dimanche 30 septembre 2018

Nous sommes tous la présence éternelle, que l'on soit conscient ou pas, tout a sa raison d'être.

Nous sommes tous la présence éternelle, que l'on soit conscient ou pas, tout a sa raison d'être.

Un monde illusoire pour comprendre notre vraie nature divine. Tout à sa raison d'être dans ce que nous appelons la réalité, l'éphémère ou dans cet enfermement. Peu importe ce que nous croyons et pensons de la réalité, de cette matrice quantique. On se demande le pourquoi de notre venue et la raison de toute cette fragmentation de la même présence éternelle. Pour vous la faire un peu plus courte, peu importe qui nous sommes, ce que nous émanons, partageons, en tant que parcelle de cette présence éternelle en ce rêve, enfermement, qui laisse croire à l'illusion de dualité et de séparation. Quelle en soi la conscience, individuelle, collective, universelle et quantique, tout pour servir le plan divin, dans seul but. Transcender toute illusion, ainsi que la conscience afin d'intégrer la totalité, du dernier jusqu'au premier, hors de tout concept, de l'enfermement, du rêve éphémère.

Alors que sommes-nous dans ce rêve, dans cette matrice quantique ? Qui n'est rien d'autre qu'un enfermement, un rêve, l'éphémère, l'illusion. En fait, du dernier jusqu'au premier, quelle que soit la conscience, individuelle, collective, universelle et quantique, tout est issu de cette présence éternelle. Dans l'enfermement, on lui attribue des noms, quel que soit le nom, il fait partie du rêve éphémère, il n'est que projection, le reflet de la présence éternelle, qui n'est pas assujettie au temps, à l'espace et dimensions, totalement dépourvue de concept, d'archétypes, de religions ou autres conditionnements, croyances. Ce qui fait, que nous sommes tous la présence éternelle avec le voile de la conscience, ainsi de tous les autres cops subtils l'âme, l'esprit, tout pour nourrir l'illusion de séparation. Peu importe l'endroit d'où nous croyons venir, d'une telle constellation, d'une telle famille de lumière, ou autres., que cela déplaise à la conscience croyant être ceci ou cela, tout est illusion. La seule vérité, c'est que tous sont la présence éternelle, celle-ci s'est fragmenté à l'infinie, créant du coup, l'illusion de dualité et de séparation, la lutte incessante des consciences non réalisées. Tant que la conscience croit être qui ou quoi que ce soit dans l'illusion, dans le rêve, l'éphémère, celle-ci alimente l'illusion de dualité et de séparation, sans se rendre compte qu'elle se combat elle-même, ne sachant pas qu'elle est la présence éternelle, comme toutes les autres fragmentations.

Ne cherchons pas à juger les autres fragmentations de la présence éternelle dans l'éphémère, dans la matrice quantique, qui est assujettie au temps, à l'espace et dimensions. Quelle que soit l'expérience, l'apprentissage, tout a sa raison d'être, comment parvenir à transcender, traverser, cet enfermement, ce rêve, cette matrice quantique ? Par les remises en question, par l'inspiration divine, qu'importe la provenance, que ce soient des autres fragmentations de la présence éternelle, comme les anges, les archanges, ou autres archétypes, entités de lumière, de Marie, Jésus, Bouddha, ou même de ceux qui ont fait ou fait partie de notre vie, de notre propre inspiration personnelle. Ce qu'il faut réaliser, c'est de comprendre que ce tout est un, tout ce que nous vivons, expérimentons, apprenons, intégrons, tout a sa raison d'être. En fait, il n'y a pas plus grand ou plus petit, quel que soit ce que nous sommes venus apprendre ou accomplir, tout est juste et cela quelle que soit la conscience, ainsi que son niveau de connaissance. Cela reste que de l'illusion, quand l'être réalise que tout est un, le tout en un du dernier jusqu'au premier. Comme je le disais peu importe ce que les autres pensent, font, ils ne font qui suivent une voie bien tracée qui sert à l'ensemble. Peu importe le niveau de connaissance, tout est juste, tout est parfait, l'action apporte la réaction et cela est nécessaire pour sortir de cet enfermement. On croit que celui qui est constamment dans la dualité, à faire des actions incompréhensibles, voire impardonnable, qu'il n'a pas son importance, détrompez-vous il est autant la présente éternelle.

Tout est juste, tout n'a qu'un but, transcender la conscience, acquérir la connaissance, non pas en jugeant, mais en traversant tout par amour, en reconnaissant que tout a sa raison d'être. Que seule cette connaissance, par le vécu apporte la libération de l'illusion, de l'enfermement, du rêve, de l'éphémère et de toute illusion. Pour ceux qui sont prêts à entendre cette vérité, apportent la lumière, les autres suivent ce qu'ils sont venus accomplir et cela n'enlève à rien à ce qu'ils sont, la fragmentation de la présence éternelle. Sans rien imposer, nous savons que tout a sa raison d'être. Nous assistons à La dissolution du rêve, de l'enfermement, cela sans attente de qui ou de quoi que ce soit, en aimant tout d'un même amour.

samedi 29 septembre 2018

Un dilemme où tous et chacun ont à vivre

Un dilemme où tous et chacun ont à vivre



Pourquoi sommes-nous là en cet instant bien précis ? Ce soir, en train de relaxer, j'ai reçu cette inspiration de ma guidance intérieure, de cette présence éternelle. Comment pourrais-je la décrire ? Tout en relaxant, je me suis retrouvé face à un dilemme, qui frappe toute cette matrice quantique, ce rêve, cet éphémère. En gros ce que l'on considère comme étant réel, le paraître, qui est à l'origine de tous les concepts, de toutes les croyances, de tous les archétypes, religions, cultes ou autres conditionnements. En fait, quelle que soit la manifestation de la vie, conscience individuelle, collective, universelle ou quantique, tout se trouve être confronté à ce dilemme. Je vois parmi vous des êtres formidables, qui ont vécu des expériences extraordinaires, qui n'a rien à voir avec cette réalité, l'aspect multidimensionnel, se voir dans d'autres réalités, à être quelqu'un d'autre. Peu importe ce que nous avons expérimenté par la sortie hors du corps physique, voyageant dans l'éthérique, astrales ou autres sphères de conscience. Tout nous ramène à ce fameux dilemme. Regardons-nous un instant, où portons-nous notre regard, où donnons-nous de l'importance, à des expériences vécues dans la matrice quantique, à travers des canalisations, à travers des personnages dans d'autres dimensions ou autres réalités. Que faisons-nous de l'essentiel, de ce qui unifie tout en un, de ce qui permet de nous libérer des illusions de dualité et de séparation, qui nous permet de sortir de tous les concepts, archétypes et autres ? En fait il n'y a rien de réel, tout n'est que projection afin de dissoudre ce dilemme. Il est bien beau de partager son vécu, ses expériences, ce qui a permis le vrai éveil. Tant qu'il y a ce dilemme, y a-t-il vraiment cet éveil ? On pourra dire que nous sommes dans la joie, à festoyer, à chanter, à rire, à continuer à se raconter des histoires, à démontrer que nous sommes des êtres éveillés.

Pour un bref instant, on y croit, on est dans la joie incommensurable et merveilleuse, tout est beau, parfait, cela semble ne pas avoir de fin, le temps n'existe plus, seul l'instant est. Tôt ou tard, le temps nous rattrape, cette réalité n'a pas dit son dernier mot, faisant perdurer ce dilemme, nous voilà replongée dans l'éphémère, dans le rêve, on se laisse prendre au jeu. On constate, on reste calme, mais il y a cet aspect qui revendique son droit d'existence, tout en essayant de calmer le jeu. On lui donne pas trop d'importance, mais il rest un fait, le dilemme est toujours présent. On va me demander ce qu'est ce fameux dilemme. Il est cette fragmentation de la source présente dans l'éphémère, dans le rêve, qui participe à l'enfermement, à se raconter des histoires, à s'en rappeler, qui fait que renforcir le personnage. Par contre, l'être qui a vécu l'éveil, qui est sortie de cette matrice, sait que dans ce rêve, que tout est illusion, que tout est conçu à alimenter l'enfermement. Le dilemme c'est comment ne plus faire appel à ce personnage. que nous croyons et pensons être. On sait que tout est un, que du dernier jusqu'au premier tour vient de cette présence éternelle, qui est au-delà de cette matrice quantique et de tout ce qui est véhiculé comme concept et autres croyances. Le danger ce n'est pas cette matrice quantique, ni le temps, ni l'espace et les dimensions, c'est le dilemme avec le personnage, cette fragmentation de la présence éternelle qui ne fait que nous rappeler son existence. Et de l'autre nous sommes la présence éternelle, libre de tout concept, baignant dans la paix, dans la joie et dans l'amour éternel, libre de tout concept, aucune fragmentation, dans sa totalité.

Ce dilemme, nous ramène dans le jeu, on croit que tout ce qui se présente à nous, tout est là pour nous aider à transcender les dernières histoires à régler, à tout consumer par amour. Tant que nous restons dans le dilemme, à donner plus d'importance au personnage, à cette matrice quantique, cela ne fait que perdurer l'illusion. Tout dans ce monde, matrice quantique, ne fait que refléter sans cesse cette illusion, montrant notre reflet dans le miroir. Sommes-nous ce reflet ? Cela reste l'illusion, en fait nous sommes la présence éternelle, le tout en un. Comment vaincre ce dilemme, de cette représentation au personnage. à ce rêve ? En fait, nous sommes rien de ce qui appartient au rêve, à cet éphémère, quel que soit le nom qu'on se donne pour mettre une étiquette quelconque. Il n'y a que la présence éternelle qui se voit à travers le rêve dans toute sa fragmentation infinie. En continuant à se raconter des histoires, cela ne fait qu'alimenter l'illusion, juste prendre connaissance que nous sommes déjà accomplis, ne plus être dans l'attente de qui ou de quoi que ce soit. Le temps est venu de revendiquer notre vraie nature divine et en être la lumière. On a tendance à être dans la compassion, à apporter de l'aide, car tout dans cette matrice nous dévoile cette fragmentation qui crée l'illusion de dualité, de la séparation. Il suffit de voir un frère ou une soeur de lumière, ou une connaissance, voire même un étranger vivre l'illusion de dualité et de séparation, quel qu'en soit la conséquence encourue, que notre personnage rentre en action, tombe à nouveau dans le piège. De plus en plus d'être qui prend conscience de ce dilemme, voit ce grand tableau, comme étant à la fois le créateur tout en étant le tableau tout entier.

Il est difficile de ne pas succomber au jeu, pour la simple raison que tout est lié, que toute cette fragmentation a toute la même origine, en cette présence éternelle. Ques reste-t-il à faire ? Être au-dessus de toute cette illusion de dualité et de séparation, peu importe ce qui se passe dans le rêve, il n'y a qu'une seule vérité, et celle-ci est en notre cœur qui n'est pas assujetti à aucun concept, temps, espace et dimensions, qui n'a rien à voir avec la matrice quantique, tout n'est que la fragmentation, ce que l'on voit, constate, n'est que la présence éternelle sous une autre forme, conscience. Peu importe l'endroit, le temps, l'espace et dimension, toute cette diversité infinie en est la fragmentation. Qu'en fait nous sommes tous cette présence éternelle, du dernier jusqu'au premier, tout est un, présence éternelle au-delà de tout concept, traversant toute illusion par sa lumière et amour. Voilà, nous vivons ce dilemme, tout en vivant la dissolution de toute illusion, la traversant en étant à nouveau dans l'unification, baignant dans notre essence éternelle, l'amour.

Qu'on se le dise, nous sommes rien de ce qui vient de l'illusion de dualité et de séparation, de ce rêve, de cette matrice quantique, de cet enfermement, de tout ce qui est concept, archétype ou autres. Tout n'est qu'un costume, un voile infini cachant notre véritable nature divine. Le dilemme n'est que la transition, une conséquence de la dissolution. On remarque de plus en plus, que cela est un chemin de non-retour et que nous le voulons ou pas, la dissolution a lieu, quitter toute illusion, sortir du rêve, de cet enfermement. de se dénuder de tout, Juste, être la présence éternelle.

jeudi 27 septembre 2018

Être où ne pas être, telle est la question, c'est dans le non être se trouve la réponse.

Être où ne pas être, telle est la question, c'est dans le non être se trouve la réponse.


Être où ne pas être, telle est la question William Shakespeare, dans son envolée, exprima cette réplique. Cela reste d'actualité, être où ne pas être, comment comprendre le vrai sens de ces mots, comme il en est pour René Descartes, je pense, donc je suis. On pourra dire que ces deux personnes dévoilaient une très grande vérité. Pour le simple des mortels, être c'est tout simplement vivre, ne pas être, c'est renoncer à la vie. Mais en ce qui nous concerne, ayant une connaissance d'une plus grande ouverture, être c'est tout simplement être la présence qui aime tout d'un même amour, sachant que tout part du point zéro. être, cela demande à devenir l'observateur de ce point zéro, observer tout d'un même regard, sans prendre position, juste accueillir l'expérience, l'apprentissage de tout ce qui émane de ce point zéro. Il est vrai que l'observateur peut facilement se perdre dans toutes ces expressions, revêtant plusieurs costumes, plusieurs décors, plusieurs réalités, aussi réelle les unes des autres. Être c'est tout simplement endosser un rôle, c'est croire au personnage, c'est alimenter et se nourrir des histoires, tout en sachant que tout est illusion, que tout vient du point zéro. Être c'est incarner la pièce de théâtre et tout ce qui la compose, c'est jouer le jeu, c'est vivre dans l'illusion de dualité et de séparation. Quand l'être rencontre un autre être, que se passe-t-il ? Il y a échange de regards, de perception différente, il y a deux êtres qui s'observent, comme si chacun se percevait dans un nouveau miroir. Qu'est-ce que je vois en ce miroir ? Être c'est le paraître, c'est l'observateur qui se voit à travers la réalité, à travers la pièce de théâtre, la matrice quantique.

Être c'est observer ce qui se passe en son for intérieur, en ses rêves, conscient ou inconscient. C'est observer sans la forme, en étant que conscience, en tant qu'esprit, en étant un autre personnage, en canalisant d'autres entités, en s'inspirant des êtres venant d'un autre époque, temps, espace et dimensions. Être c'est de prendre connaissance que tout vient du point zéro, quel que soit l'être, il est autant un observateur. Il pense, donc il est, il est quoi, juste l'illusion de ce qu'il croit être. En fait l'être n'est rien à la base, pour la simple raison qu'il vient du point zéro. Il en est de même pour la matrice quantique, pour le temps, l'espace et dimensions, tout est dans le paraître et non dans le non être. Qui suis-je ? Si je ne suis pas l'être alors je suis le point zéro. En fait, c'est quoi le point zéro, si ce n'est pas l'être, c'est le non être. Si tout émerge du point de zéro et qui prend vie, qui devient l'être, l'observateur du point zéro. Tout ce qui se passe dans l'être, n'est qu'illusion, tous les concepts, tous les archétypes, tous les personnages de l'être, tout est le paraître du point zéro. Alors l'être à comme tâche de servir le point zéro, de faire des expériences, à être dans les croyances, dans les concepts, à contempler les personnages venant de cette réalité ou d'autres réalités, de la matrice quantique, quel que soit le temps, l'espace et dimensions, tout n'est que projection du point zéro. La source de toute cette projection, le non être. Le non être unifié tout en un, car tout provient du point zéro. En fait de compte nous sommes l'être et le non être, l'observateur, tout en étant le créateur. Peu importe ce qui se passe en tant qu'être, tout n'est que projection, l'origine de tout, n'est pas dans l'être, mais bien dans le point zéro, le non être. Et c'est là qu'on retrouve la liberté, la paix, le silence, le tout en un, la joie. Maintenant qu'on sait qu'on est le non être tout en étant l'être, il y a de quoi à rire et à festoyer.

Tout ce temps à être dans l'illusion du paraître, à croire à l'être, à la conscience, à l'esprit, à l'âme, quand tout vient du point zéro, le non être, la présence éternelle, qui unifie tout en un. Donc qui suis-je ? Je suis la présence éternelle, le non être qui se manifeste en tant qu'être dans la matrice quantique, temps, espace et dimensions, qui ne sont que le jeu de l'être, tout est un. Peu importe d'où vient l'être, quel que soit le temps, l'espace ou dimensions, de la matrice quantique, tout est l'être, le paraître, en fait l'illusion de dualité et de séparation. Toute cette fragmentation du point zéro, qui n'est que l'être multiplié à l'infini, s'observant, en oubliant qu'il est le non être, le point zéro, la présence éternelle. Voilà ce que nous sommes, la présence éternelle, le point zéro, le tout en un, tout en vivant l'illusion de l'être. Être où ne pas être, telle est la question, Voilà la réponse à cette question, je pense, donc je ne suis pas, je ne pense pas, donc je suis, quoi qu'il en soit, n'oublions pas que peu importe ce que nous pensons être, c'est dans le non être que se trouve la réponse à notre je suis, cette présente éternelle traverse toute illusion de l'être par sa lumière et amour.

mardi 25 septembre 2018

Pour vivre l'éveil, la grande révélation, les deux faces doivent être réunies, complétant ainsi la médaille, la présence éternelle.

Pour vivre l'éveil, la grande révélation, les deux faces doivent être réunies, complétant ainsi la médaille, la présence éternelle.

En tant que présence éternelle dans l'éphémère, n'avons-nous pas à reconnaître aussi notre présence qui est au-delà du voile de l'illusion, de la conscience individuelle, collective, universelle, quantique, de cette conscience unifiée.? Comme s'il manquait le revers de l'autre face d'une même médaille. Voilà pourquoi un grand nombre incommensurable se sente incomplet pour la simple raison qu'ils n'ont pas unifiée, fusionné avec cette autre partie. Être dans l'éphémère est une chose mais être au-delà en est une autre, les deux faces sont importantes l'une comme l'autre. Le fait qu'une face reconnaît son autre partie, l'autre doit en faire autant. C'est ce que l'on constate, comme je le disais ce n'est pas en cherchant du même côté d'une même face, que l'être est complet. En d'autres mots, quels que soient les concepts, les croyances, les archétypes, les histoires, les mémoires, les expériences comme les apprentissages dans lesquels l'être s'identifie. Il n'est pas complet, il lui manque son autre face, cette totalité qui est au-delà de l'éphémère, du rêve, de cette matrice quantique où le temps, espace et dimensions s'imbriquent les unes dans les autres.

Qu'est-ce qui manque à cet éphémère, à ce rêve, à cette matrice quantique, à toute cette diversité de vie, qui se renouvelle sans cesse, tel à des phoenix renaissant de leurs cendres ? Tout tourne en ronde, le serpent qui se mord la queue indéfiniment, vivant l'illusion de dualité et de séparation, des consciences en conscience, prisonnier de l'enfermement, du rêve illusoire. Pourquoi en est-il ainsi ? Pour la simple raison que l'éphémère, de conscience en conscience n'ont pas reconnu la présence éternelle, qui est au-delà de la matrice quantique, du rêve illusoire, de l'illusion de dualité et de séparation. Restant dans l'enfermement, vide de son autre moitié, cherchant désespérément son autre face, afin d'être dans la totalité. Les deux faces réunies de la même médaille, l'être et le non être, le non être et l'être. On s'aperçoit qu'un côté ou de l'autre, la face est l'être à la fois et le non être et de l'autre il est le non être et l'être. Mais pour saisir cette grande vérité, la réunion, la fusion des deux faces dévoilent ce grand mystère.

Ne cherchons pas la cause de l'illusion de dualité et de la séparation, quand la même face d'une médaille est à la recherche de son autre moitié, celle-ci est incomplète. Il en est de même pour toute diversité de la vie, de toutes les âmes, cherchant désespérément son autre partie. Pas celle qui est dans l'éphémère,  pas celle qui vient de la même conscience, des archétypes, ou autres concepts, mais celle qui est au-delà de la matrice quantique, du rêve illusoire, de l'éphémère, de cet enfermement, cette présence éternelle qui est au-delà de tout, qui n'est assujettie à rien. C'est par l'union des deux faces, de l'enfermement à cette liberté, qu'il nous est donné de vivre cet éveil, cette joie incommensurable, cette paix indéniable, inaltérable. C'est par cette réunification, cette fusion qui est possible de dévoiler cette humble vérité, de traverser toute illusion dans la présence de l'amour, de tout consumer par amour, d'être à la fois le feu sacré tout en étant le combustible. J'ai vécu cette réunification, cette fusion, c'est qui m'a rendu la liberté, de comprendre que l'enfermement n'est que la manifestation de l'autre face d'une même médaille et que la présence éternelle est la présence dans ce que je pensais être comme étant l'enfermement, mais qui se trouve être la perfection en toute chose.

Pourquoi sommes-nous en train de vivre cette expérience dans ce que nous appelons enfermement, matrice quantique, le rêve, l'éphémère ? Le but est de comprendre que nous sommes les deux faces d'une même médaille, la présence éternelle, qui est au-delà de tout concept, là où tout est un du dernier jusqu'au premier, un seul tout, tout en étant fragmenté dans l'autre partie, tout en étant un, le tout en un. L'illusion de dualité n'est qu'un leurre, ainsi en est-il pour l'illusion de séparation, tout est un, un en tout. Il n'y a rien à juger, ni à condamner, ni un plus grand ou plus petit que l'autre, la vérité c'est qu'il y a deux faces, l'une se manifestant dans ce que nous appelons la matrice quantique, qui est assujettie au temps, à l'espace et dimensions, se trouve être la fragmentation de la présence éternelle et l'autre face est au-delà de tout concept, qui est la défragmentation de tout ce qui est, la présence éternelle. L'un en tout, tout en un. Seul l'unification des deux faces, te fait vivre cet amour incommensurable, immuable, immesurable, immensurable, aimant tout d'un même amour, te permet d'être dans la joie, dans cette réunification. dans cette révélation, où tout est juste, tout a sa raison d'être où tout prend sa place. Regardons avec les yeux du cœur unifiés.

lundi 24 septembre 2018

On me demande mon avis sur l'avortement. Expliquons davantage sur l'enfermement.

On me demande mon avis sur l'avortement. Expliquons davantage sur l'enfermement.



Que devons-nous penser de l'avortement ? Il y a plusieurs modes de penser dans ce qui concerne l'avortement, il y a ceux qui sont pour, ceux qui sont contre. et ceux qui n'ont pas d'opinions. Dans une certaine mesure, devrait-on empêcher une vie de naître ? Posons la question aux femmes qui se sont fait violenter, qui ont enfanté, tout en posant la même question à ceux qui se sont fait avorter ? Une chose est sûre que quelle que soit la décision de ces femmes, elles portent en eux une grande souffrance, voire une grande blessure de l'âme. Il y a ces femmes qui décident d'avorter pour d'autres problèmes, soit qu'elles ne sont pas prêtes à élever un enfant par faute professionnelle, ou d'autres raisons, comme la malformation. Quoique l'avortement ce soit un acte qui revient strictement à la femme concernée. Dans ce monde, tout est une question de choix, tous font des choix selon leur conscience, selon ce qu'il croit être le mieux tout en portant les conséquences de leurs actions. Est-ce que j'ai une opinion sur le sujet de l'avortement ? Comme je l'ai décrit plus haut, cela regarde uniquement la femme, c'est elle qui a le dernier mot. Je n'ai aucun jugement, envers ces femmes, comme je le dis dans les messages que je publie, tout a sa raison d'être, tout est juste, tout est parfait. Nous sommes ici pour faire l'expérience de la vie, peu importe ce que sommes venus apprendre en ce monde, tout sert au même plan divin. Tout est un, à tout moment, nous vivons avec les conséquences de tous. Libre à chacun de le vivre comme il l'entend.

J'ai le plus grand respect envers tout ce qui est, envers toute diversité de la vie. Cela ne s'arrête pas à une seule vie. Au-delà de tout concept, de tout archétype, croyances, religions ou autres conditionnements, il y a cette présence éternelle, la source de tout ce qui est, elle n'est pas assujettie à qui ou à quoi que ce soit, notre véritable essence divine. Ce que l'on appelle l'enfermement, la matrice quantique, la manifestation de la conscience individuelle, collective, universelle et quantique, toute cette fragmentation provient de cette présence éternelle. Toutes les histoires de cette matrice quantique ne sont que la manifestation de cette présence éternelle. Tout est l'un, l'un en tout. Seul celui qui est né de nouveau comprend que nous devons passer par l'enfermement pour ainsi apprendre que nous sommes cette présence éternelle, l'essence éternelle de l'amour. En fait, il n'y a pas que l'avortement qui affecte la conscience individuelle, collective, universelle et quantique, toute cette illusion de dualité et de séparation, créant ainsi le chaos, le désordre et autres, mais cela n'a pas arrêté la présence éternelle par sa lumière de se dévoiler à certain pour comprendre le pourquoi, le comment, la raison de cet enfermement. Il y a une vérité encore plus grande, qu'en fait, rien n'a vraiment quitté la source originelle, rien ne peut être altéré, du dernier jusqu'au premier, tout se trouve dans la présence éternelle. Ce que nous vivons n'est rien d'autre que le rêve, l'illusion, mais pour le comprendre, il faut le vivre, sortir de l'illusion pour avoir cette connaissance. Pour ceux qui le vivent, ils sont dans la joie incommensurable, transcendant ainsi la personnalité, la conscience, traversant toute illusion, incarnant ainsi la paix éternelle, vivant à la fois l'unité tout en étant dans l'illusion. Nous sommes tous la présence éternelle incommensurable, immesurable, immuable, immensurable, l'amour éternel. Ce message est là pour en témoigner, par mon propre vécu, comme il en est pour plusieurs.

Peu importe ce que nous vivons en tant qu'apprentissage et expérience dans cette matrice quantique, tout est juste, tout a sa raison d'être, tout est parfait, pour tout simplement comprendre ce qu'est l'enfermement pour enfin prendre connaissance de notre véritable nature divine, vivre le tout en un, l'un en tout, la présence éternelle, qui traverse toute illusion par sa lumière et amour. 

samedi 22 septembre 2018

La plus grosse aberration qui soit, c'est croire à autre chose que notre véritable nature divine.



On me demande plus d'éclaircissement sur notre véritable nature, en cette présence éternelle. 

En fait il y a au-delà de tout concept, qui n'est pas assujetti au temps, à l'espace et dimensions, qui à la fois se manifeste en toute chose, en tout ce qui est. En fait, nous sommes tous issus de cette présence éternelle, qui nous permet de faire l'apprentissage et l'expérience en tant que forme, en tant que manifestation dans cette matrice quantique. On croit être des hommes ou des femmes, des êtres humains, mais en réalité ce que nous croyons être n'est que le véhicule qui nous permet de vivre dans cette réalité, exposé au temps, à l'espace se retrouvant dans cette dimension. On se demande où est l'origine de la dualité, elle vient de cette perception, de cette identification à la forme et au contenu à cette conscience que l'on croit être pour la simple raison que l'on croit être séparé du reste. On se croit unique, différent, déjà par la forme, par la couleur, par le langage, par la religion, par l'environnement et autres, tout contribue à alimenter cette illusion de séparation et de dualité. Qui en fait est la pire des aberrations, erreurs de jugements, illusions, égarement, anomalie que ce monde, l'univers, toute cette matrice quantique puisse connaître, le fait de croire à la forme, au lieu de croire en la source qui est au-delà de la conscience, de tout concept.

On dira que l'erreur est humaine, mais elle est aussi universelle, quantique, qui se passe aussi bien dans d'autres dimensions, temps et espace. On se retrouve à vivre dans un enfermement, à croire à des concepts, à des croyances, à idolâtrer ce qui est hors de la réalité présente, à croire aux anges, aux archanges, ou autres archétypes, juste parce que nous le ressentons, que nous recevons des messages, cela se traduit par des canalisations, par de l'inspiration, par toute sorte de média, des entités, par des défunts et autres. Cela renforcit l'illusion de séparation et de dualité. On se croit différent et possédant des aptitudes autres, quoi qu'il en soit un beau terrain de jeu pour les egos, se basant sur des croyances, sur des expériences hors du corps, prenant conscience d'autres réalités. Comme je le disais, le danger est de croire en la forme et en son contenu, cela ne fait que renforcer l'enfermement, l'illusion de dualité et de séparation, quant à la base, tout provient de la même source de lumière, qui traverse toute illusion. L'anomalie est de se croire séparer, car tout est issu de cette présence éternelle, mais tant que la conscience, que cette présence ne croit être que la forme et le contenant au lieu de s'identifier à tout, comprenant que tout en est la manifestation, cela occasionne tous ces scénarios, qui alimentent l'illusion de dualité et de séparation. 

Voilà la plus grosse aberration qui soit, celle de croire à la forme et en son contenu, au lieu de prendre connaissance que tout est lié, que tout est unifié, que tous sont issus de la même présence éternelle. Croire juste en la forme et en son contenu intérieur, à toutes expériences et apprentissages vécus dans l'enfermement, alimente l'illusion de dualité et de séparation. L'être porte les masques de l'enfermement, c'est ce qui alimente les blessures de l'âme, l'être se sent rejeté, abandonné, humilié, vit la trahison et l'injustice de cet enfermement pour la simple raison qu'il croit n'être que la conscience individuelle, universelle et quantique ne faisant le rapprochement que tout est issu de la même source de lumière, en cette présence éternelle.

Ainsi la grande majorité des êtres humains s'identifient à la forme et en son contenu, vivant dans l'enfermement, dans les concepts, dans les croyances, dans les archétypes et autres conditionnements. Prisonnier et souffrant de son propre égarement, convaincu d'être dans le bon chemin. Il suffit de voir l'origine de la souffrance, du mal-être, de tous les maux, tout vient de cette identification à la forme et à son contenu, oubliant la vraie connexion, ce qui unifie tout en un, l'un en tout. Plusieurs disent aimer d'un amour inconditionnel, mais ne sont pas prêts à pardonner des actes qui se passent dans ce monde ou ailleurs. Ils ne se rendent pas compte que tout est lié, que quels que soient les actes, gestes, tout vient de cet enfermement. Il suffit juste de comprendre que tout est illusion, que la seule vérité n'est pas dans l'éphémère, dans le rêve, dans cette matrice quantique, elle est au-delà de tout concept et c'est en notre cœur que la clé s'y trouve. S'ouvrir à notre véritable nature divine, en cette présence éternelle, en aimant tout d'un même amour, en ne s'identifiant plus à aucune conscience, à quoi ou à qui que ce soit, tout simplement se rendre compte que tout est un, que nous en sommes l'essence et cela en toute éternité, transcendant ainsi la forme et le contenu. Qu'en fait nous en sommes sa manifestation dans cette matrice quantique, temps, espace et dimensions.

Ne pas chercher la cause des maux, des souffrances, de cette illusion de dualité et de séparation, la réponse n'est pas extérieure, elle est en votre cœur. Quand l'être aura compris, intégré cette humble vérité, que tout est la manifestation d'une même source de lumière, qui n'est pas assujettie à aucun concept et est à l'origine de toute vie, de toute cette réalisation qui se manifeste dans cette matrice quantique. Ne pas chercher à être plus grand ou plus petit, quelle que soit la forme dans cette matrice, tout provient de cette présence éternelle, où tout du dernier jusqu'au premier est unifié, un seul tout. Aimons tout d'un même amour, l'illusion de dualité et de séparation provient de cet égarement, de cet aveuglement qui ne fait qu'alimenter l'illusion de l'enfermement.


vendredi 21 septembre 2018

PARTAGE EN PLUSIEURS FOIS CETTE HUMBLE VÉRITÉ. AINSI PLUSIEURS ÉVITERONT DE SOUFFRIR.



💞N'attends rien de ce monde éphémère, de cet enfermement, il est là pour te blesser, t'éloigner de la lumière de l'amour. N'as-tu pas assez de souffrir ? N'attends rien car ce monde n'est qu'illusion. La vérité n'est pas de monde illusoire, ni de la matrice quantique, ni d'aucun qui croit en la liberté et en l'amour et qui ne font que nourrir l'illusion de dualité et de séparation. Lors de mon éveil, j'ai su que je devais rien attendre de ce monde, de cette création illusoire, de cet enfermement. La vérité est dans notre cœur libre de tout concept, de tout enfermement, de toute illusion. C'est dans la présence éternelle que l'on retrouve sa véritable nature divine. Là où tout est un du dernier jusqu'au premier. Tout de cette création est illusion, seule notre essence est éternelle, l'amour en présence qui transcende et traverse toute illusion, en aimant tout de son amour.

Retrouvons le coeur d'un enfant pour être à nouveau libre de tout enfermement.

Retrouvons le cœur d'un enfant, afin d'être de toute éternité, ce que nous sommes l'essence même de l'amour

Comment retrouver le cœur d'un enfant ? Que constatons-nous quand nous regardons agir un jeune enfant ? Premièrement, il est dans son instant présent, il ne se préoccupe pas de ce qui s'est passé hier où ce que passera demain. Connaît-il vraiment ce qu'est l'amour ? En fait il ne connaît pas l'amour conditionné par les êtres humains, l'enfant connaît le vrai sens de l'amour, il en ressent l'énergie, il en est l'essence, il dégage cet amour incommensurable, un amour qui ne juge point, ni ne condamne, ni ne critique quoi que ce soit. En fait il est tout simplement à vivre cette relation d'unité avec ce qui compose sa propre réalité. Par contre l'enfant sent et ressent quand d'autres énergies rentrent dans son univers. Par exemple, l'enfant peut ressentir l'angoisse, les peurs de sa maman, de son papa. En fait l'enfant est très réceptif à son environnement et selon ce qui s'en dégage, il ne comprend pas, il se sent agressé par toutes les autres émanations qui ne découlent pas de l'amour. Pour attirer l'attention, l'enfant développe des aptitudes pour ainsi recevoir l'amour de ses parents ou de son entourage, déjà en grandissant il perd son innocence pour être conditionné à vivre dans l'illusion de dualité et de séparation.

Un enfant de bas âge a-t-il des croyances au suit des concepts, une religion quelconque ou autre conditionnements. À vrai dire l'enfant n'a aucune croyance, ni aucun concept ou autres, il ne fait que s'adapter à son nouvel environnement qui est loin d'être celle de son origine. Nous avons tous été des enfants, mais la vie dans ce monde, a fait en sorte de nous conditionner à être autre chose que le véritable amour qui est inné pour les enfants, se rappelant son origine, pas de manière consciente ou inconsciente mais qui est au-delà de la conscience, de cette matrice quantique, de cet enfermement, de l'éphémère. Voilà pourquoi quand nous regardons de jeune enfant de bas âge, que nous sommes éblouis par tant d'innocence et de pureté.

Il est primordial que nous retrouvions ce cœur d'enfant, libre de croyance, libre de tout conditionnement, libre de tout concept, archétype ou autres, juste vivre l'instant présent à dégager cet amour incommensurable, à être dans la joie, à partager en toute humilité ce qui fait de nous des êtres éternels, qui ont la chance de naître dans une forme quelconque pour ainsi vivre cette relation d'unité et cela dans un parfait amour. Que constatons-nous ? Un monde où les enfants sont conditionnés à vivre dans les croyances, dans les conditionnements, dans les lois, dans les histoires, dans les mémoires, venant des religions, des livres anciens et autres, rien à voir avec le cœur d'un enfant. Tout pour vivre dans l'illusion de dualité et de séparation. En fait dans ce monde, on fait tout pour couper l'enfant de son origine, de cette présence éternelle et amour, pour tout simplement le conditionner à être lui-même une illusion, prônant que des banalités, qui condamne l'ensemble dans cet enfermement oubliant sa véritable nature divine, l'amour qui n'a rien à voir avec les concepts de ce monde, univers et de tous ces concepts, qui ne fait que nourrir l'illusion de dualité et de séparation. Le cœur de l'enfant c'est la connexion directe avec la présence éternelle, celle qui unifie tout en un du dernier jusqu'au premier. Quelle que soit la vie, quelle qu'en soit la forme, tout est semblable à l'enfant de bas âge, l'amour dans sa plus belle expression, dénudé de tout enfermement, d'éphémère, de tout concept, archétype et autres.

Ne pas chercher la cause de votre mal-être, de votre souffrance, de ce grand vide qui n'a rien pour le combler dans cet enfermement. Quels que soient les maux ou autres, tout vient de cet enfermement, de toutes ces croyances, de tous ces concepts, religions et autres conditionnements. N'avez-vous pas encore saisi que ce monde, cet univers, cette matrice quantique vous détournez de votre cœur d'enfant pour tout simplement vous conditionnez à être des êtres sans lumière, sans vie, à nourrir l'illusion de dualité et de séparation. On vous a coupé les ailes de votre liberté faisant de vous des esclaves de cet enfermement. Le plus drôle c'est que vous êtes plusieurs à ne pas le voir et à continuer à l'alimenter.

C'est en retrouvant le cœur d'enfant que nous réalisons ce que ce monde, cet univers, cette matrice quantique a fait comme conséquence, vivre dans un enfermement qui n'a que la durée comme lui apporte. On réalise que tout a été conditionné pour alimenter cet enfermement, cet éphémère, oubliant ainsi la plus grande force d'unification qui n'a aucun égal, qui n'est pas assujettie à qui ou à quoi que ce soit, au-delà de tout enfermement, là où tout prend sa source afin d'expérimenter ce qu'il y a de plus divin, l'amour dénudé de tout concept. Réalise,  toi mon ami, mon frère, ma soeur, cet autre moi qui vient de la même source d'amour et de lumière, ne t'en prends pas à ce monde, à cette matrice quantique, à cet enfermement, ils sont tous des enfants ayant juste oublié leur origine commune, en cette même présence éternelle. Ce qu'ils ont besoin c'est que chacun retrouve ce cœur d'enfant afin d'être à nouveau unifié et en se libérant de tout enfermement, de cette illusion de dualité et de séparation. En tant que manifestation de la même présence éternelle, notre devoir n'est pas de continuer à alimenter l'illusion mais bien d'être ce cœur d'enfant qui aime tout sans condition, sans attente, car au fond de notre cœur, on sait que tout est un, unifié du dernier jusqu'au premier.

On vous promet mer et monde, un nouveau monde, ce que l'on ne vous dit pas c'est cette humble vérité, avant même votre venue dans cette matrice quantique, dans ce temps, espace et dimensions, que tout est accompli, la connaissance est déjà en nos cœurs unifiés, en tout notre être et cela au-delà de la conscience. Ne cherchons pas ce que nous sommes déjà, l'essence éternelle de l'amour et c'est en retrouvant notre cœur d'enfant que nous renaissons à notre véritable nature afin d'aimer tout d'un même amour, tout en nous rappelant que tout ce qui est dans l'enfermement, sont aussi des enfants qui sans le vouloir se sont retrouvé dans cette matrice quantique, dans l'éphémère, illusion de dualité et de séparation. On sait que tout ça est faux, que pur mensonge, et que la seule vérité est cet amour qui est exempt de tout enfermement, de tout concept, croyance, religion ou autres conditionnements basés sur l'illusion. J'utilise les mêmes mots en les répétant afin que cela prenne vie, s'enracine en votre mental jusqu'à votre cœur pour enfin vous dévoiler la lumière qui traverse toute illusion, qui unifie tout en un, retrouvant la totalité de votre cœur enfant libre de tout concept. Il suffit juste d'être dans son cœur d'enfant pour être connecté à tout ce qui est, du dernier jusqu'au premier pour ainsi partager le même amour libre de tout enfermement, cette joie incommensurable d'être l'essence éternelle de la lumière de l'amour.  

jeudi 20 septembre 2018

Soit que nous restons prisonniers, soit que nous vivons cette libération du labyrinthe du mental, des croyances et de tout concept.


Sois que l'être reste limité à ses croyances ou se libère de toute croyance, pour ainsi découvrir l'ampleur de ce qu'il est.

Tout est un, que les gens parlent de l'un ou des autres, ils ne font que parler d'eux-mêmes. À la base de tous ces gens, de toutes ces personnes, c'est la même source créatrice, celle qui se manifeste dans toute la création, en passant par le temps, l'espace et dimensions, qu'on appelle la matrice quantique. Où tout se vit dans un même instant, qui se renouvelle sans cesse, qui est en fait toutes de particules de lumière. Quoi qu'il en soit, une personne qui parle de quelqu'un d'autre, ne fait qu'exprimer sa propre relation d'unité avec une autre manifestation de la même source de lumière, qui en fait ne fait qu'un. Il est vrai que quelle que soit la diversité de la vie, celle-ci voit sa propre création à partir d'un seul point pour ainsi prendre connaissance d'une infime partie, qui peut se comparer à un grain de sable dans ce désert infini.

En tant que forme manifesté dans cet ici et maintenant, dans cette matrice quantique, comment voire l'ensemble quand nous percevons qu'une toute petite partie de cette globalité, qui se compare à un grain de sable dans tout ce désert infini ? Il en est de même pour les expériences vécues hors du corps, de ce que nous pouvons percevoir dans les rêves, dans les méditations, dans les canalisations, inspirations dans ce que nous recevons qui n'est pas conforme à la réalité présente.

En fait, les gens ne perçoivent pas ce qu'ils conçoivent comme étant la réalité, ils parlent d'eux, de leurs expériences, de leurs apprentissages. Il est certain que si la personne prend tout sur elle, elle est victime de ce qu'elle croit et pense être, victime de sa réalité, en ne voyant pas plus loin. Alors que celui qui donne une autre explication, voit ceci, quelle que soit la personne, celle-ci fait face à sa propre expérience, apprentissage avec la vie. Au lieu d'être la victime, il devient l'observateur, il sait par expérience de ne pas alimenter ces faits et gestes, il se contente de savoir s'il est en réaction ou pas, lui démontrant qu'il est ou pas en accord avec ce qui se passe dans sa relation avec ce qui se présente dans sa propre vie. Il comprend que tout a sa raison d'être, que tout est juste, qu'il en est le centre. Il se rend bien compte quand il ne nourrit pas les remarques, les jugements, les avis ou autres faits et gestes des autres, qu'il se sent mieux, il se sent en paix. Il comprend mieux ce qu'est le respect envers l'apprentissage de toute cette diversité. En fait il prêche par l'exemple, en ne jugeant pas, en vivant tout simplement cet amour inconditionnel, tout en accueillant tout d'un même amour. Il s'est vite aperçu qu'il vaut mieux de rester en paix que d'être dans la réaction négative. À l'exemple d'un cyclone, il reste dans l'oeil de celui-ci pour ne pas être dans les perturbations émotionnelles. Point besoin de voir toute la création pour être en paix, il suffit juste être en accord avec la vie et de montrer l'exemple. Aller au-delà des concepts, des archétypes, des religions, des conditionnements, des croyances, des jugements ou autres pour ainsi instaurer la paix en son esprit et ne faire qu'un. L'être a compris qu'il n'est pas la forme, ni le contenu, il en est l'essence éternelle, semblable à celle qui se manifeste dans toute la création, qui prend son origine au-delà de cette matrice quantique, du temps, de l'espace et des dimensions, là où tout est unifié du dernier jusqu'au premier.

Voilà comprendre que tout dans la matrice quantique est issu de la même source de lumière, cette présence éternelle qui traverse toute illusion. La vraie réalité n'est pas celle qui se passe en cet instant, celle-ci n'est que passage, changeant constamment, se renouvelant sans cesse, comme il en est pour nous en tant que forme vivant cette expérience et apprentissage. Au-delà de la conscience se trouve notre véritable nature, là où tout est un du dernier jusqu'au premier. C'est en se rappelant qui nous sommes, qu'on est en mesure de vivre la paix, la joie et l'amour en présence et ainsi traverser toutes illusions venant de cette matrice quantique et ne pas succomber aux apparences, qui ne sont que des miroirs de notre propre enfermement, libre nous-sommes. 

mercredi 19 septembre 2018

Fleur de vie, présence éternelle, on me demande d'écrire à nouveau sur l'enfermement et comment s'en libérer ?

Fleur de vie, présence éternelle, on me demande d'écrire à nouveau sur l'enfermement et comment s'en libérer ?



Redonne à Cesar ce qui lui revient. Cette phrase prend tout son sens quand il est intégré de façon à être libéré de tout ce qui entrave notre liberté d'être. Redonnons à César ce qui lui appartient, cela revient à dire donne tout ce qui appartient à ce monde, à cette création quantique, tout ce qui est assujetti au temps, à l'espace et aux dimensions, tous les concepts qui en résultent, toutes les croyances, conditionnements et autres. En tant qu'essence éternelle, que devons-nous redonner à César, que devons-nous laisser en tant que passage en celui-ci, en cette matrice quantique, en tant que manifestation illusoire ? Rien ce qui est assujetti au temps, espace et dimensions n'est éternel, pour la simple raison que tout est illusion et que la seule chose qui est éternelle, se trouve être notre essence divine, notre vraie nature, qui n'a rien à voir avec l'illusion, de cette création quantique et de tous ces concepts.

Tant qu'il y a identification, tant que cela n'est pas vécu comme une renaissance à ce qui nous permet d'être en toute éternité, en cette présence éternelle, dont nous en sommes l'essence, nous nous laissons berner par la matrice quantique, à croire que nous en sommes le contenant et le contenu, la conscience individuelle, universelle et quantique  L'essence même de notre éternité n'a rien à voir avec la matrice quantique et ce qui la compose, par contre sa présence traverse toute illusion, car il n'y a que cela qui est réel. Comme je le disais dans un des messages que j'ai partagé, la sage pose une question à son élève, il lui demande de choisir entre l'arbre et le fruit. L'élève lui répond que son choix n'est ni l'arbre ni le fruit, il se contente de l'essence éternelle qui a manifesté l'arbre et le fruit. En d'autres mots, nous n'avons pas besoin de l'arbre ni de son fruit, juste l'essence éternelle, c'est ce qui nous procure l'éternité. L'arbre représente la matrice, le fruit en est toute sa diversité, le temps, l'espace et dimensions, ne sont que des éléments pour manifester l'illusion. En fait, ce que nous croyons réel n'est qu'illusion, un tour de magie, la vraie réalité et tout autre, mais pour le vivre, la ressentir, l'être doit faire abstraction de tout, se dénuder de tout, vider son mental, faire le vide, le silence complet, juste être à l'écoute de ce qui est de toute éternité son lien avec cette présence éternelle, il en est l'essence.

Où doit-on donner de l'importance, où doit-on porter notre regard ? Est-ce envers cette matrice quantique, qui n'est qu'une illusion ou bien en notre véritable nature divine ? On comprendra que pour intégrer cette connaissance, nous avons cru à cette matrice, à cet éphémère, à ce rêve illusoire, croyant que tout est réel. On ne pouvait pas vraiment le savoir quand nous portons le regard sur le contenu et sur le contenant, oubliant l'essentiel, qui en est le créateur, l'origine de toute cette illusion. On prétend qu'en fait, nous sommes des vieilles âmes, ayant eu plusieurs incarnations, vies dans cette matrice quantique, tout cela sert à un seul but, celui d'alimenter la matrice, d'alimenter l'ego, d'alimenter la séparation, la différence, entretenir la dualité, le fait de dire que celui-ci est plus grand, voire plus élevé en tant que vibration, en tant que dimension ou autres. Tout ceci c'est des conditionnements, des croyances, des archétypes, des histoires pour faire naître des croyances, des concepts, des religions, des cultes, des dogmes et autres. Tout pour éloigner le regard vers notre vraie nature divine, là où tout est un, joie, baignant tous dans la même lumière et amour, qui n'a rien à voir avec ce que nous pensons et croyons être en tant que réalité illusoire. Posons-nous la question à qui cela profite-t-il ? À une élite quelconque qui a soif du pouvoir que procure cette illusion, profitant de la naïveté de masse. Tout ça n'est que des croyances, cela ne profite à personne d'être éloigné de sa vraie nature divine, en prônant d'autres concepts, d'autres croyances, d'autres histoires pour simplement rester dans l'enfermement. Regardons autour de soi, que constatons-nous ? On y constate l'illusion de séparation, de dualité, où tous sont confrontés à leurs croyances, à leurs histoires, à leurs convictions, à leurs concepts ou autres conditionnements, où tout te reflète sans cesse l'illusion de cette matrice quantique.

La vérité ne se trouve pas dans l'éphémère, pas dans le rêve, ni dans la matrice quantique, celle-ci se trouve dans le cœur, dans le silence, dans la joie incommensurable que procure ces retrouvailles, là où tout est un du dernier jusqu'au premier, là où tout est accompli, en cette essence éternelle, qui n'est rien d'autre que l'amour en présence. Plus de confrontation d'ego, plus d'identification à qui ou à quoi que ce soit, plus aucune croyance, plus de concept, plus de conditionnement, plus de religion, archétype ou autre, rien que la paix, le silence et la joie. Le tout baignant dans la présence éternelle de l'amour. Le sage demanda à son élève qui es-tu ? L'élève lui répondit, je ne suis pas la forme, ni le contenu, je ne suis pas l'illusion de dualité, ni de la séparation, ni rien de ce qui appartient à cette création illusoire, je suis la présence éternelle, celle qui est à l'origine de cette illusion, celle qui m'a enseigné que je devais pas me fier aux apparences, ni à quoi ou qui que ce soit. Elle m'a montré le chemin de la transparence, là où il n'y a plus aucun voile, elle m'a montré à distinguer l'ivraie de la bonne semence, elle m'a montré la différence entre le mental et le cœur, elle m'a montré que tout est illusion et que la seule chose qui est réelle c'est sa présence éternelle. Elle m'a montré à aimer tout d'un même amour, de ne pas faire aucune différence entre ce qui est ou pas. Elle m'a montré qu'en fait que je ne suis pas ce que je crois être et pense être, que je suis qu'une illusion, que la seule chose qui est vrai, c'est que je suis cette présence éternelle aimant tout d'un même amour, illusion ou pas.

Je redonne tout à César, que ce soit ma forme ainsi que son contenu, je ne suis pas l'illusion, je suis que cette présence éternelle qui aime tout d'un même amour, traversant toute illusion, reconnaissant que tout est accompli du dernier jusqu'au premier. Libre à chacun d'être dans l'illusion où reconnaître sa vraie nature divine qu'au-delà des apparences tout est la présence éternelle de l'amour.

mardi 18 septembre 2018

Libre à chacun d'être dans une cage quantique ou d'en sortir.

Libre à chacun d'être dans une cage quantique ou d'en sortir.





La question à se demander est celle-ci, sommes-nous vraiment libres ? En fait nous sommes dans une cage, dans cet enfermement, prisonnier du temps, de l'espace et des dimensions, une cage quantique. Devrait-on garder des oiseaux en cage, comme il en est pour les animaux de compagnie ? Peu importe comment toute cette diversité joue le jeu de l'enfermement, de l'éphémère, des concepts, des conditionnements, des archétypes, des religions ou autres cultes, doctrines, il n'y a qu'une porte de sortie. Comment sortir de cette cage, de cet enfermement ? Tout dans l'éphémère renvoie cette image de l'enfermement, on se donne des raisons pour justifier nos actions, notre conduite. Quel est le rôle principal de l'éphémère, de cet enfermement ? Celui de l'alimenter, celui de continuer à jouer le jeu, en étant à la fois l'observateur, le créateur, l'acteur, le réalisateur, tout pour nous garder dans cet enfermement. On croit qu'il y a des rôles plus importants que d'autres, mais qu'en fait, ne font qu'alimenter l'illusion de dualité et de séparation. Je reviens à ce jour où j'ai pris connaissance que tout est illusion, que la vérité ne se trouve pas dans ce monde, dans cet enfermement, mais au-delà de ce que l'on appelle temps, espace et dimensions, de cet enfermement quantique. Là où j'ai pris connaissance que tout est un, pas de conscience, juste la présence éternelle, juste la paix, l'amour, une joie indescriptible, nous rappelant notre véritable nature divine, là où il n'y a plus cet enfermement, plus aucun rôle, plus aucun ego, conscience égotique. Qu'essayons-nous de sauver en cet enfermement, en cet éphémère, en cette illusion quantique, nous dévoilant que tout n'est que projection, n'est qu'enfermement, une cage qui a la faculté de faire croire que la sortie se trouve dans l'éphémère.

En fait, il n'y a plus rien dans l'éphémère, dans cet enfermement qui attire mon attention, je sens que je ne suis plus à ma place. Continuer à jouer le jeu, à se prendre pour plus grand ou plus petit que soi, appartient au monde de l'ego. Pourquoi continuer à nourrir cette illusion, quand tout est un. Cela ne m'intéresse plus, d'alimenter l'enfermement, ce n'est plus de mon ressort. Ce qui me permet d'être tout en étant dans cet enfermement c'est ce que j'ai vécu, c'est cette renaissance, cet accomplissent, cette réalisation du soi accompli, du dernier jusqu'au premier. L'amour en présence libre de toute dualité, de toute séparation, de l'enfermement, de l'éphémère, de tous les concepts, religions, archétypes, conditionnements. Je remercie ; la source une de pouvoir le vivre tout en le vivant avec celle qui partage ma vie. On se rend bien compte que seul cet amour nous libère de cet enfermement, des jeux égotiques, liés à toutes ces croyances. Je sais que plusieurs en ont ras bol de cet enfermement et de tous ces jeux de l'ego, qu'il aspire à la même chose, être libre de cet enfermement, ne plus l'alimenter, Juste vivre l'amour en présence qui n'a rien à voir avec toute cette manifestation quantique de l'éphémère. Peut-être que mes propos vont en faire réagir plusieurs . À tous ces gens qui continuent à croire en l'enfermement, à croire qu'ils ont un rôle à y jouer, je vous souhaite le meilleur, libre à vous de vous nourrir d'illusions. Un sage me dirait qu'est-ce que tu préfères, l'arbre ou le fruit, je lui répondrais ni l'un ni l'autre. Le sage très étonné de ma réponse, pourquoi ne pas faire un choix ? Il n'y a rien à choisir, juste l'essence éternelle qui est au-delà de la création, où le choix est impossible, où tout est amour, où tout est un.

Libre à chacun de se nourrir de cet enfermement, de se nourrir des egos qui pensent avoir un rôle dans cette illusion quantique. Pour ma part, la seule chose c'est cet amour en présence qui me permet de sortir de l'enfermement pour vivre ce parfait amour et reconnaître qu'au-delà, il y a que cette essence éternelle, permettant d'unifier tout en un, libre de tout ego, de tout concept, rien que la présence de l'amour, de cette joie incommensurable, qui n'a rien à voir avec l'enfermement dont plusieurs se plaisent à l'alimenter. Je remercie la source une, cette présence éternelle de m'avoir fait prendre connaissance de ma nature divine et ainsi de la partager en communion avec ma femme Sandra et de partager cette humble vérité sans aucune attente de qui ou de quoi que ce soit, tout est accompli, l'enfermement n'est qu'illusion, une cage quantique.

N'est-ce pas le plus beau cadeau à offrir, sortir de cet enfermement et découvrir notre vraie nature divine, le tout en un, libre de toute croyance ?

Nous vivons cet amour qui ne vient pas de l'enfermement tout en le partageant à tout ce qui est et cela d'un même amour, le tout en un, libre de toute illusion qui vient de l'enfermement des croyances et autres. Notre amour est au-delà du temps, de l'espace et dimensions, c'est ce qui nous permet de tout aimer d'un même amour sans faire référence à l'éphémère, à cette cage quantique, illusion de l'ego.

lundi 17 septembre 2018

En fait, il n'y a que notre essence éternelle qui transcende le temps, l'espace et dimensions, l'amour est notre vraie nature divine, du dernier jusqu'au premier de tout ce qui est.



Qu'on se le dise tout est perfection, tout ce qui est manifesté n'est rien d'autre que le pouvoir de l'amour, de cette présence éternelle, notre essence divine. Remarquons qu'il n'y a rien qui dure, rien n'est stable, le temps n'est pas figé, il se renouvelle constamment, comme il en est pour l'espace, les dimensions se chevauchent tout en renaissant des particules de lumière, fleur de vie. En fait, nous sommes aussi constitués de ces particules de lumière, fleur de vie, comme le temps, l'espace et les dimensions, nous voyageons dans cette projection quantique où tout se manifeste au même moment, l'éternité. Nous sommes au-delà du temps, de l'espace et dimensions, nous sommes l'essence éternelle de l'amour, l'éternité n'est que l'ici et maintenant, nous n'avons jamais bougé car là où nous nous trouvons, il n'y a pas d'espace, ni de temps, ni dimensions, juste cette présence éternelle. Rien ne peut altérer, détruire, anéantir ce qui est avant toute chose et après toute chose, notre vraie nature divine, cette présence éternelle, l'essence de l'amour. Peu importe ce que vous croyez être dans cet ici et maintenant, il y a que notre vraie nature divine qui est vraie, le reste n'est que l'inspiration et l'expiration du souffle créateur, qui est comme le temps, l'espace et dimensions, un changement continuel, un renouvellement éternel, rien ne se perd, tout change. Seul notre essence éternelle en l'amour nous le fait découvrir, réaliser, en nous procurant la paix, la joie éternelle, le tout en un du dernier jusqu'au premier. Tout n'est que perfection dans cet apprentissage et compréhension que nous avons de nous-mêmes, l'éternité est ce que nous sommes, à nous de le vivre dans la lumière de l'amour, retrouvant ainsi notre essence éternelle.

Quels que soient les jugements à propos de ce qui se passe en cet instant, quantique ou pas, rien n'est vrai, cela n'est que projection, tout est que manifestation, perfection de ce que nous croyons comme étant réel, mais qui en fait se trouve n'être que des particules de lumière en actions, la fleur de vie. Nous créons notre réalité et celle-ci change constamment, se renouvelle sans cesse. Tout est là pour justement refléter l'illusion de ce que nous croyons être, quantique ou pas, la seule chose qui est vraie, c'est notre essence éternelle, l'amour en présence, c'est ce qui transcende toute illusion de nous-mêmes, dévoilant ainsi notre vraie nature divine.

samedi 15 septembre 2018

On se demande ... Soudainement tout nous est dévoilé.

On se demande ... Soudainement tout nous est dévoilé.


On se demande pourquoi dois-je vivre cette pièce de théâtre et dans quel but ? Il est vrai que dans ce déroulement de ce qui compose notre propre pièce de théâtre, il y a de quoi à faire peur, à s'interroger du pourquoi, du comment, de la raison de notre venue en ce monde. Est-ce que nous avons vraiment le choix ? Pas vraiment, notre présence est importante comme il en est pour toute la pièce de théâtre. Ce qui veut dire, peu importe ce qui se trouve et qui compose cette grande manifestation magistrale, tout a sa raison d'être, tout est juste, tout est à sa juste place. Pourtant on se demande si vraiment nous sommes à notre place, que l'on en soit conscient ou pas, tout est légitime.

On grandit dans cette pièce de théâtre, à essayer de comprendre le pourquoi et comment, tout en ayant des relations familiales et autres. Tout ça pour essayer de comprendre qui nous sommes. Nous prenons des repères extérieurs, cherchant ainsi à nous identifier à quelque chose de stable, mais qu'en fait rien n'est vraiment ce dont il semble être. Des histoires, que des histoires, on se perd à comprendre qui on est à travers cette grande manifestation. Comme si la vérité se trouvait ailleurs, pourtant cette pièce de théâtre se joue depuis l'origine de ce monde, de cet univers et des autres. Toujours des histoires afin de nous apaiser, de croire juste en cette grande manifestation, cachant ainsi une grande vérité qui n'est pas à la portée de tous, seulement à ceux qui sont prêts à l'entendre et cela ne se trouve pas dans les histoires, dans ce qui est dit, mais bien dans ce qui ne l'est pas et qui trouve son origine au-delà de cette grande manifestation magistrale, là où il n'y a plus aucune histoire, plus aucun concept, plus aucune archétype ou autre croyance.

On essaie de se convaincre que la vérité se trouve dans les histoires, dans les enseignements, dans les religions, dans les doctrines ou autres conditionnements qui ont fait leurs preuves. Il est drôle de dire qui a fait leurs preuves quand nous constatons l'ampleur de cette grande pièce de théâtre où toute cette diversité partageant un incommensurable de vérités, où tous essaient de se convaincre qu'ils ont la connaissance acquise pour ainsi apporter ce qui manque à toute cette diversité, l'amour unifié. Et si ce chemin ne peut pas être appris de l'extérieur, que le seul endroit pour découvrir cette vérité, se trouve être en son propre cœur, que rien de l'extérieur peut apporter cette liberté, libre de tous ces conditionnements, de ces concepts, de ces enseignements, de ces religions ou autres. Dites-moi humblement, quel que soit l'enseignement qui vient de l'extérieur, y a-t-il vraiment la réalisation du soi ? Celui de comprendre le pourquoi et le comment de notre venue en ce monde, en cette grande manifestation qui dure depuis la nuit des temps. On aura beau faire l'expérience avec les anges, les archanges ou autres maîtres ascensionnés, que ce soit par canalisation ou par l'inspiration directe, tout ce qui vient des enseignements, des religions ou autres, tout fait partie de cette grande manifestation. On aura beau s'identifier, à croire que nous recevons la guidance de ce qui compose cette grande pièce de théâtre, la vérité ne se trouve pas à l'extérieur, mais bien en son propre cœur, l'aide extérieure apporte un appui, mais tôt ou tard l'élève doit dépasser le maître et ainsi acquérir la connaissance qui le libère de toutes les histoires, afin juste d'être ce qu'il a toujours été et cela avant même que la pièce magistrale soit manifestée dans le temps, espace et dimensions, dans ce qui est quantique.

Cette vérité n'est plus dans le faire, ni dans le savoir, ni dans aucune connaissance, que cela vienne de la conscience individuelle ou universelle, cela reste de l'illusion. Une pièce de théâtre c'est le jeu des acteurs, des âmes, de toute cette diversité de vie, qui croit jouer un rôle. La pièce est tout orchestrée par une force qui n'est pas assujettie à cette grande manifestation, son rôle est de raconter des histoires, révélant cette grande vérité mais qui est perceptible pour celui qui sait voir entre les jeux ce qui se cache derrière, mais pour cela il faut être sortie du jeu pour être en mesure de voir ce que tous les autres ne perçoivent pas, trop occupés à interpréter leurs rôles croyant être cela, oubliant leur vraie nature divine.

Il est vrai que l'amour apporte une certaine liberté, mais reste limité quand l'être croit en les enseignements, en les conditionnements, en les religions, en les archétypes, en les anges ou autres. Il reste sous l'emprise de cette aide extérieure, même s'il croit que cela vient de l'intérieur, recevant celle-ci par inspiration, canalisation ou autres manifestations. L'être doit aller au-delà de la conscience, de tout concept, de tout autres conditionnements. Son amour doit être dénudé de tout, ne fait aucune référence à quoi que ce soit, un amour qui aime tout d'un même amour, sans condition, sans obligation, sans aucun repère de quoi ou de qui que ce soit, juste en l'amour, à son essence première. Pas de nom, pas de mots, aucune identification à quoi que ce soit, juste en cette présence éternelle, celle qui orchestre tout et qui dans sa grande magie, dans cette grande manifestation magistrale, nous montre à travers le jeu ce qui se dévoile, mais pour le voir, il ne faut plus être, il faut tout simplement lâcher prise de tout pour tout simplement sentir et ressentir notre essence éternelle, l'amour. Voilà la raison de notre venue en ce monde, comprendre le jeu et s'en libérer, en se détachant de l'être pour juste vivre l'amour en présence, ainsi vivre son éternité dans sa totalité, du dernier jusqu'au premier. N'oublions pas que tout fait partie de la grande pièce de théâtre, cela n'est qu'un jeu, en tout temps nous sommes libres d'y mette fin, juste en se dépouillant, se dénudant de tout ce qui est éphémère, de tout ce qui compose cette pièce, matrice, en revenant ce que nous sommes depuis toute éternité, la présence éternelle de l'amour, elle n'a point besoin d'être, elle est de toute éternité notre essence divine.

mardi 11 septembre 2018

On me demande de parler ce qu'est de prendre connaissance de l'éveil, d'avoir la connaissance de l'un.

On me demande de parler ce qu'est de prendre connaissance de l'éveil, d'avoir la connaissance de l'un. 


Comment dire ce qui est dans un premier temps, impossible à décrire pour celui ou celle qui n'a pas encore cette connaissance. Mais pour celui qui la détient cela devient un fait, une révélation, la plus grande vérité. Le chemin qui apporte cette connaissance demande beaucoup d'efforts, du temps afin de réaliser qu'en fait que tout est un. Ce n'est pas juste de le constater, mais de prendre connaissance que tout y contribue. Peu importe le scénario, le geste, l'action, tout est juste, tout a sa raison d'être, que tout sert un même but. Celui de prendre connaissance que tout contribue au plan divin, quelle qu'en soit la manifestation dans ce que l'on appelle la création, qui sous-entend le temps, l'espace et dimensions et tout ce qui la compose. 

Tout a un rôle à jouer dans cette création, tout contribue à réaliser le plan divin, qui n'est rien d'autre de celui d'acquérir cette connaissance, permettant ainsi de réaliser que tout est parfait, juste et incommensurable. En lisant ce message, cela te fait penser à ta relation avec toute la création, du pourquoi, du comment, qu'il en est ainsi et ne sachant pas trop si en cet instant cette vie est bien celle que tu as choisi de vivre ? En fait, quelle que soit l'ouverture de la conscience de tous, tout est juste, qu'elle qu'en soit l'action posée. En fait personne ne peut aller à l'encontre de ce qu'il a déjà été orchestré, avant même de le demander, quel que soit le règne de vie, quelle que soit la dimension, le temps ou l'espace de cette manifestation. Tout est orchestré par la source de toute vie, qui n'est pas assujettie au temps, à l'espace et dimensions, sa présence éternelle est en toute chose et au-delà de tout, tout en étant en tout. Quoique cela puisse-être très difficile de se l'imaginer. 

Cette connaissance apporte un nouveau regard envers la vie et tout ce qui la compose, que cela se passe dans le temps, l'espace où dans les dimensions, ou bien au-delà de tout concept, croyance, archétype, conscience, esprit, âme, corps et autres, il n'y a qu'une vérité qui se manifeste en toute chose, qui se vit dans l'ici et maintenant, de façon quantique, peu importe si cela s'est passé hier, en cet instant ou bien demain, dans le futur, tout se concrétise dans un même instant. 

En fait, on croit que nous avons un libre arbitre, que nous pouvons choisir, tout est déjà accompli. Nous ne faisons que suivre une route, une voie, une destinée bien tracée, orchestrée et cela avant même de le réaliser, croyant que la vie se déroule sans savoir ce qu'il adviendra. Quand l'être vit cette renaissance, prend connaissance que tout est un, que tout contribue à servir le même plan. Il a juste de la gratitude envers la création, envers tout ce qui la compose et cela quel qu'en soit la manifestation dans le temps, l'espace et dimensions, en sachant que cela vient de la même source éternelle qui lui fait réaliser et ainsi acquérir cette connaissance. Qu'il est à la fois cette manifestation et tout ce qui se vit dans cet ici et maintenant de façon quantique. Que le temps, l'espace et les dimensions ne sont qu'illusion, que tout est déjà accompli du dernier jusqu'au premier. 

C'est en passant par ce processus d'apprentissage, d'expérience dans l'illusion de dualité et de séparation, que la seule issue possible est l'unité, que tout en est la création d'une même source de lumière et d'amour et que celle-ci n'est pas assujettie à rien, au-delà de tout ce qui est. 
Peu importe ce que nous faisons en tant que représentation de la source éternelle en cet instant, tout est juste, parfait et que tout a sa raison d'être. Nous ne sommes pas simplement des êtres humains, nous sommes avant tout cette présence éternelle dans cette création. Que nous agissons selon ce qui a déjà été orchestré en chacun, suivant ainsi une route bien tracée. Parfois on se juge, on juge autrui, on se pose des questions, on agit selon ce qui nous paraît être le mieux. Tout ça c'est déjà tout orchestré, on ne fait que suivre notre destinée. Certains ne prendront pas conscience que tout est un, que tout se vit de façon quantique, cela n'a aucune importance car tout est accompli du dernier jusqu'au premier. C'est que pour certains, cela est une révélation, un fait incontestable. 

En intégrant cette humble vérité, il n'y a que la reconnaissance de l'amour en tout ce qui est, l'illusion n'est plus, plus aucun voile, plus aucun mystère, juste la manifestation de la présence éternelle en toute chose, à comprendre que nous ne sommes pas la conscience, ni l'esprit, ni l'âme, ni le mental, ni le corps et autres, juste l'amour en présence qui prend connaissance de sa création que tout est la présence éternelle, que tout est un. Il n'y a pas de plus petit ou de plus grand, tout est illusion, la seule chose qui est au-delà de tout, c'est la présence éternelle, cette lumière et amour éternel qui se manifeste en nous, réalisant que tout est un, venant de la même source créatrice. 
Libre à chacun d'être ce qu'il croit et pense être, de se raconter des histoires, d'alimenter celles-ci, les peurs ou autres, peu importe les actions, tout est juste, tout est parfait, tout est un, rien ne peut altérer ce que nous sommes de toute éternité, cette présence éternelle.