, qui ont su mettre le doigt à la bonne place pour faire ressortir toutes mémoires cristallisées. Grâce à toutes les âmes qui nous ont accompagnés pendant tout ce processus d'apprentissage, elles ont apporté la lumière appropriée tout le long du chemin vers le retour en la source originelle. Il y a eu les âmes bienveillantes, sachant réconforter, tout en contribuant à apporter par leur présence du bonheur. Il y a les autres âmes qui ont un tout autre rôle, jouant à nous faire souffrir, nous faire réagir, en nous confrontant à nos croyances, à nos enfermements, tout ça pour que l'on prenne connaissance de la puissance de l'amour.

Il est très difficile, voire incompréhensible de croire que toutes les âmes qui nous ont fait souffrir par leurs actions, soient des actes d'amour. Pourtant, cela ressemble plus à de l'acharnement, prendre un vilain plaisir à faire souffrir, la question est de savoir pourquoi cela se passe-t-il ainsi ? Dans un premier regard, on pourrait penser que ces êtres sont ignobles, d'agir ainsi, comme s'ils prenaient plaisir à le faire. La réalité est tout autre, comment parvenir à se libérer des croyances, des concepts, des archétypes et autres enfermements si ce n'est que par le processus d'apprentissage en passant par la souffrance et l'amour. Il faut comprendre qu'il en faut de l'amour incommensurable pour permettre à un être de sortir de toute illusion de dualité et de séparation. Quoi qu'il en soit, l'être reçoit en tout temps la lumière appropriée, cela se passe par toutes les gammes d'émotions. Il y a les âmes dont leur rôle est de consoler et d'autres c'est de faire réagir, toucher là où ça fait mal. Que reste-t-il quand nous sommes dépouillés, dénudés de toute souffrance ? C'est que le travail sur soi est complété, c'est que nous avons transcendé, traversé et consumé le personnage que l'on croyait être par le feu sacré de l'amour.

En fait on retrouve notre véritable nature divine, qui est avant toute création. L'épais brouillard dans lequel on se trouvait être confronté, à toute cette illusion de dualité et de séparation s'est dissipé, Il n'y a que la lumière, la paix, la joie, en la présence éternelle de l'amour, dénudé de tout concept. Comment ne pas remercier toutes les âmes, tous les êtres qui ont contribué à cette prise de conscience ? Sachant qu'en fait, tout ce temps d'apprentissage, toutes ces épreuves, tous ces combats, que tout a été mis en oeuvre par une seule et même présence. Pour réaliser que tout a toujours été notre propre reflet, toutes les âmes, ne sont que la manifestation de ce qui se trouve en tout notre être. Le chemin de la souffrance, c'est la résultante d'un être qui ne sait pas que tout est un, que tout est sa création. Qu'il n'a pas réalisé que son prochain n'est que la manifestation de sa propre illusion de dualité et de séparation, que toute sa souffrance vient de son incompréhension, de son enfermement. Gratitude infinie, à tous ses autres moi, à tous ses autres nous, qu'importent leurs rôles, tout dans ce rêve éphémère est de comprendre que nous sommes le même rêveur. Et lorsque nous ne rêvons plus, nous sommes libérés de toute illusion, de toute création, que l'on voit maintenant qu'il y a que l'ici et maintenant, que tout est lumière et amour.

Chers amis, chers proches, à tous ceux qui me suivent ou pas, à tout ce qui est dans cet ici et maintenant, j'ai que de la gratitude infinie, une reconnaissance éternelle, que tout est la présence éternelle. Pour le comprendre, le concevoir, l'intégrer, c'est par cet apprentissage, par le rêve éphémère que l'on réalise qu'en fait que tout est un, cette présence éternelle, l'amour dénudé de tout concept. C'est par elle, avec elle et en elle que nous retrouvons la mémoire, qui nous fait prendre connaissance que tout est un rêve et que nous en sommes le rêveur tout en étant la présence éternelle, qui est avant toute création. Qu'importe le personnage que l'on croit être, la vérité c'est que nous sommes la présence éternelle, le tout en un. Quelles que soient les épreuves, tout a été orchestré dans le but de sortir du personnage pour endosser notre véritable nature divine, celui de réaliser cette humble vérité. N'oublions pas qu'importe ce que nous vivons, nous recevons toujours la lumière appropriée, ne nous fions pas aux apparences, tout est lumière et amour, même dans les endroits les plus sombres, cela n'est que le regard du personnage ancré dans les croyances, concepts, archétypes, enfermements. . 

Auteur 
Régis Raphaël Violette 

jeudi 21 février 2019

JAMAIS PLUS … POUR NE PLUS … JUSTE L'AMOUR

JAMAIS PLUS … POUR NE PLUS JUSTE L'AMOUR 

🙏💖🌞 Et si nous décidions de nous dénuder, de nous dépouiller de tout concept, croyance, archétype ou tout autre enfermement, conditionnement. pour endosser notre essence commune, éternelle, en la présence éternelle de l'amour. 

POUR NE PLUS POUR ÊTRE QU'AMOUR … 

Lorsque nous arrêterons de regarder l'univers comme étant quelque chose d'étranger, d'inconnu, d'avoir peur pour n'importe quoi, nous ne pouvons pas vivre en paix. De la même façon que lorsque nous regarderons nos semblables, comme des inconnus, ne faisant pas partie de notre propre univers, de notre propre tout, de notre propre unité, de notre propre cœur, de notre propre essence, de notre propre esprit, nous ne pourrons pas vivre en paix, en harmonie, dans la joie, ni dans l'amour. L'amour dénudé de tout concept est la clé pour être libre, être en harmonie, être dans la joie et dans la lumière de l'amour. L'amour dénudé ne fait pas que traverser, transcender et consumer toute création, il en est la présence éternelle, qui est avant toute chose, en fait il est notre essence et cela avant toute création. Qu'importe ce que nous croyons être en tant qu'âme, en tant que conscience ou esprit, tout n'est qu'illusion, nous sommes avant tout ce qui est, la présence éternelle, l'amour dénudé, dépouillé de toute illusion de dualité et de séparation. 

Présence
Régis Raphaël Violette




mercredi 20 février 2019

Et si la vie consistait à tout consumer par le feu sacré de l'amour.

Et si la vie consistait à tout consumer par le feu sacré de l'amour.


Et si la vie consistait à être observateur de quelque chose d'encore plus grand de ce que nous observons. À travers notre forme humaine, on observe le déroulement de la vie, de cette grande pièce de théâtre, qui représente qu'un grain de sable dans cet univers infini. Notre forme humaine est à la fois notre écran d'observation, de réceptacle. Nous percevons par tous les sens, c'est ce qui nous permet d'être ancré, si on peut s'exprimer ainsi, car rien n'est stable, tout est mouvement. En tant qu'observateur de ce mouvement perpétuel, cela nous rappelle qu'il y a mouvement dans tout notre être, dans toutes les cellules et organes de notre véhicule humain. Si je suis en train d'écrire en cet instant, c'est qu'il y a toute une programmation qui me permet de le faire, en parfaite résonance avec ce que je suis et cela avant même d'être l'observateur. Je n'ai pas à y penser, cette programmation s'occupe de tout, des cellules et des organes, exécute le mouvement pour reproduire ce qui me vient en cet instant pour ainsi le partager.

D'une part nous recevons l'information, d'autre part nous la canalisons, nous consumons cette nourriture de l'esprit, pour ainsi la reproduire en se servant de notre corps, en utilisant les touches d'un clavier et ainsi le transmettre sur l'ordinateur, qui est rendu possible par un logiciel quelconque. Toute cette explication pour révéler cette grande vérité, en tant qu'esprit observateur, nous nous servons d'un véhicule de lumière, en cet instant d'une forme humaine pour transmettre ce que nous observons, ce que nous percevons à travers ce véhicule. Il n'est que le réceptacle, qu'un corps de matière, avec une grande concentration d'eau. L'eau a cette capacité se s'imprégner des fréquences émotionnelles, l'eau canalise les vibrations et ainsi s'adapte en raison de ce qui est perçu, voire observé en tant que réalité. Nous sommes cette présence éternelle, nous sommes tous la même essence, ce qui nous différencie c'est que nous avons choisi notre véhicule de lumière pour observer un angle différent de la réalité dans laquelle se passe ce déroulement de la vie. En fait nous observons notre propre film, tout ce qui se présente à nous, fait partie de nous. Comme je l'exprimais, nous nous servons pas simplement de notre véhicule de lumière, mais on se sert, on utilise tout, comme ce clavier, ce portable, la connexion internet pour transmettre un message quelconque.

En fait, en tant que présence éternelle, pouvant être en toute création, créant toute chose, nous nous exprimons, nous vivons, nous interagissons, qu'importe ce que nous sommes en train de faire, tout est que programmation, que tout est lié. Il n'y a pas de hasard si en cet instant, vous êtes en train de lire ce message, tout est une question de fréquence, tout suit un ordre établi, parfait, divin, de la même façon que je reçois cette information de l'esprit, de la même façon qu'il se présente à vous. Comment cela se passe-t-il ? C'est que tout est lié, tout vibre à différentes fréquences, en ce qui nous concerne nous vivons l'expérience dans la matière par un véhicule qui en fait le pont, qui permet à l'esprit de s'exprimer, de partager en tant qu'observateur, en tant que présence éternelle, ce qui se déroule sur cet écran d'éternité, notre propre film. Ceux qui liront ce message, ce ne sera pas dû au hasard car cela n'existe pas, c'est qu'en cet instant sur le déroulement de leurs propres films, ils reçoivent l'information partagée par la même présence éternelle, mais s'exprimant par d'autres véhicules de lumière, formes humaines, homme ou femme cela n'a aucune importance pour la simple raison que nous ne sommes pas le véhicule mais bien l'esprit, la présence éternelle. L'aspect masculin ou féminin n'est qu'une autre programmation afin de permettre à l'esprit d'en faire l'expérience, mais cela reste la même présence éternelle, car celle-ci anime toute vie, quelle que soit la diversité. toute forme est sa création,  tout pour pouvoir s'exprimer, partager, échanger, communiquer.

On se rend bien compte qu'en tant qu'observateur de notre propre film, comme tout est lié, qu'il nous est de plus en plus difficile de continuer à être observateur d'une réalité qui ne convient plus. De plus en plus nous nous dépouillons des croyances, des concepts, des archétypes, de tout enseignement qui ne fait qu'alourdir notre véhicule, qui embrouille l'esprit, qui perd toute objectivité. Nous nous rendons compte que le film tire à sa fin, fin de la production, de la programmation. Un changement si grand que nous assistons à la fin de cet univers pour se retrouver dans un autre univers, un changement radical, qui met fin au monde du mental, de l'ego. Une toute nouvelle programmation de la présence éternelle, qui a su transcender, traverser et consumer toute création par le feu sacré de l'amour. On le voit, one le sent, on sait maintenant que tout ce qui se présente à soi, se trouve être notre propre film, notre rêve éphémère. En tant qu'observateur, pour ceux qui en ont la connaissance, ne juge plus, ni ne condamne, ni ne critique quoi ou qui que ce soit, on voit notre propre film et on le traverse, on le transcende et on le consume par le feu sacré de l'amour dénudé de tout concept. On a enfin compris que tout est illusion, que nous sommes tous la même présence éternelle, peu importe où celle-ci se manifeste, temps, espace et dimensions, tout est notre essence éternelle.

Nous savons maintenant que tout est notre reflet, comme je le disais, notre propre film et celui-ci tire sa révérence, il n'a plus sa raison d'être, Nous nous sommes consumés par le feu sacré de l'amour pour retrouver que l'essence qui est avant toute création et que notre seule nourriture est l'amour divin,. agapè, originel. Tout est lumière, notre forme humaine continue à nous servir tout en sachant que nous sommes tout et rien à la fois, qu'importent les scénarios, nous l'avons déjà consumé par l'amour, la joie et notre paix éternelle.

On se rend compte qu'il y a que notre propre reflet, notre propre film, à nous maintenant de le consumer par notre amour dénudé de tout concept, être que la présence éternelle qui s'observe dans la lumière, dans la joie, la paix et le silence. Tout ce que nous n'arrivons pas à consumer par notre amour dénudé, se trouve être nous, tout est un. Pour que la vie soit le plus merveilleux repas, le consumer avec amour libre de toute illusion, croyance, concept, archétype ou autres enfermements. En tant qu'observateur qui s'observe, qu'en fait il n'y a rien à juger, tout n'a qu'un seul but, celui de prendre connaissance que nous sommes tous le même créateur de nos propres films, celui du rêve éphémère.

Le plus drôle c'est que tout se manifeste au même instant, dans cet ici et maintenant, que nous n'avons jamais quitté la source originelle et qu'en tout temps, si je peux m'exprimer ainsi, être la présence éternelle et cela avant toute création. Le film n'est qu'illusion pour apprendre qui nous sommes de toute éternité. L'ombre et la lumière ne sont que notre propre projection, regard, rien d'autre qu'une illusion, car nous sommes avant toute création, l'amour dénudé de tout concept, que la présence éternelle.

Auteur
Régis Raphaël Violette 

lundi 18 février 2019

Soyons que l'expression de l'amour dénudé, notre essence éternelle..

Soyons que l'expression de l'amour dénudé, notre essence éternelle.



L'être humain, cette forme dans laquelle nous avons choisi de nous exprimer, de nous faire entendre. Il est en fait un réceptacle qui n'a qu'un but, émettre le chant créateur de la vie. En cet instant, une question émerge de l'esprit, du mental, mais qu'est-ce que le chant créateur ? De quoi s'agit-il ? Le chant créateur est un chant qui corrobore ce qu'il y a de plus grandiose, on pourrait même dire que c'est le chant de l'âme, de la conscience, on s'y rapproche, mais pour le comprendre, pour le saisir, pour le vivre, pour ainsi en ressentir toute sa puissance, vibration et fréquence, il n'y a qu'un chemin. Il est la force qui donne cet élan, cette expiration créatrice. Pourtant tous les êtres vivants en sont dotés, il suffit d'écouter, de faire silence pour être en mesure de l'entendre, ce que le mental ne saisit pas, mais que le cœur entend, qui est en fait un rappel à la force de vie. Je chante la vie, dites-moi qui en ce monde prend le temps de chanter la vie ? La grande majorité se préoccupe à vive dans le monde du mental, qui a perdu le vrai sens de la vie, la reconnaissance de celle-ci.



Si l'être humain, prendrait le temps, pas pour travailler, pour un laps de temps lâcher prise du monde du mental pour faire une pause, juste écouter dans le silence, ces chants de vie. Commençons par les oiseaux, il y a probablement des magnifiques oiseaux, des moineaux, des hirondelles, des colibris, des merles, des pinsons ou autres, qu'importe ce qui se trouve tout près. Déjà le matin, à l'aurore, on entend le chant de la vie, il est magnifique d'entendre les oiseaux chanter leurs douces mélodies, un hommage à la vie, à cette force créatrice. Il y a de cela fort longtemps la terre était recouverte d'eau presque la totalité, cette mer gigantesque se répandait dans tous les horizons, il y avait les baleines majestueuses régnant sur le monde marin, les dauphins et autres mammifères. Imaginons un instant, nous ne sommes plus sur la terre, mais totalement immergé dans la mer, pouvant respirer à notre guise, l'eau est omniprésente, nous ressentons les courants chauds et froids, de la plus petite vibration à la plus grande. Cela est plus qu'un langage, l'osmose avec la mer et avec tout ce qui s'y trouve. Plus de sensation de séparation ou de dualité, tout est lié, tout est harmonie. En cet instant, imaginons entendre le chant des baleines, ces reines de la mer, des océans, un immense son sonore nous traverse, nous transcende et nous pénètre tout notre être, on en est imprégnés, nous nous sentons emportés par ce merveilleux chant.

En cet instant, que se passe-t-il, tout notre être se trouve consumé par ce chant de baleines et c'est là que le miracle s'installe, ce qui avait été enfouie, ce qui avait été oublié et remplacé par les pensées, venant du mental, laisse la place à cette légèreté, le cœur se met à respirer à nouveau, là où notre essence éternelle reçoit l'hommage des baleines, ce chant exprimant la force créatrice. Un champ sonore s'une telle magnificence qui libère, celui, qui est prêt à l'entendre, permet de renaitre en cette force de vie. L'homme a oublié, qu'il est avant toute chose cette force de créatrice aux dépens de son mental ego, de chanter pour la vie, en l'honneur et en la gloire de cette force créatrice, de cette présence éternelle. Prenons le temps d'écouter la vie, tout y exprime cette force créatrice, qu'avons-nous fait, en choisissant d'honorer et glorifier le monde du mental ego ? Regardons-nous en cet instant, chantons-nous pour la vie ou nous chantons pour le monde du mental ego . Nous nous servons de notre réceptacle humain, ce véhicule de lumière pour glorifier les croyances, les concepts, les archétypes, les religions, toutes pensées venant du monde du mental, au lieu de servir notre essence éternelle, libre de toute dualité et séparation.

On se contente de servir le mental ego et son univers, en étant à son service. Qu'est-ce que cela nous a-t-il rapporté à le servir ? Que des maux, que des souffrances, nous empêchant d'être libre, prisonnier à jamais, sans jamais de repos, vivant le chaos. On croit qu'en servant le monde du mental ego, que cela apporte la joie, le bonheur, l'amour. Détrompons-nous ? Servir le monde du mental ego, c'est être condamné à perpétuité à ne plus voir la lumière et à rester dans l'ombre. Pourtant, nous avons des maîtres, des enseignants, des exemples, qui ne demandent rien de nous, ils nous expriment à leur façon, leurs chants de la vie, en honneur à la force créatrice, en cette présence éternelle qui se trouve en tout notre présence, en toutes nos cellules, nous en sommes l'essence et que faisons-nous ? On a créé un monde à l'image de notre mental, un monde où il est impossible d'être joyeux, en paix, être libre, on se raconte tous des histoires, nous sommes conditionnés à vivre comme des automates au service du mental ego.

Regardons autour de nous, nous sommes les seuls sur ce monde qui agissons de la sorte, à ne pas chanter pour la vie. Oubliant d'exprimer son unité avec le tout, oubliant son propre chant, pour glorifier le monde du mental ego en se coupant de toute cette diversité de la vie, où tout honore et rend hommage en cette force créatrice. Que ce soient les cristaux, les minéraux, les végétaux, les animaux, tout dans une certaine mesure expriment ce langage universel, tel un arc-en-ciel affichant toutes les couleurs. Et l'homme s'est coupé de toutes ces couleurs, ne faisant qu'à sa tête, ne cherchant qu'à s'approprier cette richesse. Le but de ce message n'est pas de juger, ni de condamner, celui de se rappeler que nous sommes cette présence éternelle qui se manifeste en toute chose, avant toute manifestation, On se demandent tous pourquoi le monde est tel qu'il est, il est simplement à l'image du mental ego et non de celui du cœur unifié, nous avons oublié le principe initial à toute forme de vie, le chant de la vie, de l'amour, cette reconnaissance avec le tout.

Faites comme nous, un grand nombre d'entre-nous, ne peuvent plus être dans le monde du mental, domination de l'ego, à se raconter des histoires. Il n'y a que par le cœur, en se dénudant de tout, en se dépouillant du monde du mental que l'on se libère de l'ego, pour être de toute éternité ce que nous sommes déjà et cela avant toute création. La présence éternelle, qui traverse, transcende et consume toute création, en permettant à toute cette diversité de chanter la vie, honorant et glorifiant la vie. La force créatrice, la présence éternelle, notre je suis, totalement libre du monde du mental ego. Que l'on soit immergé par la mer où que l'on soit sur la terre, laissons notre cœur s'exprimer, en chantant la vie, aussi par le silence, ou en l'écoutant. Soyons que l'expression de l'amour dénudé, notre essence éternelle. C'est ainsi que nous vivons la joie, la paix et l'amour dénudé de tout, qui ne peut pas s'exprimer par l'univers du mental ego, des croyances, des concepts ou autres.

Auteur
Régis Raphaël Violette


dimanche 17 février 2019

Rien ne lui échappe, nous ne faisons que suivre ce qui a déjà été écrit d'avance.

Rien ne lui échappe, nous ne faisons que suivre ce qui a déjà été écrit d'avance

Comment décrire ce qui est incommensurable, qui est d'une telle intelligence, rien ne peut en tant que personnage ne peut rivaliser avec cette incroyable source de lumière, pas n'importe laquelle, celle qui orchestre tout, qui planifie tout, rien ne lui échappe.


De plus en plus d'êtres humains prennent connaissance de ce qui les anime au plus profond de leur être, une force qui n'a aucun égal, égal à elle-même, rien ne peut l'altérer, ni même l'influencer. Combien de temps l'être humain a erré, ainsi que cet univers, pourtant un univers qui pourtant a une infinitude de dimensions, d'espace, un temps approprié pour toute cette diversité de la vie. Un nombre incalculable de consciences, toutes cloîtrées, enfermées dans une réalité illusoire, cherchant à connaître l'origine de tout ce qui est, s'inventant des histoires, des croyances, des concepts, des enseignements pour ainsi alimenter l'histoire de cet univers, de cette matrice quantique. J'ai eu la chance, si je peux parler de chance car en fait tout se trouve déjà écrit sur la page de nos propres écrans. Déjà dans le passé, j'avais eu cet éveil, un dialogue avec cette présence éternelle, qui m'a fait prendre connaissance que cet univers et tout ce qui la compose n'est qu'illusion. J'ai vécu quelque chose de grandiose, des plus merveilleux. En gros, c'est que tout mon être fut traversé, transcendé et consumé par sa douce présence, par son amour dénudé de tout concept. Et depuis ce temps, tout ce que j'écris me viens de cette présence, que je sens en tout mon être. Je me souviens quand elle m'a réveillé en pleine nuit, pour aller devant l'ordinateur afin d'écrire sur l'éveil et depuis cela n'a jamais cessé.

À l'époque, on m'avait tout montré, divulgué, que tout en ce monde se trouve être la même présence, qu'importe le nombre incalculable de consciences, d'âmes, ce qu'elles ont été comme personnages, ce qu'elles ont incarnés, tout est animé par la même présence éternelle. Comme je le dévoilais jadis, tout est accompli, tout est un, il en suffit qu'un seul pour en prendre connaissance, mais en fait tous le vivent au même instant, le temps est illusion. Qu'importe qui a été le premier à le faire ou le dernier à le réaliser, tout se manifeste dans l'ici et maintenant. Ce qui est plus en plus prestigieux, voire miraculeux, ingénieux c'est que tout est accompli au même moment et cela avant même toute création. Il est vrai qu'il est difficile de le comprendre, mais quand nous réalisons qu'il n'y a pas de temps, qu'il n'y a que l'ici et maintenant. Cela fut pour moi toute une révélation à l'époque de savoir que tout est illusion, je n'ai pas eu cette information de l'extérieur, ou par une aide ou d'un intermédiaire quelconque. J'ai reçu cette connaissance par ma lumière intérieure, par cette présence éternelle, qui m'a fait voir que tout est illusion, que tout est un, cela aux dépens du personnage que je croyais être. Comme je le disais dans certains messages, quand l'élève est prêt, le maître agit. Lorsque toute illusion tombe, que reste-t-il ? Rien que la présence éternelle, entièrement libre, entièrement dépouillé et dénudé de tout concept, de tout archétype, de tout enfermement, de toute création.

Qu'est-ce que le bien et le mal, l'ombre et lumière ? Rien que des regards, des perceptions sur ce qui se passe à l'intérieur et à l'extérieur d'une conscience qui fait face à sa propre création. La conscience ou l'âme enfermée dans une réalité illusoire, se trouve être victime de son regard, croyant être dans une diversité infinie de forme de vie, se confrontant à cette création, univers. Qui est en fait le reflet de son propre regard. Il ne peut y avoir qu'un seul chemin, qu'un seul résultat à ce qui se passe en cet ici et maintenant. L'univers comme nous le connaissons n'existera plus, pour la simple raison que le jeu ne peut plus être joué, surtout quand le personnage prend connaissance qu'il n'est pas ce qu'il croit être, prend conscience qu'il n'est rien, qu'il est avant toute chose, avant toute création. En réalisant qu'il a vécu la dissolution de l'être, du paraître pour voir que la lumière, que l'amour divin, dénudé de tout concept, voyant que la présence éternelle, le tout en un, qui n'est pas assujetti à aucune histoire. Nous assistons à la fin de cet univers, à cette matrice, à ce rêve éphémère, à la fin du livre d'histoire, qu'importe la dimension, l'espace, le temps, tout y passe, tout se consume dans la lumière de l'amour. Lorsque nous vivons cet éveil, il n'y a plus que l'amour dénudé de tout concept, le bien et le mal ne sont que des histoires de ce livre d'histoire, ainsi que tous les personnages croyant être séparés de la source originelle. En fait, comme je le souligne, qu'importe ce qui adviendra, tout est déjà écrit pour chacun, tout est accompli, tous vivront cet éveil, qu'il soit le premier à le réaliser ou le dernier, tout se manifeste dans l'ici et maintenant, tout est illusion, seule la présence éternelle de l'amour est et cela avant toute création.

Qu'importe qui nous soyons, nous sommes tous la présence éternelle et cela avant toute création.

Auteur
Régis Raphaël Violette 

samedi 16 février 2019

Voilà l'action irréfléchie de l'homme humain, toujours en train de s'approprier les biens de ce monde, de cette terre, sans prendre conscience que tout est à sa juste place dans la nature.

💖🌞🙏Voilà l'action irréfléchie de l'homme humain, toujours en train de s'approprier les biens de ce monde, de cette terre, sans prendre conscience que tout est à sa juste place dans la nature. 




La nature nous révèle sa beauté, sa richesse et que faisons-nous pour la remercier, nous la violons, nous la détruisons, nous nous accaparons de ces richesses pour combler un grand vide immense. C'est que l'homme a oublié qu'il est une richesse en soi, que tout est issu de la même source créatrice. Sommes-nous des pilleurs ou nous sommes des êtres conscients de leurs richesses intérieures et extérieures, non pas en pillant ce monde, cet univers, mais en reconnaissant que tout est à sa juste place, que tout suit un ordre parfait, voire divin. 

D'après chacun de nous, le fait de dire que j'aime ceci ou cela, nous permet de le prendre et ainsi ne pas respecter l'ordre des choses. Quoi qu'il en soit, nous payons déjà de nos actions, en fait nous sommes en train de détruire l'univers et tout ce qui en découle, pour la simple raison que nous ne reconnaissons pas notre réelle richesse, l'amour ne veut pas dire prendre, l'amour c'est accueillir et accepter l'ordre des choses, l'ordre divin, là où tout est à sa juste place. Quelle est la place de l'homme, parmi la nature ? Celui de vivre en parfaite harmonie sans vouloir s'approprier les richesses de celle-ci, reconnaître que tout est la création d'une même source originale, la présence éternelle qui aime tout sans attente et sans condition. Il est drôle de constater quand l'homme vole son prochain, il est condamné à une peine de prison, pourtant l'homme vole et s'approprie les biens de ce monde, il ne se rend pas compte qu'il paye déjà pour son aveuglement, nous assistons à la destruction de ce monde et univers. 

Comme dirait Jésus à notre père céleste, la source originelle, pardonne leurs, père, ils ne savent pas ce qu'ils font. On utilise des cristaux pour amplifier la vibration, pour guérir, au lieu d'utiliser notre forme humaine pour le faire, de se connecter directement à la source originelle, sans intermédiaire, nous n'avons pas compris que nous avons tout en nous, point besoin de s'accaparer les biens de ce monde, nous sommes là pour contempler notre richesse, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Et on se dit vivre en parfaite harmonie. 

Il est plus que le temps de se réveiller, pour ne pas recommencer dans un autre univers, que cela vous déplaise d'apprendre que nous agissons comme des voleurs, des pilleurs, s'appropriant tout pour combler les attentes de l'ego. Tôt ou tard, la facture de nos actions ne pourra plus être remboursé, à moins de tout se remettre à zéro et repartir sur de nouvelles bases, l'amour dénudé de tout.
Comme je l'ai dit, à maintes reprises, je ne suis pas là pour plaire à l'ego, au monde du mental, je suis là pour dévoiler, de restituer la vraie richesse qui est déjà en tous les êtres. Cela ne veut pas dire que je ne vous aime pas, car l'amour que j'ai pour chacun est le même que j'ai pour moi-même, un amour dénudé de tout concept. 

Auteur
Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
Bientôt, si ce n'est pas déjà fait, l'être humain n'aura plus besoin d'intermédiaire, il sera libéré de tout lien d'enfermement, la paix, la joie et l'amour divin sera que son propre univers.



Après dissolution de cet univers, de ce rêve éphémère, du personnage que nous croyons être, de tout ce bagage émotionnel, du mental, de tout fruit de l'esprit, que reste-t-il ?

Après dissolution de cet univers, de ce rêve éphémère, du personnage que nous croyons être, de tout ce bagage émotionnel, du mental, de tout fruit de l'esprit, que reste-t-il ?


Que nous reste-t-il en ce monde, en cet univers, là où tout est illusion de l'esprit, du mental ego ? Il n'y a que notre apparence, notre forme illusoire, le fruit du mental, de l'esprit, la résultante en est l'action et réaction, tout appartient à ce monde d'illusion, ainsi que nos histoires, le personnage n'est qu'une programmation de cet univers illusoire. Comme je le dis, nous sommes ici tout en y étant pas, où sommes-nous ? Nous sommes de toute éternité, avant le temps, l'espace et dimensions, avant toute programmation quelconque, nous sommes la présence éternelle qui par le rêve illusoire expérimente l'illusion de dualité et de séparation pour ensuite la transcender, la traverser et la consumer par la lumière, un amour dénudé de tout concept, rien ne peut dissoudre l'illusion à part cet amour dénudé, dépouillé de toute action.

Voilà pourquoi l'amour dénudé est la lumière qui consume toute illusion, toute action et réaction, cet amour n'a aucune attente, aucune obligation, sa lumière est inaltérable, incommensurable, inviolable, inépuisable. Lorsque nous cessons de jouer au jeu de l'action et réaction, de se raconter des histoires, de cesser d'être le personnage, nous retrouvons notre lumière, cet amour dénudé, cette présence éternelle là où il n'a plus le besoin de paraître. Nous sommes tel un phoenix renaissant de ses cendres, il n'y a plus rien à consumer, plus aucune action et réaction, l'ici et maintenant qui n'est plus assujetti au temps, à l'espace et dimensions, le point zéro, absolu où tout est que lumière. Voilà lorsque nous vivons la dissolution de toute illusion, tout est lumière, amour, joie et paix. Il n'y a plus besoin d'action et de réaction, il n'y a que le silence, la présence éternelle, qui est sortie du rêve éphémère, qui ne se préoccupe plus de la causalité illusoire, illuminant tout de sa lumière.

Auteur
Régis Raphaël Violette


jeudi 14 février 2019

Nous sommes tous la même présence éternelle, pour le savoir, tout est dévoilé dans ce message.

Nous sommes tous la même présence éternelle, pour le savoir, tout est dévoilé dans ce message.


En cet instant d'éternité, je me retrouve face à mon reflet, cela peut paraître drôle de dire que je me retrouve face à mon miroir. En fait, ce message me concerne tout en concernant chacun d'entre vous. Pour ceux qui ne sont pas au courant, qui n'ont pas encore pris connaissance de cette humble vérité, ce monde dans lequel nous évoluons, se trouve être notre création. On se retrouve à vivre une réalité qui n'est pas le fruit du hasard, qui est en fait orchestrée par une présence d'une si grande intelligence, d'un si grand amour, qu'il est très difficile de pouvoir l'exprimer par les mots. On dit que le plus grand amour c'est l'amour d'une maman envers son enfant, mais ce que je suis en train d'essayer de vous exprimer l'amour de cette présence éternelle, son amour est incommensurable, immesurable, inestimable, il n'y a rien qui peut égaler ou même être au-dessus de cet amour.

Comment dire, un amour dénudé de tout concept, qui n'a aucune attente, qui n'a aucun jugement, peu importe comment on se comporte, comment on agit, Cette présence pardonne tout, jamais son amour diminuera en fréquence, elle est toujours égale à elle-même. Elle est notre lumière, notre guide, notre maître, notre enseignante, en fait elle joue tous les rôles pour nous faire réaliser que nous ne sommes pas juste un corps, un mental, une conscience, un cœur, une âme et un esprit, qui croit être séparée du reste de la création. Ce qu'il y a de plus merveilleux, de plus grand, de plus exceptionnel, c'est lorsque l'on réalise que nous ne sommes pas le personnage que l'on croit être, il n'y a pas de mot connu pour décrire la joie, le bonheur, et la paix quand cette vérité nous est dévoilée. En cet instant d'éternité, on voit passer le temps, on se retrouve dans cette dimension, dans cet espace où on fait face à cette réalité. Comme je le disais, on se retrouve face à notre reflet, pour certains êtres humains, ils croient que nous sommes tous distincts, mais est-ce vraiment le cas ?

La grande majorité des êtres humains voient qu'une facette de leur réalité, que la partie visible de l'iceberg, ils ne perçoivent pas l'ensemble, la totalité du glacier, de la création, croyant vivre séparément du reste. La réalité est toute autre, tout dans l'univers est unifié, tout est un. Comment est-ce possible ? Cela est possible pour une seule raison, la cause vient de cette présence éternelle, qui par sa lumière, par son amour incommensurable, apporte la lumière appropriée à tout ce qui est. Rien n'est laissé au hasard, tout est orchestré, tout est planifié. Son amour ne connaît aucune limite, aucune frontière, transcende le temps, l'espace et dimension, rien ne peut l'arrêter. Je vais vous dévoiler quelque chose, on croit que l'on est entièrement libre, qu'en fait nous sommes dotés du libre arbitre et que nous sommes les maîtres de notre destin.

En fait, cela est tellement subtil, que nous croyons fortement que nous sommes les maîtres de notre destinée, mais en fait, nous sommes maîtres de rien du tout. La présence éternelle orchestre tout, organise tout et planifie tout. Regardons un peu la pièce de théâtre dans laquelle nous sommes, tous le personnage. On croit que nous sommes libres d'agir, mais en fait depuis que nous incarnons le personnage actuel, tout est déjà écrit, nous ne faisons que suivre le scribe du personnage que l'on incarne. Pourquoi incarner un personnage ? C'est le moyen le plus simple d'apprendre à travers le personnage qui nous sommes vraiment, c'est par le jeu que l'on apprend à expérimenter les émotions, l'illusion de dualité et de séparation. Prenons un instant pour se remémorer tous les souvenirs, tout ce que l'on a pu expérimenter comme émotions dans nos relations, avec la famille, les proches, les amis, les connaissances et les étrangers et cela dans tous les domaines.

Cela nous a fait souffrir, rire, pleurer, sourire, bouder, exprimer la joie, se mettre en colère, partager notre joie, haïr, aimer, qu'importe c'est à travers les relations que l'on a appris à être celui que nous sommes en cet instant, autant que nous avons apporté aux autres que les autres nous ont apporté en connaissance. Tout ça pour apprendre sur soi-même. Pourquoi, vivons-nous cela ? Apprendre à pardonner, apprendre à aimer sans jugement, sans attente, à être en paix, en harmonie, parvenir à être heureux et cela quelle qu'en soit la réalité qui se présente. Tant que nous ne parvenons pas à aimer d'un amour dénudé de tout concept, nous continuons à apprendre ce qu'est le vrai amour. Parfois on se demande quoi faire pour apporter plus de paix en ce monde, de pouvoir abolir toute dualité, toute guerre, toute frontière, toute croyance, toute religion, toute forme d'enfermement, afin que tous puissent vivre le parfait bonheur, la joie, la paix et l'amour. La seule chose à faire, c'est de se dépouiller du mental, se dénuder des croyances, de tout concept, de tout archétype, de toute religion, de tout ce qui vient altérer notre esprit.

J'entends me dire, oui c'est bien, mais comment on fait pour se libérer de tout conditionnement ? La réponse peut paraître simple, cela consiste à transcender le personnage que l'on croit être, en vivant la dissolution. Comment fait-on pour vivre cette dissolution ? Par la reconnaissance, en reconnaissant que tout est la présence éternelle, en fait nous sommes victimes de notre ignorance, nous agissons comme si nous étions séparés, mais en fait tout est unifié. On est créateur de notre propre réalité car nous croyons au personnage, aux histoires, sans réaliser que tout ce que l'on voit est son propre reflet. Le fait de croire que nous sommes séparés, que nous croyons êtres des êtres distincts vivant notre propre libre arbitre, croyant que nous sommes tous différents, cela crée l'illusion dans laquelle on se retrouve être confronté. Je n'ai pas de mot pour décrire toute la reconnaissance que j'ai envers la présence éternelle, de constater que tout en est la présence, l'essence éternelle et que nous sommes victimes de notre propre égarement, aveuglement, enfermement.

C'est tellement drôle, tellement gros, de voir comment on s'est laissé prendre au jeu du personnage, croyant fortement à des concepts, à des croyances, à des archétypes ou autres, tout ça pour nous faire avancer dans le rêve éphémère, arriver au point zéro, et ainsi s'apercevoir de notre propre noirceur, de notre propre ombre pour ainsi tel un phoenix renaître de nos cendres, libérés des personnages, des histoires, vivant l'amour divin, initial. Un amour qui n'a aucun concept, qui n'appartient pas au temps, à l'espace et dimension pour la simple raison que cet amour est avant toute création. C'est ce que nous sommes de toute éternité, la présence éternelle, qui par cet amour dénudé nous a guidé vers la lumière, là où tout est un, paix, joie et amour. Voilà ce que je suis venu apporter, ce que nous sommes venus accomplir, je n'ai aucun mérite pour la simple raison que je suis aussi chacun d'entre nous. Nous sommes tous la même présence éternelle, pour le savoir, il suffit juste de sortir du personnage et se dépouiller, de se dénuder de tout, afin d'endosser la lumière par notre présence éternelle.

Auteur
Régis Raphaël Violette 

lundi 11 février 2019

Voilà la plus grande ignorance, d'avoir oublié que nous sommes la présence éternelle, Dieu, le tout en un.



💖🌞🙏Voilà la plus grande ignorance, d'avoir oublié que nous sommes la présence éternelle, Dieu, le tout en un.

Sortons notre tête de l'illusion de dualité et de séparation pour réaliser que tout est un.
On croit vivre séparément du reste, que l'on croit être une personne, détrompons-nous, cela est la résultante à cette identification à la forme oubliant que nous ne sommes pas justes la forme mais la globalité. Je le dis et je le répète, tout est un, dans cet univers, tout est le même rêve, le même rêveur, la même présence éternelle. La grande majorité reste ancrée au personnage, ils n'ont pas saisi que l'univers est notre création, On est l'univers comme on est la plus petite unité, tout est lié. Il est si facile de tomber dans l'individualité et croire que nous sommes distincts du reste. Tant que l'on se voit dans sa plus petite manifestation, on ne peut percevoir que nous en sommes la globalité.

Je vous ai déjà dévoilé que tout est accompli, mais pour le comprendre il faut sortir du personnage, de toute identification et comprendre que tout est la même présence éternelle. Sortir du rêve éphémère, c'est reconnaître que tout est un, que tout est le même rêveur, le temps, l'espace et dimensions, ne sont qu'illusion de séparation, pour nous faire croire que nous sommes des individus évoluant séparément du reste. En agissant ainsi on se coupe, sépare de l'ensemble, de la globalité. Il n'y a pas un qui soit plus éveillé qu'un autre, quand l'être s'identifie comme une personne, un individu, il est dans l'illusion. Tout jeune, je savais, j'avais déjà cette connaissance que tout était Dieu, que Dieu était en tout et on faisait qu'un. Soit que l'on continue à croire être un personnage, qui s'identifie comme étant une personne, une entité séparé du reste, soit que l'on prend connaissance de notre véritable nature, que nous sommes Dieu, cette présence éternelle libre de dualité et de séparation.

Le rêve est la résultante de notre identification au personnage, à cette entité que l'on croit être et que cet univers en est la grande pièce de théâtre. Tout est lumière, tout est un, nous sommes tous la même présence éternelle, Dieu. Fermons ce livre d'histoire de tous les personnages que l'on croit être, des entités séparées, dépouillons notre mental et réalisons qu'en effet, que tout est la présence éternelle, Dieu, qu'importe le non qu'on lui attribue. Vivons cet amour divin en se libérant de toute illusion de dualité et de séparation, seul notre amour dénudé de tout, nous dévoile cette humble vérité, tant que nous jugeons notre prochain, on est dans le rêve, à vivre l'illusion de séparation et de dualité. Voilà la plus grande ignorance, d'avoir oublié que nous sommes la présence éternelle, Dieu, le tout en un. Soyons la présence éternelle, la paix, la joie et l'amour divin, dénudé de toute illusion.

Auteur
Régis Raphaël Violette

dimanche 10 février 2019

La petite voix de la pérsence éternelle qui s'exprime en tout ce qui est.

La petite voix de la présence éternelle qui s'exprime en tout ce qui est.


Je suis la présence éternelle qui s'exprime, qui se manifeste, qui expérimente, qui apprend de sa propre création, je suis à la fois tout et à la fois rien dans cette création. De toute éternité, je suis la présence qui transcende, qui traverse et qui consume tout par ma lumière. moi, être divin, être de lumière, portant en son âme et conscience ma présence éternelle. Oui, je m'adresse à moi, un message qui m'est dédié, je ne suis pas là pour me juger, m'offenser et pour m'humilier, je suis là pour me révéler à moi-même ce qui m'unit de toute éternité. En cet instant, je croyais être une personne, une âme, doté d'un esprit, tout en étant dans ce corps qui me sert de véhicule pour ainsi sentir la vie, vivre en tant que personne, personnage, en tant qu'être responsable. Parlons du commencement, de ma venue en ce monde, mon arrivée en ce monde fut précipitée, sept mois dans le ventre de ma mère, accompagné d'une autre présence, cela fut très difficile ce passage pour ainsi émerger dans ce monde, univers. Une mère qui ne désirait plus avoir d'enfant, qui se retrouve enceinte de jumeau, qui est malade tout le temps de sa grossesse, jaunisse, vomissement, ne prenant aucune once, qui n'avait que la peau et les os et j'en passe, tout ça pour dire, après sept mois de gestation, nous apercevons la lumière, très fragile, ressemblant à deux petits capucins, commentaire de ma grand-mère du côté de ma mère.

Nous nous retrouvons mon jumeau et moi dans des incubateurs, nous ne sommes pas identiques, ce que l'on appelle de faux jumeau, bref on reste quelque temps, pour que nous puissions grossir un peu plus, tout en ayant cette surveillance médicale. Je me souviens un jour, je me retrouve à la maison, je porte mon regard envers ma mère et mon père, pour moi, à ce moment-là, c'était des étrangers, je n'avais pas cette reconnaissance, ce lien entre mère et fils. Par contre j'avais cette petite voix intérieure qui me parlait, me rassurait. J'ai été élevé dans une famille où nous étions quatre enfants, quatre garçons, pas de fille, ma mère avait mis au monde un autre couple de jumeaux, fille et garçon. La petite fille a quitté ce monde à l'âge d'un an et laissant son jumeau continuer cette vie ici-bas. Cela fut très éprouvant pour ma mère, une très grosse blessure. Il y a eu mon autre frère qui a presque rendu l'âme, il était entre la vie et la mort, miracle, il a survécu. Tout ça pour dire que ma mère a vécu de grandes épreuves, je me souviens une fois qu'elle nous avait habillés en fille, lors d'une séance avec un peintre, je me souviens de ce tableau, probablement pour soulager sa grande peine. Mais cela n'a eu aucune conséquence en tant que garçon. Moi et mon jumeau, n'a jamais eu une bonne entente, nous étions toujours en train de se battre. Tout ça pour vous dire que le nid familial, n'était pas de tout repos, un père absent par son travail, une mère qui n'aurait pas voulu se retrouver avec deux autres enfants à nourrir.

En gros, je me suis élevé moi-même, toujours avec cette petite voix intérieure qui m'accompagnait à faire la découverte de ce monde dans lequel j'étais venu faire l'expérience. Je me souviens à l'âge de 5 ans de dire à ma mère après que celle-ci nous dise à moi et à mon jumeau, que si elle aurait pu recommencer et si la pilule contraceptive aurait existé, qu'elle ne serait pas tomber enceinte et que nous ne serions pas nés. Je me souviens de lui avoir dit, tu sais maman, puisque nous sommes ici, tu vas faire avec. Ainsi va la vie, on continue à faire sa place dans ce monde, dans cet univers où nous ne sommes pas désirés. Par chance que j'avais en moi cette présence qui veillait sur moi, tout en me guidant. Je n'avais aucune méchanceté envers ma mère ou mon père, je comprenais et je faisais au mieux, afin de ne pas trop les déranger. Il m'est arrivé plusieurs fois de tromper la mort lors de mon enfance et adolescence, une fois un gros camion de plusieurs tonnes, je me suis retrouvé en dessous du camion, la tête frôlant les pneus arrière du gros véhicule. Probablement que j'étais avec un tricycle, un autre fois j'ai passé en dessous d'un autobus scolaire en bicycle et une autre fois en conduisant une moto, une grosse cylindrée. Il y avait cette présence qui me protégeait, qui veillait. En fait, je ne suis pas là pour raconter ma vie et ce qui m'a apporté à être ce que je suis en cet instant, si un éditeur me le demande, je le ferai en toute humilité. Ce que je suis en train d'exprimer, c'est que nous avons tous cette présence, cette petite voix qui s'exprime en notre cœur. Lorsque l'on n'écoute pas cette petite voix, nous sommes dans le mental, dans les croyances, dans les concepts, dans les jugements, dans le personnage qui se croit séparé du reste de l'univers, du monde dans lequel il évolue, vivant l'illusion de dualité et de séparation.

En tant que personnage s'identifiant au mental, à toutes les histoires de ce monde, nous restons ancrés dans les histoires, dans la souffrance, dans les peurs pour la simple raison qu'il n'y a pas d'unité, tous exprimant leurs souffrances, leurs peines, tout en essayant de trouver un sens à leur vie, à chercher ce qui apportera la paix, la joie et l'amour inconditionnel, un amour qui libère de toutes les histoires. Il n'y a qu'un seul chemin, celui de se dépouiller, de se dénuder du personnage que l'on croit être. Ce n'est pas en exprimant nos souffrances, nos blessures, nos états d'âme que nous allons parvenir à cette libération de toute cette dualité, de tous ces maux. En restant dans le personnage, on essaie de vivre une relation de couple, si l'amour est basé sur des concepts, sur des croyances, sur des archétypes ou tout autres enseignements, on ne fait que refléter le contenu de son mental, de ses propres histoires. Tant que nous restons dans le personnage il n'y a point d'amour vrai, car tout est basé sur des attentes. Bien souvent, les couples divorces par manque de communication, par le non-amour véritable. Tant que l'être croit à son personnage, il envoie comme lumière à l'univers son propre bagage émotionnel, que va-t-il recevoir en retour ? Le reflet de celui-ci, tant que nous n'arrivons pas à transcender nos propres blessures émotionnelles ou autres, l'univers ne fait que nous retourner ce que nous pensons et croyons être.

Voilà l'importance de bien comprendre que nous ne sommes pas le personnage, que l'on a voulu nous faire croire, de nous inculquer par les histoires de ce monde, de cet univers. En nous se trouve la solution à tout ce qui est, mais pour cela, chacun doit passer par la dissolution de son propre personnage et ainsi endosser cette présence de toute éternité qui se trouve en toute chose, qui aime tout d'un même amour, qui veille sur tout ce qui est. Il est normal que si nous n'écoutons pas cette présence en son propre cœur, à être dans la joie, dans la paix et dans cet amour incommensurable dénudé de tout concept, on se retrouve dans le personnage, dans le mental à y alimenter les mêmes histoires. En fait, nous sommes victimes de nos propres pensées, nous créons l'univers que nous volons être. Comme je le dis, par chance que depuis ma venue en ce monde, tout ait été bien orchestré pour que je sois déjà coupé de ce monde du mental, que cette petite voix a toujours été là pour me révéler ce que je suis, ce que nous sommes de toute éternité, le nier c'est se retrouver dans ce monde d'illusion. Quoi qu'il en soit, je ne juge personne, car tout est juste, tout a sa raison d'être, tout est un. Si par mon expérience de vie, cela permet à d'autres à trouver la lumière en leur cœur afin de se libérer en tant que personnage, retrouvant ainsi cette présence éternelle qui transcende, traverse et qui consume tout par son amour dénudé de tout concept, je ne serai pas ici en vain, j'aurai contribué par ma venue en ce monde, en cet univers. Nous sommes tous liés les uns aux autres, car tout est la même présence, mais pour le comprendre, il faut juste sortir du personnage que le mental veut nous faire croire et mettre fin au livre d'histoire.

Seul l'amour dénudé de tout concept, nous libère du personnage et des histoires, que l'on arrive à tout aimer d'un même amour, reconnaissant que tout est lumière, que tout est la présence éternelle.

Auteur
Régis Raphaël Violette