samedi 30 novembre 2019

Tout est un, lumière et amour, connaissance ou pas.

Tout est un, lumière et amour, connaissance ou pas.

Il est drôle de constater comment chacun voit la réalité, on peut dire que chacun le perçoit à son image, s'intéressant à savoir le pourquoi, le comment et ainsi pour en faire l'expérience. Quoi qu'il en soit, cet apprentissage est nécessaire pour comprendre la réalité. Plus on s’interroge, plus on veut savoir le qui, où, comment, pourquoi, connaître toutes les réponses afin d'apaiser le mental, son insatiable insatisfaction. Tout un moineau, tout un épouvantail ce mental à toujours s'alimenter des histoires de chacun, des croyances, comme si le ciel était que des histoires à connaître, tels des trésors à révéler, à analyser et comprendre le déroulement de chacun. Cela forge le caractère, donne l'impression d'avoir plus de confiance pour la simple raison que l'on connaît les démarches à suivre et cela dans tous les domaines de la vie. Connaître les autres c'est mieux se connaître. Est-ce le fait d'avoir des connaissances, qui apportent la paix ? Est-ce que cela apaise le mental ? Est-ce que cela met fin aux peurs ? Le monde du savoir, de la connaissance permet de comprendre le pourquoi et le comment des histoires de chacun, de ce monde, de cet univers ou sur d'autres plans de conscience, pour ainsi trouver le chemin de l'éveil, de l'illumination. Cela ressemble plus au monde de l'ego où chacun se sent libre de faire ce qu'il veut quand il le veut. Jadis, comme tout le monde, je m'intéressais au pourquoi et au comment. à savoir et à connaître le déroulement des histoires qui alimentent la réalité sur le grand écran de la vie. À défendre ce qui pour moi représentait le bien pour m'en prendre au mal. Quelles que soient les histoires, cela génère des conflits intérieurs comme extérieurs, ne cherchons-nous pas à être en paix, en harmonie avec tout ce qui est sur le grand écran de la vie ? Un mandat impossible à réaliser quand tu prends position en défendant une cause ou plusieurs, qui te semble juste. J'ai une image de ce monde, de ce qui se passe sur le grand écran de la vie, cela me fait penser à l'arbre de la connaissance, d'où le besoin d'apprendre, d'acquérir toute connaissance pour ainsi comprendre le pourquoi et le comment. Lorsque tu réalises qu'en fait l'arbre de la connaissance tire son énergie du sol, de tous les éléments, de toutes les particules de lumière, autant il a besoin des éléments de la terre, de l'eau, de l'air et du feu, sans quoi l'arbre de la connaissance ne peut exister. Si on regarde à petite échelle, l'être humain est comme l'arbre de la connaissance, il a besoin de tous les éléments pour être, il est dépendant de tout, sans cette énergie de lumière, rien ne peut exister. La question est la suivante sommes-nous l'arbre de la connaissance, le monde de l'ego ou bien nous sommes la lumière ? L'arbre de la connaissance meurt quand il ne peut plus s'alimenter des éléments, des histoires, des croyances, des pensées, il a besoin d'être alimenté par toute forme de vie cherchant à connaître le pourquoi et le comment de la vie. L'être humain est à l'image de l'arbre de la connaissance, il a besoin de nourrir son intellect, son mental, à comprendre le pourquoi et le comment. Peut-il atteindre cette béatitude, plénitude, complétude, cette sérénité à être et vivre en paix et ainsi ne plus prendre position, tout en aimant tout d'un même amour ? Il ne peut y arriver en continuant à s'alimenter des histoires et des croyances, il ne peut le percevoir pour la simple raison que tout n'est que nuage, un ciel non dégagé. En fait, résumons, la vie, l'intelligence de la lumière m'a fait réaliser par les expériences de la vie, le fait d'alimenter les histoires, les croyances, à défendre mes positions, que j'alimentais sans le vouloir l'illusion de dualité et de séparation, j'étais victime de mes propres pensées, actes. Pourtant, je ne suis pas quelqu'un de méchant, je veux ce qu'il y a de mieux pour tous, je ne suis pas envieux, voir les autres heureux me rend joyeux. J'ai réalisé que je me faisais plus de mal à faire le bien. à défendre ce qui pour moi était juste à défendre. La paix est possible lorsqu'il n'y a plus de jugement, plus rien à défendre, je ne prends plus position, en laissant à chacun de faire son propre apprentissage et expérience. Si on vient me demander un conseil ou autres, il me fait plaisir de partager mon expérience, je fais de mon mieux à répondre sans être obligé de répondre aux attentes si je ne suis pas en mesure de le faire, sans pour cela avoir des attentes envers qui ou de quoi que ce soit. La vie ou l'intelligence de la vie m'a fait bien comprendre que pour être en paix, cela commence déjà en soi, à ne plus être victime des pensées, à vivre dans la paix, dans l'harmonie tout en respectant, en accueillant tout ce qui se présente sur le grand écran de la vie d'un même amour. Je ne peux pas empêcher quiconque d'être à l'image de ce qu'il veut bien être, mais pour ma part, je ne donne aucune importance aux images, je vois en chacun la lumière de l'amour, cette force créatrice, l'essence éternelle de la vie expérimenter et apprendre, tout en se révélant et dévoilant notre vraie nature divine. C'est ce qui me procure la paix, la joie et l'amour en tout ce qui est, reconnaissant que tout est lumière et amour. Qu'importe ce que l'on peut penser de moi, quel que soit le regard, cela n'a aucune importance pour la simple raison que je ne donne plus aucune importance, cela ne m'appartient pas, juste à celui qui croit qu'il en est ainsi, à l'image de ce qu'il perçoit comme étant la vérité. J'aime tout d'un même amour. Celui, qui cherche la vérité du pourquoi et du comment, vit sa propre quête et quand celle-ci est accomplie, il réalise que tout ce qu'il a défendu, vaincu, n'est rien d'autre que lui-même, tout est un, amour et lumière, connaissance ou pas. Par Régis Raphaël Violette

jeudi 28 novembre 2019

Atteindre le parfait équilibre, est-ce possible ?

Atteindre le parfait équilibre, est-ce possible ?

Qu'est-ce que cela veut bien dire, atteindre le parfait équilibre ? La question à se poser, comment puis-je atteindre cet équilibre parfait ? Définissons ce qu'est le parfait équilibre, c'est vivre en parfaite harmonie autant en toute manifestation intérieure et extérieure. Pour ainsi vivre en parfaite harmonie, il y a tout un travail à faire sur soi afin que ce qui perturbe cet état d'être ne sois plus déranger, déstabiliser. Ce qui vient perturber, déstabiliser sont les manifestations qui viennent de l'intérieur ou de l'extérieur de ce qui nous sert de véhicule en ce monde, en cet univers et en d'autres plans de conscience. Si on arrive à maîtriser nos réactions face à toutes ces manifestations, déjà c'est un bon départ. Il faut comprendre qu'il y a ce qui nous représente et il y a tout ce qui gravite autour. Nous sommes semblables à une planète, il y a ce qui gravite autour et ce qui gravite en dedans, une attraction extérieure et intérieure. On gravite autour du soleil, le soleil gravite lui aussi, en fait tout gravite, On perçoit bien que tout est structuré, tout suit une trajectoire bien précise, qu'il y a aussi empiétement les uns dans les autres. Ce monde n'échappe pas à cette règle, nous avons tous une bulle de confort, certains auront moins de tolérance que d'autres. Tolérance, un bien joli mot, nous pouvons être très tolérants sur certaines choses et sur d'autres nous en n'avons aucune tolérance. Ce n'est pas évident d'atteindre le parfait équilibre quand il y a intolérance, comment y remédier ? Déjà pour être en mesure de remédier aux intolérances, l'écoute est primordiale, apprendre à se connaître, analyser les comportements liés aux intolérances, cela touche tous les sens. On peut être intolérant au bruit, à la nourriture, à une odeur, à une matière au toucher, à ce que l'on perçoit comme étant intolérant. Il y a une possibilité infinie qui fait que nous sommes intolérants, est-ce que cela peut nous empêcher d'atteindre le parfait équilibre ? Prenons un exemple, on cherche une personne avec qui on aimerait bien former un couple, sans le vouloir, sans y réfléchir, automatiquement nous ne pouvons pas aller à l'encontre de ce que notre corps révèle. La beauté peut-être au rendez-vous mais pour le reste, rien ne colle, qu'on le veuille ou pas, notre corps est programmé, à moins d'avoir travaillait sur soi, ce qui était intolérant ne l'est plus. Alors comment atteindre l'équilibre parfait malgré les intolérances, les incompréhensions. Tout est une question de perception et savoir accepter et accueillir tout ce qui se présente sur l'écran de la vie et de faire des choix selon ce que nous sommes en mesure de tolérer ou pas. Cela ne veut pas dire détester ce qui est intolérant, cela veut simplement dire écouter les ressentis, suivre ce qui nous maintient en cet équilibre parfait. Faire des bons choix, si ce n'est pas le cas, analyser les comportements, les réactions, les conséquences. Nous faisons tous des choix, déjà faire le choix de se lever le matin, en est un, quelles que soient les pensées, nous faisons tous des choix, tout en étant responsable. La seule façon d'atteindre le parfait équilibre c'est de tout accueillir et de tout accepter d'un même amour, tout en écoutant notre guidance intérieure à choisir ce qui nous apporte la paix, la joie, pour vivre cette harmonie et soyons à l'écoute de notre corps, en l’accompagnant dans ce que nous sommes venus expérimenter et apprendre comme créateur de notre réalité. Comprendre que chacun a ses intolérances et tolérances, nous n'avons pas le même véhicule de lumière, nous vivons tous des réalités différentes, par contre nous sommes tous issus de la même source de lumière, de la même intelligence de lumière, sans son essence, nous ne pourrions pas faire l’expérience et l'apprentissage de la vie. Ce que l'autre vie, ne veut pas dire que c'est imparfait, que c'est mieux, que c'est plus grand ou moins, c'est que nous vivons tous des réalités différentes, tout en étant la même source de lumière incarnant d'autres réalités. Vivre le parfait équilibre c'est d'accueillir et accepter toutes ces réalités dans un même amour, tout en respectant le choix de vie de chacun. Prendre conscience que cette vie n'est pas la dernière puisque nous en sommes l'essence éternelle, l'amour apporte le parfait équilibre. Pourquoi l'intolérance, c'est que nous donnons toute l'importance à la forme, au véhicule de lumière qui nous sert à faire l'expérience de cette réalité, n'oublions pas que nous sommes l'essence éternelle qui se manifeste en toute réalité pour en faire l'apprentissage et l'expérience. C'est par l'amour qui nous permet de vivre le parfait équilibre et sortir du personnage pour n'être que l'essence éternelle de l'amour. On réalise que tout ce qui se présente sur le grand écran de la vie est déjà tout orchestré par l'intelligence de la lumière, par notre essence éternelle afin de nous faire voir notre propre création pour réaliser que nous sommes l'essence éternelle, Dieu, qu'importe le nom qu'on lui donne, il n'a jamais eu personne, que nous-mêmes,, tout en est la même essence éternelle, ce que nous croyons réel n'est que l'apprentissage, l'expérience illusoire de ce que nous créons en tant que réalité. Ne pas l'accueillir, ni l'accepter c'est vivre l'intolérance pour la simple raison que l'on n'agit pas avec amour. Par Régis Raphaël Violette

mardi 26 novembre 2019

J'entends ta souffrance ...

Je n'ai pas besoin de connaître ton nom, qu'importe ou que tu sois dans quelle dimension, telle création, telle vibration, tel univers ou tel monde, j'entends ta souffrance, j'en connais la cause, son origine. Quel que soit le masque qui est tien en cet instant, il est à l'origine de ta souffrance, de ton mal-être, de ton inconfort envers toi et tout ce qui est. Penses-tu être le seul être à hurler sa souffrance, à porter des masques, à juger constamment tout ce qui est pour cet inconfort, ce mal-être qui te ronge, qui te fait voir en les autres les fruits de ta souffrance ? Tu n'es pas différent de l'autre qui souffre et qu'importe sa provenance, il est à ton image pour la simple raison qu'il porte un masque ou des masques selon la souffrance révélée. N'essaie pas de fuir, nul ne peut fuir son destin et d'y faire face. Tu crois être cette forme dans laquelle tu as choisi d'en faire l'apprentissage et l'expérience, mais tu as oublié pourquoi tu as choisi de le vivre, de l'expérimenter. Cette souffrance n'est pas une cause extérieure, elle n'est pas la résultante de quoi que ce soit, elle est ta propre création, ton propre enfermement. Quelle que soit la cause de ton jugement, qu'elle soit fondée ou pas, tu crois que les mots appartiennent à celui qui le partage, qui le divulgue. Rien n'appartient à personne, ce que tu considères comme mots, ne sont que tes propres maux, à vouloir condamner tous ceux et celles qui ne se conforment pas à ta vérité. Ne cherche plus la cause de ta souffrance, son origine, cela n'est rien d'autre que ta vérité. Comme je te le dis, je n'ai point besoin de connaître ton nom, cette souffrance est la même pour tous ceux qui portent en eux ce qu'ils croient être comme étant la vérité. Je ne suis pas là pour te juger, ni te condamner, ni t'offenser de quoi que ce soit. Pourquoi suis-je en mesure de t'entendre ? Pour la simple raison que j'ai porté des masques, essayant à travers ceux-ci, de manifester ma souffrance qui n'est pas différente de celui qui a décidé de porter des masques pour l'exprimer. Qu'est-ce que j'ai à gagner en portant des masques, en défendant une vérité quelconque tout en décriant les autres ? Rien, je n'ai rien à gagner, par contre j'ai tout à perdre, c'est la souffrance qui aveugle, c'est en s'en prenant à tous ceux que je crois être à l'origine de cette souffrance qui me tient dans l'enfermement, dans cet enfer qui ment, qui ne fait qu'entretenir des masques. Le jour où j'ai décidé de ne plus porter de masque, je n'ai plus accusé l'autre pour cette souffrance, les mots n'appartiennent à personne car ces mots ne sont que des masques, reflétant la vérité qui est à l'origine de la souffrance, du manque d'amour. Le jour où j'ai décidé de ne plus porter de masque, de ne plus être cette souffrance, je me suis libéré de tous les mots, de tous les maux de ce monde, de toute dimension, de toute création, de tout univers et monde. Est-ce que je suis différent des autres qui souffrent ? Non pour la simple raison que nous sommes tous la même essence éternelle, que nous sommes tous les uns et les autres, il n'y a que l'essence de la vie. J'entends ta souffrance, je vois tes masques d'accusateurs pour tes propres souffrances, pour tes propres maux, cela devient ta vérité quand tu décides d'en porter tous les masques, croyant qu'en agissant ainsi qu'il y aura justice. Tant que tu crois qu'il y a une justice à faire, tu resteras prisonnier de ton enfermement. Il n'y a aucune justice puisque la souffrance n'est pas extérieure, elle est la résultante de ta vérité, de tes croyances, de tes pensées, de ce que tu crois et penses être. La seule vérité ne peut pas être dite par des mots, mais par le vécu, en se libérant des masques, en retrouvant ce qui est de toute éternité et qui n'apporte aucun jugement accusateur, en laissant la vie être ce qu'elle est sur le grand écran de la vie. Quelle que soit la vérité, elle est la cause de la souffrance, de l'incompréhension pour celui qui vit une autre vérité pour la simple raison que l'autre ne porte pas les mêmes masques, cachant ainsi sa souffrance en accusant les autres pour sa propre souffrance. Le jour où j'ai décidé de ne plus porter de masques, de ne plus accuser l'autre pour cette souffrance que je croyais être la vérité, ce jour-là, je suis né à nouveau, libre de souffrance, libre de douleur, je pouvais enfin être ce que je suis de toute éternité, en aimant tout d'un même amour et cela ne demande aucun effort, cela est naturel, c'est reconnaître en tout ce qui est, l'essence même de l'amour. Il n'y a plus d'identification possible, car tous les masques sont enlevés, nous ne sommes pas la forme, nous sommes l'essence éternelle qui se sert de la forme pour expérimenter la vie et ainsi contempler tout ce qui est sur le grand écran de la vie. Quelle que soit la manifestation, tout change, sauf notre essence éternelle, là où tout est lumière et amour. J'entends ta souffrance, pour la simple raison que je l'ai expérimentée, vécue et vaincue en endossant ce qui est déjà et de toute éternité, qui n'est pas assujetti au temps, ni à l'espace, ni à aucune forme, l'essence de la vie et ce qui en est manifesté, est la lumière. Tu peux toujours juger tout ce qui est pour ta souffrance, elle n'est qu'illusoire. Est-ce que l'essence éternelle de la vie se pose des questions, juge et condamne en s'en prenant à tout ce qui est ? Qu'importe comment tu exprimes ta souffrance, par ta colère, ta vérité, tes croyances, tes pensées, ton mal-être et ton manque d'amour, cela n'est qu'illusion par contre cela ne fait que démontrer ta souffrance, ton enfermement. Il n'y a rien à choisir, rien à chercher, il suffit juste de ne plus porter de masque, il n'y a aucune autre vérité que l'essence de la vie, la source éternelle, l'intelligence de la lumière. Il n'y a rien qui nous appartient, même pas ce qui nous sert de véhicule, même pas les mots, seule notre essence est. Voilà j'entends ta souffrance, libère-toi de tes masques, de toute vérité, accueille et accepte tout d'un même amour, sans effort puisqu'il n'y a rien de réel, simplement l'essence de la vie. Ne me remercie pas, tu te rendras compte que tout est illusion, qu'il n'y a que l'essence de la vie, qu'il n'y a rien à juger, ni à condamner que tout est lumière et amour. Pour celui qui porte des masques, qui se croit être une personne, ne voit que sa propre souffrance, enfermement et c'est pourquoi il juge sans raison, alors que celui qui sait, qu'il n'est rien d'autre que l'essence de la vie, aime tout d'un même amour. Par Régis Raphaël Violette


dimanche 24 novembre 2019

Ne le dites pas à personne, surtout pas ...Cela aurait des conséquences qui dépassent tout entendement, cela permet de sortir de l'enfermement et vivre que par l'amour.

Ne le dites pas à personne, surtout pas ...Cela aurait des conséquences qui dépassent tout entendement, cela permet de sortir de l'enfermement et vivre que par l'amour.

Le jour où l'être réalise que tout est illusion, que tout est lumière et amour, qu'il n'y a jamais eu de mort, que la lumière de la vie, qu 'il n'est pas assujetti au temps, ni à l'espace, ni à aucune création, dimension, ni à aucune forme abritant la vie. Ce jour-là, l'être n'est plus identifié à quoi que ce soit, il est la lumière de l'amour, il a vaincu la mort, il ne cherche plus à être puisqu'il est la lumière de l'amour éternel. Ne le dites pas à personne puisqu'il n'y a personne pour comprendre cette vérité, que la lumière de l'amour. En fait pour le vivre, pour le comprendre, une seule chose, ne plus être dans la peur de quoi que ce soit, juste laisser ce qui est déjà de toute éternité la lumière de la vie, l'intelligence de la lumière accompagner cette forme humaine qui nous sert de réceptacle, contemplant sur le grand écran de la vie, l'oeuvre de la lumière de l'amour. Pour celui qui est dans la peur, dans l'attente, qui se cherche à travers la forme son origine, vit constamment dans la peur de ne plus être, oubliant qu'il est la lumière de la vie. Je suis juste là pour le rappeler que nous sommes la lumière de la vie qui se manifeste en toute chose, aimant tout d'un même amour. Par Régis Raphaël Violette

Le je égocentrique versus le nous, le tout en un, l'un en tout.

Le je égocentrique versus le nous, le tout en un, l'un en tout.

En fait, il n'y a personne, rien, ce que l'on voit n'est que sa propre création. Bien sûr ! Cette création est illusoire, comme il en est pour cette forme qui nous sert à vivre cette illusion, à y croire et ainsi pouvoir contempler l'émanation de ce que nous avons créé. Pourquoi j'utilise le nous, c'est que le je sans le nous, vis dans l'illusion de dualité et de séparation, il devient une unité à part, par contre en utilisant le nous, il représente le tout en un, l'un en tout. Trop longtemps nous utilisons le je pour nous démarquer, nous faire croire que nous sommes différents à vivre selon les croyances personnelles. On peut représenter la vie comme étant un film, le je, celui qui s'identifie à la première personne est assis dans la grande salle de cinéma à se voir sur le grand écran de la vie, il n'a que des yeux sur ce qu'il est, croyant être une personne qui joue son propre film dans le film. Il est tellement identifié à sa personne qu'il oublie que tout n'est qu'un film, que tout n'est qu'illusion, une projection. Il ne peut imaginer qu'il n'est pas simplement la forme dans laquelle il prend connaissance qu'il joue dans ce film, mais qu'il en est la totalité de tout ce qui se déroule en tant que film, tout ce qui la compose, qu'il n'est pas le je mais le nous, la totalité de ce film illusoire puisqu'il en est le créateur. Le je, se trouve être confronté aux autres je puisqu'il se croit différent, voire séparé, alors que celui qui sait que tout est un, ne voit que le nous, se voit dans la totalité, n'ayant plus aucun jugement, il sait qu'il est le tout en un. Ce qu'il perçoit à travers le je, c'est le tout en un, le nous. Le véritable miracle, il est le créateur de tout, toute création, dimension, univers, mondes ou autres plans de conscience. Tout n'est qu'un film, tout n'est qu'illusion. Le je, une nécessité pour intégrer la connaissance du nous, du tout en un, l'un en tout, en se laissant prendre au jeu de l'illusion en s'identifiant à la première personne ne pouvant pas concevoir que tout est la lumière de la vie, la même essence éternelle qui donne vie à tout ce qui est. Avant de passer au nous, nous intégrons tous le je pour faire l'apprentissage et l'expérience de celui-ci dans le but de vivre ce qu'est l'illusion de dualité et de séparation. Ce sont les épreuves, qui font que le je transcende au nous, réalisant que tout est un, que tout est illusion, que toute création, dimension, univers, mondes ou autres plans de conscience sont créés par le même créateur, par la même intelligence de lumière. Celle-ci n'est pas assujettie au temps, ni à l'espace, ni à quoi que ce soit. C'est ce qui nous rend éternels pour la simple raison que rien ne peut altérer, détruire, anéantir, consumer ce que nous sommes de toute éternité. Le je, s’identifie à ce qu'il voit par les sens, le nous n'a point besoin de sens, puisqu'il n'est rien et à la fois tout. Le nous est la projection du film et de tout ce qui la compose, création, dimension, univers, mondes, autres plans de conscience, toute forme de vie. La vie n'a point besoin de forme pour se manifester car elle est l'énergie, l'intelligence de la lumière qui crée tout, qui orchestre tout et nous en sommes l'essence éternelle. On ne peut pas s'identifier à qui ou à quoi que ce soit puisque tout est illusion, qu'il n'y a que la lumière de la vie. Tant que l'on croit être une personne, une âme, une conscience, un esprit, un corps avec tous les corps subtils, on est dans le je, on perçoit qu'à la première personne oubliant le nous, où tout est un, l'un en tout, le je, est synonyme d'enfermement et le nous te fait réaliser le tout en un, que nous sommes tous l'intelligence de la lumière de la vie qui n'est pas assujettie à aucune création, dimension, univers, mondes ou autres plans de conscience. C'est en réalisant le nous, le tout en un, l'un en tout que nous sortons de toute identification, que nous sommes tout et rien à la fois et que nous acceptons et accueillons tout d'un même amour. Le je, se trouve être un nous qui s'ignore, qui ne sait pas qu'il est tout et en rien à la fois, qu'il est l'intelligence de la lumière de la vie et qu'il est en toute chose, il est la vie. Lorsque l'attention est au je, il y a l’illusion de dualité et de séparation, il ne peut y avoir d'amour véritable car il est exprimé et vécu à la première personne. Puisqu'il n'y a personne qu'il n'y a que le nous, le tout en un, c'est en ne s'identifiant plus à qui ou à quoi que ce soit, qu'il y a libération de toute identification. Que nous réalisons que nous sommes l'intelligence de la lumière de la vie qui aime tout d'un même amour puisque nous sommes à l'origine de tout. Ce que nous croyons réel n'est que le film, sa raison d'être est de révéler et dévoiler le plus grand miracle qui soit, que nous en sommes tous l'essence éternelle. Régis Raphaël Violette Note de l'auteur Nous faisons tous l'apprentissage et l'expérience du je égocentrique qui crée son propre enfermement, par la suite passer au nous, le tout en un, l'un en tout pour vivre la dissolution de l’enfermement, sortir de l'illusion de dualité et de séparation, réalisant que tout est la lumière de la vie, que tout est lumière et amour.

samedi 23 novembre 2019

Pour ceux qui croient que ...

Pour ceux qui croient que ...

Ce message est adressé à tous ceux qui croient que ... Qui alimentent des croyances, des pensées, en pensant que certains êtres n'en font pas assez pour apporter des changements en ce monde. Je vais répondre à titre personnel à tous ceux qui croient que... Soyons clair au départ que tout est juste, que tout a sa raison d'être et que tout suit un plan divin, un plan parfait, qu'il n'y a rien à juger, ni à condamner. Qu'importe que l'on soit d'accord ou pas avec tout ce qui se déroule sur le grand écran de la vie, tout est justifié. Il est vrai que lorsque nous restons ancrés en tant que personne, suivant des croyances, des concepts, une chose est certaine, c'est que la personne s'empêche de vivre l'harmonie en tout son être pour la simple raison qu'elle est victime de ses propres pensées. Il n'y a aucun jugement puisque chacun est confronté à ses propres pensées, ce qui fait de chacun un être à part, émergeant et provenant de la même source de lumière, sous l'influence des pensées qui remplissent le ciel, le mental de chacun. Ainsi chacun fait l'apprentissage des pensées qui retiennent son attention et en font l'expérience. Chaque point de vue est respecté par la source de lumière, c'est que l'apprentissage et l'expérience sont différents, n'ont pas le même vécu, c'est que tout suit un plan bien précis. Rien n'est inutile, tout est à juste place. Nous ne pouvons pas le concevoir en restant enfermé dans l'enfermement. À un autre niveau, tout est juste, tout s'emboîte, tout n'est que perfection, puisque nous ne sommes pas la forme, mais l'essence éternelle, l'intelligence de la lumière qui orchestre tout dans un seul but, celui de se révéler et se dévoiler par le vécu en toute chose, en tout ce qui est. Est-ce que cela va changer quelque chose si certains restent ancrés dans leurs croyances en jugeant qui ou quoi que ce soit ? Ils ne font que suivre ce qui est déjà orchestré, cela ne les coupe pas de la source originelle, puisqu'ils sont l'intelligence de la lumière qui agit ainsi pour que la lumière se révèle et se dévoile à ceux et celles qui ont choisis de le vivre, d'apporter le changement. Tout contribue au changement. Qu'est-ce que cela apporte de façon personnelle ? Une liberté d'être, une foi absolue en la lumière, en ce que nous sommes de toute éternité, cette intelligence de la lumière. Je ne me considère plus comme étant une personne, mais comme étant la lumière qui voit que tout est lumière et amour, qui sait que rien n'a quitté la source originelle. Tout ce qui se présente sur le grand écran de la vie, je l'accueille, je le respecte et je l'aime d'un même amour, en sachant que tout est illusion. Je suis en parfaite harmonie et j'accompagne ce véhicule humain qui me sert d'ancrage pour faire l'apprentissage et l'expérience de ce que je vis en tant que rêveur sur le grand écran de la vie, tout en acceptant que j'expérimente tout. Je n'ai pas besoin d'interférer, d’interagir ou de modifier quoi que ce soit pour la simple raison que tout est déjà parfait, que tout reçoit la lumière appropriée, en laissant l'intelligence de la lumière œuvrer en tout ce qui est. Ce qui maintient la forme dans le temps, l'espace, n'est qu'illusion. Nous sommes tous la source initiale, originelle, l'intelligence de la lumière qui par l'illusion se révèle et se dévoile en toute création, dimension, univers, quelle qu'en soit la forme, tout est approprié, tout est juste. Tant que cela n'est pas compris, intégré, on se laisse prendre au jeu de l'illusion de dualité et de séparation puisque nous ne pouvons pas concevoir que tout est un, l'un en tout. Nous devons en faire l'expérience, l'apprentissage de l'illusion de dualité et de séparation. Tant que cela n'est pas vécu, on continue à juger les autres pour leurs actions, faits et gestes, sans comprendre que cela sert un plan bien précis, un plan divin. Quoi qu'il en soit, qu'importe ce qui se passe sur le grand écran de la vie, ce qui vient dépasse tout entendement et tout y contribue d'une façon ou d'une autre. Ceux et celles qui par le vécu se sont libérés des croyances, des concepts, des pensées qui alimentent l'illusion de dualité et de séparation, perçoivent que la lumière de l'amour, l'intelligence de la lumière en action, aimant, acceptant et accueillant tout d'un même amour. Pour ceux et celles qui continuent à juger, qui croient que ... que dire ? Continuer à faire ce qui est déjà orchestré sur l'écran de la vie, puisque rien ne peut altérer ce que nous sommes de toute éternité, l'essence éternelle de l'amour. Comprendre que nous ne sommes pas la forme, ni quoi que ce soit qui est assujetti au temps, à l'espace et ce qui sert d'ancrage au rêve, à se manifester sur le grand écran de la vie, nous sommes la lumière libre de toute chose, traversant, transcendant et consumant toute illusion de dualité et de séparation. Tout est aimé puisque tout est lumière. Par Régis Raphaël Violette

jeudi 21 novembre 2019

Tout est un, lumière et amour.

Tout est un, lumière et amour, qu’importe l’illusion, rien ne peut altérer ce que nous sommes de toute éternité, l’essence éternelle, la lumière de l’amour.


Tout est un, lumière et amour. Nous l’apprenons à nos dépens, vivre l’illusion de séparation et de dualité à travers la forme dans laquelle nous en prenons conscience. Qu’importe ce qui se présente sur le grand écran de la vie, ce sera toujours la même essence qui se manifeste dans toute création, dimension, univers, dans tout ce qui est. Ne pas en prendre connaissance, nous fait vivre l’expérience humaine, nous laissant croire que nous sommes une personne dotée d’un esprit, d’une conscience, d’une âme et d’un corps, comprenant tous les autres corps subtils, faisant face à sa propre création, ne sachant pas qu’il en est l’essence, l’architecte, l’intelligence de la lumière, l’unique créateur. Tant que nous n’intégrons pas cette vérité, quelle que soit la réalité, elle n’est que notre propre relation, reflet avec nous-mêmes, tout est un. On peut errer des siècles et des siècles, des vies et des vies à s’incarner sous plusieurs formes de conscience, à jouer des rôles différents, rien ne changera cette vérité, que nous sommes toujours en relation avec nous-mêmes, tout est un. La mort n’y peut rien, ce que nous sommes transcende le temps, l’espace, qui n’a nullement besoin d’une forme pour être de toute éternité. Par faute de trouver de meilleurs mots, nous le nommons Dieu, la lumière, la source de toute vie, le sans nom, l’intelligence de la lumière, qu’importe nous sommes le tout en un, l’un en tout et rien ne changera cette vérité. En tout temps, instant, ce que nous percevons n’est que notre reflet illusoire, l’image de ce que nous voulons expérimenter, apprendre, vivre et cela en toute création, dimension et autres.

C’est dans la reconnaissance du tout en un que nous sommes en mesure de tout aimer, de tout accueillir, de tout accepter d’un même amour. Quelle que soit ce qui est vécu par l’essence de la vie, par l’intelligence de la lumière, par Dieu, le sans nom, nous le vivons tous, non pas en tant que personne, ni en tant que conscience ou âme, mais en tant qu’essence éternelle, Dieu, intelligence de la lumière qui n’est pas assujettie à qui ou à quoi que ce soit pour la simple raison qu’elle n’est rien et tout à la fois. Mais ce rien n’est que lumière et amour. Tout est lié. Le fait de s’en prendre à qui ou quoi que ce soit par la pensée, les mots,les actions physiques ou toutes autres offenses occasionnent des souffrances, le manque d’amour, cela ne fait que démontrer notre aveuglement, notre enfermement. C’est nous-mêmes qui avons créé le scénario parfait, afin de faire l’expérience de nos choix, de nos actions, de nos pensées, faits et gestes. Ne cherchons pas de coupable, nous vivons cela pour prendre connaissance que nous créons notre réalité et que nous le vivons. Nous sommes créateurs de notre vie, de tout ce qui est. Le fait de s’en prendre à autrui, c’est continuer à alimenter l’illusion de dualité et de séparation, la vérité est tout autre, démontrant qu’il n’y a qu’une source de lumière qui orchestre tout. Tant que cela n’est pas intégré, compris, nous faisons face qu’à nous-mêmes, vivant l’illusion de dualité, de séparation et de manque d’amour, qui n’est que la résultante de notre ignorance.
Il me fait plaisir de dire, qu’il n’y a rien à juger, ni à condamner et quelle que soit ce qui compose la réalité sur le grand écran de la vie, tout n’est qu’illusion. Nous y croyons pour la simple raison que nous avons une forme appropriée pour le croire, mais que celle-ci n’est pas éternelle, seule notre essence l’est. Nous sommes le réalisateur, l’auteur, le créateur de ce film, de ce rêve, rien n’est réel, puisque nous en sommes la lumière. Notre essence n’appartient pas au temps, ni à l’espace, ni à quoi que ce soit sur le grand écran de la vie, pour la simple raison qu’elle en est l’intelligence de la lumière, le créateur, le rêveur, tout est un, lumière et amour. Le fait de se croire, en tant que personne, qui a des croyances, des concepts, des pensées, passant la totalité de son temps à juger, à critiquer, à s’en prendre à qui ou à quoi que ce soit, ne fait qu’alimenter l’illusion de dualité et de séparation, s’empêchant ainsi de vivre l’unité en toute chose et de tout accepter, accueillir et aimer tout d’un même amour. Quoi qu’il en soit chacun est libre de continuer à rêver, à ce qu’il veut bien être, tout en vivant les conséquences de ses semences.

Régis Raphaël Violette

Note de l’auteur
Que nous soyons d’accord ou pas de ce qui est dit, révéler et dévoiler, cela n’a aucune importance, puisque nous sommes tous la même source de lumière et amour.

mardi 19 novembre 2019

Si je te demandais, quelle image te représente en cet instant.

Si je te demandais, quelle image te représente en cet instant.

Voilà ce qu'un élève répondit à son maître comme réponse à cette question. Une sage demande à son élève, quelle est l'image aimerais-tu représenter ? L'élève prit une grande respiration, se laissant inspirer de ce qu'il aimerait être en tant qu'image, il dit à son maître qu'il voit défiler un nombre incalculable d'images, comme des nuages qui passent dans le ciel, il dit si je m'arrête sur une seule image, c'est que je reste identifié à une seule, en se disant est-ce que cela me représente vraiment ? Comme il ne trouvait pas d'image qui le représente, il dit à son maître, qu'il est bien ainsi sans aucune identification, que la seule chose qui importe c'est qu'il accepte et accueille tout ce qui se présente, de la même façon qu'il voyait défiler toutes ces images, sans pour autant en préférer une plus que les autres. Il dit, cela ne change pas ma façon de vivre, j'aime tout d'un même amour, en agissant ainsi je suis en paix, en joie avec tout ce qui est, comme les nuages, tout passe, rien n'est stable, seul l'amour que je porte en toute chose reste. Il dit à son maître, l'amour n'a point besoin d'image, il aime, accueille et accepte tout d'un même amour, tout en sachant que rien ne peut changer l'essence de l'amour, par contre quelle que soit l'image, elle ne fait que passer. Le sage dit à son élève, tu as bien répondu, la seule chose qui est stable c'est l'amour. Nous ne pouvons pas être chose puisque nous sommes l'essence même de l'amour et cela en toute éternité. Régis Raphaël Violette

lundi 18 novembre 2019

On devrait se demander pourquoi sommes-nous confrontés à ces personnes ?

On devrait se demander pourquoi sommes-nous confrontés à ces personnes ?

Tout émerge de la lumière, pourquoi sommes-nous confrontés à des personnes qui ont un autre regard, la réponse se trouve en notre propre cœur. Tant que nous percevons les autres comme étant quelque chose d'inacceptable, nous n'acceptons pas l'émergence de la lumière. Pourquoi cela vient-il déranger notre regard, notre perception de ce qui est acceptable ou pas ? Est-ce que l'amour porte un regard quelconque sur la façon dont la lumière émerge ? Ce qui est inacceptable n'est que le regard que l'on porte sur les autres, ne sont-ils pas pour autant la manifestation de la lumière ? Tant que nous posons un regard sur l'émergence de la lumière, nous portons un jugement quelconque. Sans vouloir offenser quiconque, sommes-nous la lumière qui émerge où sommes-nous identifiés à la conscience qui pose un regard sur la lumière émergente ? La lumière ne fait aucun cas, accepte et accueille tout d'un même amour puisque la lumière n'est pas l'expérience, ni l'apprentissage, elle est l'essence de toute éternité, consumant toute illusion. Qu'est-ce que le regard ? Une identification de ce qui n'est pas réel, à l'illusion, au rêve éphémère. Ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas, n'est que le regard illusoire d'un apprentissage ou expérience de ce qui n'est pas réel. Seul la lumière de l'amour traverse, transcende, consume tout pour la simple raison que rien ne vient altérer l'essence. Tout passe, tout change, tout évolue, rien n'est réel, seule la lumière de l'amour est. Quel que soit le regard, il n'est que le reflet de l'illusion car nous ne sommes pas l'illusion, mais la lumière de l'amour. Régis Raphaël Violette

dimanche 17 novembre 2019

Heureux celui qui se reconnaît en l'autre sa propre dualité et séparation illusoire ...

Heureux celui qui se reconnaît en l'autre sa propre dualité et séparation illusoire, il n'a que de la reconnaissance, que de la gratitude, que de l'amour car sans ce reflet, il ne peut y avoir de liberté ...

Heureux celui qui se reconnaît en l'autre sa propre dualité et séparation illusoire, il n'a que de la reconnaissance, que de la gratitude, que de l'amour car sans ce reflet, il ne peut y avoir de liberté, il ne peut y avoir cet amour dénué de tout jugement.

Qu'on le veuille ou non, tout est un, qu'importe ce qui se présente sur le grand écran de la vie, tout est lumière et amour. Il n'est pas évident de jouer le rôle de la dualité, ni de la séparation pour ainsi sentir et ressentir par la souffrance ce qui n'est pas réel, qui n'est que le fruit de l'ignorance et que seul l'amour véritable consume toute illusion pour nous faire voir que la lumière de l'amour. Celui, qui ne sait pas pourquoi cette dualité est présente, pourquoi sentir et ressentir ce besoin de l'exprimer, comme si cela avait sa raison d'être, essayant d'échapper à la souffrance, au manque d'amour. Sache que tout a sa raison d'être et que cette souffrance doit être exprimée afin que celui qui la porte en son cœur puisse la reconnaître et s'en libérer par l'amour, reconnaissant en l'autre cet acte d'amour incommensurable, qui lui a fait voir et ainsi montré le chemin vers la liberté. Celui de l'amour dénué de tout jugement, enfermement, concept, religion ou autres. L'amour se montre sous différents visages afin de se révéler et se dévoiler à celui qui pour une raison ou une autre a porté ses masques, ses visages afin de lui révéler qu'il n'est point la souffrance mais cet amour qui consume toute illusion qui accueille et accepte tout d'un même amour. L'autre n'est que nous-mêmes sous une autre apparence reflétant ce qui doit être consumé par l'amour. Tout est un, lumière et amour. Régis Raphaël Violette

Note de l'auteur
Il n'y a qu'un seul moyen pour vaincre ses propres démons illusoires et c'est par l'amour dénué de tout jugement, tout en accueillant et acceptant tout d'un même amour.

mardi 12 novembre 2019

Il n'y a rien à juger, ni à condamner, ni à comprendre, pour la simple raison que tout est lumière et amour.

Rien à juger, ni à condamner, ni à comprendre, pour la simple raison que tout est lumière et amour.

Tout part de soi, tout est projection ... Il n'y a rien à juger, ni à condamner, ni à comprendre, pour la simple raison que tout est lumière et amour. Comprendre que le temps est illusoire, qu'importe l'apprentissage et l'expérience en cours, qui est vécu par qui ou quoi que ce soit, il n'y a rien à juger, ni à condamner, que tout est lumière et amour. Il ne peut y avoir de dualité, ni même de séparation, tout est un et cela avant même l'apprentissage et l'expérience, le temps est illusoire comme il en est pour l'espace. Comprendre que seul l'amour reconnaît l'amour, seule la lumière reconnaît la lumière. Pour ceux qui jugent l'apprentissage et l'expérience en cours ne font que constater leur propre enfermement, ainsi en est-il pour ceux qui condamnent, qui n'aiment pas, qui font une différence de tout ce qui est apprentissage et expérience. Sommes-nous l'apprentissage, l’expérience, l'enfermement, le jugement, la condamnation, une forme quelconque, la conscience, l'âme où sommes-nous rien de tout cela ? Nous sommes la lumière, l'amour, la paix, le silence, qui n'est pas assujetti au temps, ni à l'espace, ni à qui ou à quoi que ce soit qui vient de l'apprentissage et de l'expérience. Il n'y a rien qui peut altérer notre lumière, notre amour, notre paix, notre joie, notre essence éternelle. Comprendre que nous ne sommes pas le mouvement de quoi que ce soit, ni le son de quoi que ce soit, ni la dimension, ni la création, ni même la pensée pour la simple raison que nous sommes le créateur qui se crée lui-même, qui se projette, qui se manifeste sur tous les écrans de la vie. L'aveuglement de l'être humain vient du fait qu'il croit être une personne, une âme, une conscience, une forme de vie, croyant vivre la dualité et la séparation, ce qui fait de lui qu'une ombre. Il a juste oublié qu'il est la lumière, celle qui n'a pas besoin de temps, ni espace, ni dimension, ni création, ni forme de vie pour être partout à la fois, en tant que lumière, amour, paix et joie. Celui qui est dans une dualité quelconque à juste oublier que tout est illusion, que seule la lumière de l'amour est et cela de toute éternité, qu'il n'y a ni espace, ni temps, ni création, ni dimension, ni forme de vie, ni conscience, ce qui est manifesté sur tous les écrans de la vie, n'est qu'un film, un rêve éphémère. Pour celui qui rêve, il ne peut comprendre ces mots et non pour celui qui en est sorti, qui n'est que lumière, amour, paix et joie. Quel que soit l'objet de ce qui apporte la dualité, la souffrance, l'illusion de séparation, du manque d'amour, se trouve n'être que l'enfermement de votre propre création. Il ne peut y avoir de dualité, ni de séparation, ni autre chose d'autres, tout est un, tout est lumière et amour. Prenez conscience que tout vient de votre identification à être, nous ne sommes pas puisque nous n'avons point besoin pour être amour, paix et joie., que tout est lumière. Régis Raphaël Violette

dimanche 10 novembre 2019

Que devons-nous savoir ?

Que devons-nous savoir ?

On se demande ce qui est le plus important à savoir afin de bien vivre ce que nous sommes venus accomplir dans cette réalité qui est la nôtre. Le plus important à savoir c'est que tout n'est rien d'autre qu'une projection, une manifestation de la lumière. C'est bien beau de savoir que tout est lumière, nous en tant qu'être qui est observateur, qui est acteur, qui vit l'instant avec cette projection, cette manifestation de la lumière, quel est le lien qui nous unit à elle ? En fait, ce qui est projeté, manifesté n'est rien d'autre que notre lumière. Cela veut dire quoi notre lumière ? En fait cela est la manifestation, la projection de ce qui se trouve à l'intérieur et à l'extérieur de nous. Ce qui se trouve à l'intérieur et à l'extérieur de nous est la lumière, l'intelligence de la lumière. Mais que sommes-nous en réalité ? En fait, ce qui nous sert de corps est l'expression de la lumière, sa manifestation, nous sommes la lumière libre de toute appartenance. Que fait-on de la conscience, de ce qui nous permet de penser, de nous orienter, qui nous permet de vivre ? Ce qui nous permet de vivre est l'essence même de la vie, la même essence qui se retrouve en toute vie, celle-ci se retrouve en toute création, dimension. Nous en avons pas totalement conscience pour la simple raison que nous nous retrouvons dans un enfermement qui nous empêche de le réaliser. La grande majorité croit juste être un être humain, ayant une conscience, une âme, ne pouvant imaginer être tout à la fois, se contentant d'être à l'image de leur enfermement. C'est là une grande erreur de penser que nous sommes qu'une forme humaine, qui est à la fois nécessaire pour apprendre par la souffrance ce qui n'est pas assujetti au temps, ni à l'espace, ni à quoi que ce soit sur le grand écran de la vie. Oubliant ainsi l'essence même de ce que nous sommes de toute éternité, à s'imaginer être autre chose. Imaginons un instant que nous avons cette conscience d'être à la fois dans toute forme de vie, dans toute création et dimension, que nous sommes conscients de chaque instant, que nous sommes à cent pour cent conscients de vivre chaque moment sur le grand écran de la vie. Imaginons un instant tout ce que nous devrons traiter comme information, tout en choisissant ce qui est le plus approprié pour chaque forme de vie et cela en tout moment. Il nous est impossible de le faire pour la simple raison que nous sommes destinés à vivre quelque chose de bien précis, qui est la résultante de ce que nous sommes de toute éternité, l'intelligence de la lumière et que cette forme nous sert d'ancrage à ce monde. Comme il nous est impossible d'être en tout à la fois en ce monde, en tant que personnage et non en tant qu'intelligence de la lumière et ainsi tout orchestrer par ce qui nous sert de forme actuelle. On se demande pourquoi nous n'avons pas cette possibilité de le faire, de vivre la totalité de ce que l'autre vit, de ce que toute forme de vie expérimente. En fait, nous sommes destinés à vivre quelque chose de bien précis, qui a sa raison d'être, qui contribue au plan divin. Tout est écrit d'avance par l'intelligence de la lumière, on n'invente rien, tout en étant observateur, acteur de cette vie, tout en étant lié à tout ce qui est. Par contre, cela devient possible lorsque nous sortons du personnage, sortons des croyances, des concepts, de toute identification et que nous nous abandonnons à la lumière, à l'intelligence de la lumière. Que devons-nous savoir d'autre ? Que tout est lumière, que tout est orchestré par l'intelligence de la lumière, l'essence même de la vie, que tout est lié, que tout contribue, qu'il n'y a pas de bon ou de mauvais rôle, que chaque destin a sa raison d'être. Que nous ne sommes pas juste la forme humaine mais bien l'intelligence de la lumière, qui n'a qu'un but, se révéler et se dévoiler pour vivre cette dissolution de tout ce qui est, en tant que l'amour, la paix et la joie. Tout ce qui se présente comme étant la réalité est appropriée pour vivre la dissolution, tout y contribue. Qu'importe qui nous sommes en tant qu'être humain en ce monde, qu'importe ce que l'on vit, ce qui est écrit sur le grand écran de la vie, tout a sa raison d'être et tout est juste. Ce que nous croyons réel sert d'apprentissage, d'expérience pour une seule et unique raison, apprendre par la projection, la manifestation ce que nous sommes de toute éternité. Naître à nouveau, c'est réaliser que tout est un rêve, que tout est projection, manifestation sur le grand écran de la vie, que tout est illusion, que nous sommes antérieur à tout ce qui est, en tant que lumière éternelle. Nul ne peut comprendre ces mots, s'il ne vit pas la dissolution, que tout est illusion, que la seule chose qui est réelle n'est pas sur le grand écran de la vie, ni de ce rêve éphémère. Peu importe ce qui se manifeste comme vie, quelle qu'en soit la forme, l'apparence, tout est illusion, comme il en est pour notre forme humaine, cela n'est qu'un véhicule temporaire pour apprendre et expérimenter ce qu'est le vrai amour et comprendre ce que nous projetons et manifestons en tant que lumière. On y croit pour la simple raison que l'on croit être une personne, une conscience, doté d'une âme et d'un esprit. Il ne peut y avoir de paix possible pour celui qui se croit être une conscience, évoluant dans la forme humaine, croyant qu'il peut changer le monde. Comment arrive-t-on à tout aimer d'un même amour, à tout accueillir et à tout accepter sans aucun jugement, sans aucune attente, sans aucune obligation ? Comme plusieurs, certaines mémoires refont surface, indiquant que nous vivons plusieurs vies, tout en se retrouvant sur d'autres plans de conscience. Cela fait aussi partie de l'apprentissage et l'expérience de l'enfermement, du rêve. De plus en plus d'êtres témoignent de cette vérité, il n'y a que l'amour, la joie, la paix, le silence, qu'importe ce qui se passe sur le grand écran de la vie, ce n'est que du cinéma, la résultante de l'enfermement. Que devons-nous savoir d'autre ? Que la mort n'existe pas, ni le temps, ni l'espace, nous sommes venus vivre ce qu'est l'enfermement et aussi en sortir, en renaissant de nouveau, en vivant la dissolution de toute illusion, en sortant de la projection, de la manifestation pour se rendre compte que tout est illusion, qu'il n'y a rien, que cela n'est qu'un rêve, nous sommes de toute éternité l'amour, la paix, la joie, le silence, l'essence éternelle de la vie. Libre à chacun de croire ce qu'il veut bien croire, il ne fait face qu'à sa propre projection, qu'à son reflet sur le grand écran de la vie, en jouant tous les rôles, tout en étant en toute chose et à la fois en rien. Que devons-nous savoir d'autre ? Que nous sommes l'artisan de ce qui se présente sur l'écran de la vie, que nous en sommes le créateur, qu'il n'y a rien à juger, le faire c'est en vivre la manifestation, la projection, c'est se confronter à soi-même, tout est un. Pour ceux qui vivent cette renaissance, qui ne font plus partie de ce monde, qui se manifestent encore sur le grand écran de la vie, ne font qu'accompagner la forme humaine, en laissant l’intelligence de la lumière ouvrer en tout ce qui est, tout en aimant, en acceptant et en accueillant tout d'un même amour, sachant que tout est illusion, que la seule raison de l'enfermement, c'est vivre cette dissolution par l'amour, il n'a jamais eu personne, que l'essence éternelle de la vie.
En vivant la dissolution par l'intelligence de la lumière, l'être qui croit être une personne, une conscience, se croyant doté d'une âme ne peut aimer tout d'un même amour, ni accueillir, ni accepter ce qui est impardonnable, les offenses posées à son égard ou envers sa famille, proches et autres. Il ne peut aller à l'encontre de ce qu'il croit comme étant juste. Mais pour celui qui est né de nouveau, il n'a plus le même regard, il est dépouillé de toute croyance, concept, il n'est plus personne, ni la conscience, ni l'âme, ni l'esprit, il est l'essence de la vie, il est la paix, la joie, il est l'amour qui est au-delà de toute illusion. Régis Raphaël Violette

mercredi 6 novembre 2019

C’est ainsi que je nous aime tous d’un amour incommensurable, tout en acceptant et en accueillant les choix de vie de chacun.


C’est ainsi que je nous aime tous d’un amour incommensurable ...

Cela n’a aucune importance que je réponds aux questions ou pas, chacun est déjà à l’image de ce qu’il croit et pense être, en cela tout est parfait car chacun exprime sa propre vérité et vécu. Est-ce qu’il y a un chemin où plusieurs ou voire aucun ? Rien ne peut contester que tout ce qui est, vient d’une seule force créatrice, qu’importe comment chacun le perçoit et le vit dans ce qui lui sert de forme pour ainsi en faire l’expérience et l’apprentissage. On peut dire que chacun a son propre regard sur le grand écran de la vie qui ne fait que refléter ce que chacun a décidé de vivre, d’expérimenter. Quoi qu’il en soit chacun est un miracle en soi, que chacun est libre d’apprendre et d’expérimenter ce qu’il veut, tout en prenant connaissance que tout est déjà écrit d’avance. Il n’y a rien à juger, ni à condamner puisque chacun est la perfection de ce qu’il vit, tout en étant cette force créatrice qui se manifeste en toute création, dimension, en toute forme de vie. On pourrait se questionner sur ce qui est réel et sur ce qui ne l’est pas. Le vécu est propre à chacun, ainsi que l’apprentissage et l’expérience. Cela ne fait pas de chacun un plus petit où un plus grand, un élève où un maître, tous sont issus de la même force créatrice et que celle-ci a choisi la diversité pour ainsi explorer toutes les possibilités. N’oublions pas que quelle que soit la forme qui sert de véhicule pour la vie, elle n’est pas éternelle, seule ce qui nous anime l’est. Que la lumière de l’amour soit ce qui éclaire chacun de nos pas, en aimant tout ce qui se présente sur le grand écran de la vie, accueillant et acceptant le choix de vie de chacun, son apprentissage, son expérience et son vécu. L’intelligence de la lumière oeuvre en toute chose, en toute vie, en tout ce qui est, l’amour est ce qu’il y a de plus grand. C’est ainsi que je nous aime tous d’un amour incommensurable, tout en acceptant et en accueillant les choix de vie de chacun. Régis Raphaël Violette

samedi 2 novembre 2019

Que puis-je dire à celui qui ... ?

Que puis-je dire à celui qui ... ?

Que pouvons-nous dire à ceux qui, pour une raison ou pour une autre, vivent une forme de dualité et de séparation ? Que pouvons-nous dire à ceux qui perdent un être cher, qui perdent leur emploi, qui sont dans le besoin, qui souffrent, qui ont perdu espoir en ce monde et en tous leurs semblables qui vivent des grandes transformations intérieures, ne trouvant aucune réponse, qui vivent constamment dans la peur des événements, qui ne savent plus comment affronter ce monde ? Que dire à quelqu'un qui est maltraité, humilié, abandonné, trahi ou qui subit une injustice de la part d'une tierce personne ? Que dire à celui qui fait face à ce temps apocalyptique, à la dissolution du rêve éphémère, à toutes les dimensions et créations ? Que dire à celui qui se croit être une personne et qui fait face à sa propre création, qui ne sait pas qu'il en est le créateur ? Que dire a celui qui ne croit qu'en sa religion et en ses croyances qu'il est sur la mauvaise voie ? Que dire à tous les êtres humains, qui ne sont pas ce qu'ils croient et pensent être ? Que dire à celui qui cherche à dépasser son maître spirituel, qu'il n'est pas le maître de qui que ce soit ? Que dire à celui qui ne fait qu'écouter, qu'il ne fait rien de lui-même ? Alors que pouvons-nous dire à ceux qui... continuent à se nourrir des histoires de ce monde, ajoutant leurs propres peurs, inquiétudes, anxiétés et autres, tout en restant attentifs à tout ce qui se passe dans ce monde ? Donc, si vous vous reconnaissez dans celui qui... continue à s'identifier, qui ne peut s'empêcher de dire, de faire et agir de quelque façon que ce soit, ce message est pour vous. Tant qu'il y a identification avec quelqu'un ou quelque chose, cela devient un confinement, une prison de l'esprit. Quel que soit l'objet du désir, cela garde dans l'enfermement. Croire qu'on est une personne, un être humain, nous garde dans cet enfermement, il ne peut y avoir de liberté. Quelle que soit l'origine de la souffrance, quelle qu'en soit la cause, quelle que soit l'origine de la peur, de l'angoisse et de toute injustice, tout vient de cet enfermement, confinement. Croire que nous sommes une âme, une conscience, une personne ou autres, c'est vivre dans l'isolement, dans l'illusion de séparation. Alors que celui qui ne s'identifie plus à personne, ni à rien, cet être est libre, il est la paix, l'harmonie et la joie pour la simple raison qu'il n'attache plus aucune importance à l'identification. Il accueille et accepte tout ce qui arrive d'un même amour. Rien n'est stable dans ce monde, la stabilité n'est pas dans l'identification, mais dans l'acceptation de tout ce qui est, sans lui donner d'importance. Quand il pleut, la pluie dure aussi longtemps que nécessaire et après que le ciel se soit dégagé, le beau temps s'installe et ainsi de suite. Peu importe ce qui se manifeste dans le temps et l'espace, tout cède la place au renouvellement. Devons-nous, nous identifier à quoi ou à qui que ce soit ou autres, qui nous permet de faire l'expérience de la vie ? Devons-nous, nous identifier à des croyances, à des religions, à des concepts, à des histoires, qui nous empêchent de vivre la liberté ? Tant que l'être cherche, il est dans l'enfermement, s'il cherche la paix, la joie, le bonheur, la richesse, l'amour, quel que soit l'objet du désir, il ne peut être libre. Devons-nous être comme l'observateur qui ne voit que son propre enfermement ? Agissons comme le soleil, qui ne donne aucune importance à ce qui se passe dans le ciel et sur la terre, en illuminant tout de sa lumière. Est-ce que le soleil pense être une âme, une conscience, une personne ou autre chose ? Il n'a aucune identification, il illumine tout de sa lumière. En effet, s'il y a identification, il y a enfermement, confinement. La liberté reste détachée, dans la non-reconnaissance de rien, étant la paix, la joie et l'amour qui accueille et accepte tout avec la même intensité. Sommes-nous la forme humaine, la conscience, l'âme ou sommes-nous l'essence même de la vie ? Rien ne peut changer ce que nous sommes, ni le temps ni l'enfermement, ni quoi que ce soit, rien ne peut confiner l'essence même de la vie. Nous sommes ici pour vivre l'expérience de la vie sous cette forme ou une autre, rien ne peut nous empêcher d'être heureux, de vivre la paix, de vivre la joie et de sentir et ressentir l'amour dans tout ce qui est, pour la simple raison que nous en sommes l'essence. Acceptons, accueillons tout avec le même amour, peu importe ce qui nous afflige dans la forme, dans ce véhicule qui nous sert d'ancrage. Ne laissons pas le passé, le présent ou même l'avenir altérer notre paix, notre joie et notre amour absolu. Acceptons ce qui arrive, accueillons tout par l'amour, ne laissons personnes nous dicter leurs histoires, leurs convictions ou tout autres croyances, consumons tout avec amour, c'est vivre notre liberté, et rien ne peut la modifier. Que nous vivions la dissolution ou pas, de toute création et dimension de tout ce qui est, cela n'a aucune répercussion sur ce que nous sommes de toute éternité, l'intelligence de la lumière, l'essence de la vie qui illumine tout de son amour. Que puis-je dire à celui qui.... Oubliez tout ce que vous pensez et croyez être, l'amour est notre essence, tout le reste n'est qu'illusion, de passage. Ce que nous voyons n'est que nous-mêmes, une projection de nos croyances, de nos pensées, tout en est sa manifestation, le rêve, son enfermement, aussi diversifié qu'il puisse être dans toute création, dimension. Nous sommes tous le même rêveur, il n'y a rien à juger, il n'y a rien à identifier, tout est illusion, ce qui est réel n'appartient pas à ce rêve, ni à aucun monde, univers ou autres, puisque nous sommes l'essence de la vie, l'amour absolu. Sortir de l'enfermement, de toute identification, nous apporte cette liberté. Régis Raphaël Violette