mercredi 28 septembre 2022

Il n'y a qu'un sujet, qui devrait avoir votre attention.

 

Il n'y a qu'un sujet, qui devrait avoir votre attention.

Il n'y a qu'un sujet, qui devrait avoir votre attention. On pourrait parler, tergiverser, discuter sur tous les sujets possibles et inimaginables, cela ne donnerait pas grand-chose, peut-être un peu plus de connaissance, un peu plus de savoir, mais rien pour assouvir véritable soif de savoir. Ici, je ne parle pas de savoir humain ou d'un savoir venant d'une autre dimension, d'un quelconque univers ou monde. Le véritable savoir, qui en fait consume toute connaissance, toute vérité. Car le savoir porté sur les pensées, croyances et prétentions, sont des vérités éphémères, en ce qui concerne le véritable savoir, il est éternel, rien ne peut altérer ce qui est de toute éternité, qui n'a ni commencement ni fin. En prenant conscience de ce savoir éternel, cela change toutes les perceptions, quelles qu'en soient les réalités, dimensions et autres, car en fait tout part de ce véritable savoir, sans quoi rien ne pourrait être manifesté et cela en tant que vie, réalité, monde, univers, dimensions ou autres. En fait, on réalise que tout est projection, ce que l'on croit être réel se trouve être maintenu par le temps, l'espace, tel un grand écran sur l'éternel présent où tout se manifeste en même-temps. C'est à travers le personnage, ce qui sert d'ancrage, cette forme humaine ou autre expression de la vie, que tout semble réel, alors que rien ne l'est, une projection éphémère sur le grand écran de l'éternel présent. Alors, quel est donc ce véritable savoir, c'est que tout est issu de l'intelligence absolue de la source éternelle de l'éternel présent, la seule chose qui soit réelle, non pas du point vue humain, ou de la pensée, croyance, mais ce qui n'a ni commencement ni de fin et qui est à l'origine de tout ce qui est projeté sur le grand écran de l'éternel présent. Tel un téléspectateur, sans avoir bougé, sans être puisque l'on est de toute éternité sans début sans de fin, par contre ce que l'on pense, croit et prétend être réel, n'est que le fruit de notre pouvoir créateur, se laissant prendre au jeu de son propre personnage, qui à la fois joue sur tous les tableaux, quelles qu'en soient les réalités, dimensions ou autres. Quelle que soit la manifestation de la vie, quelle qu'en soit son expression, tout est illusoire, projection en temps réel sur le grand écran de l'éternel présent. Quelle qu'en soit le film qui se déroule sur le grand écran, il est réel le temps de sa durée, car quelle que soit la vie, elle vient accomplir ce pourquoi elle a été créée et cela avant même d'être manifesté sur le grand écran de l'éternel présent. N'oublions pas ce que l'on vit en cet instant, n'est que la création de l'intelligence absolue de la source éternelle, on ne fait qu'accomplir ce qui a déjà été orchestré, car la seule réalité est la source absolue de l'éternel présent et ce que l'on pense, croit et prétend vivre n'est que l'accomplissement de notre véritable nature divine, l'intelligence absolue de la lumière éternelle, notre véritable savoir. Par Régis Raphaël Violette

Il n'est pas bon de croire la vérité éphémère, quelle qu'elle soit, cela ne fait que nourrir l'illusion d'être, car la seule vraie vérité n'est pas éphémère, elle est éternelle, sans commencement ni fin. C'est cela ! La vraie connaissance, le véritable savoir, ce que l'on est de toute éternité et libre de toutes pensées, croyances et prétentions.


dimanche 25 septembre 2022

Seul le véritable amour, vous libère de toute identification, expression, projection ...

 

Seul le véritable amour, vous libère de toute identification, expression, projection …

Quelle est la plus grande distraction de ceux qui se disent thérapeutes ou pas, qui veulent guérir, aider à améliorer la santé de quiconque. Le but n'est pas de juger, mais de révéler notre véritable nature divine. La réponse est très simple, et vous comprendrez pourquoi c'est la plus grande distraction. Celui qui veut guérir, aider, apporter un soulagement, une guérison, une amélioration de la santé de quiconque, cet être n'a pas compris que la seule guérison à faire est en lui-même, il ne réalise pas que tout est illusoire, une projection et tant qu'il croit, pense et prétend guérir, il reste identifié à sa propre création éphémère. On pense toujours qu'avoir l'aide d'un thérapeute, d'un être qui prétend guérir, soigner, apporter une grande aide, est quelque chose de merveilleux, puis quelle que soit cette aide, elle ne fait que nourrir l'illusion d'être. Vous pensez, croyez et prétendez guérir parce que vous percevez une guérison, un soulagement, une amélioration de celui qui demande à être guéri de ses souffrances, maux ou autres. En fait, vous ne guérissez rien, car celui qui demande de l'aide, des soins ou autre, reste dépendant de son bienfaiteur ou de ce qu'il pense, croit et prétend être. Alors que le vrai guérisseur n'est pas là pour penser, croire et prétendre qu'il y a guérison ou non, amélioration ou soulagement. Il est là pour dire à celui qui demande de l'aide de trouver la vraie guérison, qui n'est pas extérieure, mais se trouve en le vrai soi. De lâcher prise de toute identification et laisser l'intelligence absolue agir en toute expression de la vie. Car toute identification à ce qui est éphémère, ne fait que nourrir l'illusion d'être, si la souffrance est illusoire, il en est de même pour les maux. Ce qui sert d'ancrage à ce monde, est né dans la souffrance, il est à l'image de cette réalité, fait de matière, rassemblant les éléments essentiels de la vie. Le fait de naître sous cette forme humaine nous rend-il dépendants les uns des autres ? La vraie vérité ne se trouve-t-elle pas hors du temps, de l'espace et quelle que soit la réalité, la dimension ou autre ? Elle se trouve là où tout n'est qu'amour, paix, joie et silence, là où il ne peut y avoir aucune souffrance, aucun maux, pour la simple raison que la vie est éternelle et n'a pas besoin d'être pour être. Pourquoi l'homme souffre-t-il ? L'être humain souffre par ignorance, parce qu'il ignore sa véritable nature divine, qui est à l'origine de tout, quelle que soit la réalité, la dimension ou autre. C'est pourquoi l'homme souffre par ignorance, en se référant à ce qu'il pense, croit et prétend être, en voulant que tout soit le reflet de sa propre volonté, en n'acceptant pas, en n'accueillant pas, en n'accompagnant pas, en ne respectant pas et en n'aimant pas ce qui le dérange, ce qui le déstabilise, ce qui est contraire à sa volonté. Alors il souffre émotionnellement, physiquement, psychiquement, mentalement et c'est cette forme humaine qui sert d'ancrage qui absorbe toute cette négativité, ce manque d'amour. Ce qui est à l'origines des maux. Comprenez vous que tout est la manifestation de votre pouvoir créateur, le fait de ne pas accepter quelqu'un dans sa façon d'être, vient vous perturber ? Le fait de ne pas accepter le choix, la décision de l'autre, de quiconque, vous rend malade, perturbe votre paix intérieure et extérieure, vous met dans tous vos états, parce que vous n'acceptez pas, n'accueillez pas, n'accompagnez pas, ne respectez pas et n'aimez pas cette expression de la vie, quelle que soit sa manifestation, quelle que soit sa forme... Alors comment arrêter la souffrance ? Respectez le choix de vie de chacun, rien n'est pas vous, quelle que soit la manifestation de la vie, tout agit selon sa propre volonté, comme il en est pour vous. Et c'est dans cette acceptation, dans cet accueil, dans cet accompagnement et dans cet amour que nous nous libérons de cette souffrance mentale, physique, psychique, émotionnelle ou autre. C'est aussi accepter ce qui sert d'ancrage à ce monde, qui n'est pas éternel, et que le vieillissement apporte certaines souffrances. Lâcher prise et respecter le choix de vie de chacun, que tout a cette liberté de choisir, de faire ses propres expériences et apprentissages. Parce que lorsque nous respectons tout avec le même amour, nous reconnaissons en tout l'intelligence absolue de la lumière, qui dans cette diversité est libre d'agir et cela en toute vie, en tout ce qui est. À tout ce qui sert d'ancrage, à ce qui n'est qu'une projection éphémère, à ce qui n'est pas éternel, qui n'est réel qu'à travers le temps, l'espace, la réalité, la dimension et l'autre, sans lesquels il n'existe pas. Vous ne voulez plus souffrir, il n'y a qu'un seul chemin, c'est celui de l'Amour absolu, qui aime tout d'un même amour, acceptant, accueillant, accompagnant, respectant et aimant tout d'un même amour quelle que soit l'expression de la vie, quelle que soit la réalité, la dimension ou autre. Souffrir, c'est ne pas accepter ce qui est, alors que celui qui aime tout d'un même amour ne souffre plus, il accueille, accepte, accompagne, respecte tout, quelle que soit l'expression de la vie, car il en est la source absolue, ainsi en est-il pour celui ou celle qui est dans l'ignorance. Par Régis Raphaël Violette

Que faire...

 

Que faire …

Quand on est têtu pour ce ou qui que ce soit, que la seule façon de ne pas souffrir, de ne pas se mettre en colère ou dans tous ses états, que faire… La solution est très simple, il suffit de lâcher prise et de laisser l'amour remplir le cœur, afin que ce qui sert d'ancrage à ce monde, soit inondé, pour enlever toute cette pression, toute cette négativité pour la simple raison que l'esprit s'emporte à la moindre distraction éphémère. Nous parlons de distraction éphémère car tout ce qui se manifeste sur le grand écran de l'éternel présent n'est pas réel, une projection du mental, de l'esprit, alors que la vérité absolue est dans cet amour infini et absolu, l'essence même de notre véritable nature divine. En regardant toute cette manifestation de la vie, toute son expression, la vie dans toute sa magnificence se laisse-t-elle distraire par les histoires des êtres humains ? Non, pour la simple raison que la vie vit dans le moment présent et fait face à ce qui est, sans regarder en arrière. Notre volonté aimerait tout contrôler, alors que la vie s'adapte en vivant dans le moment présent. Alors si vous laissez cette force infinie, ayant un amour absolu et inconditionnel pour toute sa création, qui est à l'origine de toute vie éphémère, faire de votre personnage, de cette forme humaine l'instrument totalement conscient d'être cette lumière éternelle vivant le moment présent, qui accueille, accepte, respecte, accompagne et aime la vie sans jugement, quelle qu'en soit son expression, manifestation sans vouloir changer quoi que ce soit, soyez simplement cette force d'amour qui aime tout avec un amour inconditionnel quelle que soit la distraction de la vie, y compris celle de l'humain. Ou souffrez qu'il en soit ainsi si tout est une distraction pour vous, ce qui vous met dans un état de confusion. Vous remarquerez que cela ne perturbe en rien l'expression de la vie, qui se contente de vivre l'instant présent, sans avoir peur de ce qui pourrait arriver. Regardez simplement la vie dans toute son expression vous montrer le chemin. La vie ne se pose pas de questions, elle ne juge point ni ne condamne, elle vit son instant présent, car ce qui alimente la vie est éternel, la source absolue, notre véritable nature divine. Vous l'aurez compris, soit vous lâchez toutes les distractions qui troublent la paix de ce que vous pensez, croyez et prétendez être, en endossant l'essence éternelle de l'amour, soit vous souffrez qu'il en soit ainsi. Par Régis Raphaël Violette

jeudi 22 septembre 2022

L'homme a perçu en Jésus, le fils de Dieu, le sauveur, alors qu'il n'a pas su le voir en lui.

 

L'homme a perçu en Jésus, le fils de Dieu, le sauveur, alors qu'il n'a pas su le voir en lui.

Rien n'est à l'image de Dieu... Celui qui croit que l'image de Dieu se manifeste dans ce monde, ou ailleurs, n'a aucune idée de ce qu'est Dieu. Dieu, n'a pas d'identification, n'est jamais né, n'est jamais mort, n'a ni début ni fin. Par contre ce monde, quel que soit le monde, la réalité, l'univers, la dimension et autres, tout a un début et une fin, rien n'est éternel. L'homme se fait une image de Dieu, alors que Dieu ne peut être identifié sous quelque apparence que ce soit. C'est comme mettre une image sur quelque chose qui n'existe pas, pas dans la compréhension de l'homme qui pense, croit et prétend être, il ne peut pas comprendre, pour la simple raison que l'homme qui pense, n'est que l'image de sa pensée, qui existe dans ce qui est éphémère, qui n'est pas éternel, qui change continuellement d'apparence. Alors que Dieu n'est pas réel, il est l'absolu, qui n'a pas besoin d'être pour être, car l'homme qui reste identifié à sa forme humaine, à sa conscience, à son âme et à son esprit, cet homme reste identifié à la forme et non à ce qui est de toute éternité, sans quoi rien ne pourrait être, car tout est projection. Vous le croyez pour la simple raison que vous pensez, croyez et prétendez être, alors que rien n'est réel, une projection, qui vous fait croire que tout est réel. Qu'est-ce qui ne change jamais, et n'a pas de réalité, de monde, d'univers, de dimension ou autre ? C'est l'éternel présent, l'absolu, la source éternelle, qui n'a pas besoin d'être pour être. Quel que soit ce à quoi vous êtes identifiés, tout est illusoire, ce que vous avez vécu hier, ne peut se répéter, il en est de même pour ce que vous vivez en ce moment, demain est une autre projection, une autre réalité, qui n'est réelle que dans l'instant présent, tout en changeant constamment, pour la simple raison que votre forme humaine pense, bouge, mange, marche, se déplace, dans le temps, l'illusion d'être, alors qu'il n'y a que l'éternel présent. Quelle que soit l'identification à un monde, un univers, une dimension, une réalité ou autre, tout est illusoire, pour la simple raison que tout est en perpétuel mouvement, même ce qui semble stable. Mais ce qui ne bouge pas, qui n'appartient à aucun monde, dimension, réalité ou autre, se trouve être la source éternelle, l'absolu, Dieu, ce que nous sommes de toute éternité. Maintenant, êtes-vous capable de mettre une image sur ce qui n'a ni début ni fin, qui ne naît ni ne meurt jamais ? La réponse est simple, non, car vous ne pouvez pas mettre une image, une étiquette, une identification sur ce qui n'existe ni dans le temps, ni dans l'espace, ni dans aucun monde, univers, dimension et autres. Vous passez votre temps à penser, à croire et à prétendre que tout est réel, alors que tout n'est qu'une projection éphémère, qui n'existe que dans le moment présent, qui n'est rien d'autre qu'une illusion du temps. Pour vous souvenir de votre passé, vous prenez des photos, des vidéos pour figer le temps, c'est une façon de se souvenir, la mémoire existe, mais elle ne peut pas se souvenir de tous les détails. Il est amusant de constater que ce que vous appelez réalité est en fait un déroulement du temps, rien n'est figé, tout bouge, tout change. Vous naissez en tant qu'être humain, vous vieillissez à chaque instant, et vous vous retrouvez quelques années plus tard, à vivre le moment présent, sans être le même, parce que vous vieillissez au rythme du temps, qui est en fait une projection éphémère, illusoire. Et un jour la mort arrive, pour ne plus être ce qui a été, ce qui a un début et une fin, alors ce qui ne change jamais, qui n'a pas de début, pas de fin, qui ne naît pas, qui ne meurt pas, c'est l'essence éternelle, Dieu, la source absolue, l'éternel présent. Vous vous demandez si dans cette vie vous irez au paradis, ne riez pas, beaucoup de gens croient à un paradis, à un nouveau monde, à un monde meilleur. Ils n'ont pas réalisé, qu'ils sont Dieu, la source éternelle, l'absolu, qui n'a pas besoin d'être pour être. Quoi que vous pensiez, croyiez et prétendiez être en tant qu'être humain, conscience, âme et esprit, quelles que soient vos croyances, vos pensées, tout est un rêve éphémère, une projection de votre propre pouvoir créateur, créant l'illusion d'être, quel que soit le monde, l'univers, la réalité, la dimension ou autre. Vous ne pouvez pas créer ce qui est de toute éternité, ce qui n'a ni début ni fin, ce qui n'est jamais né, jamais mort pour la simple raison que c'est notre véritable nature divine, dans l'absolu, dans la source éternelle de l'éternel présent, libre de toute identification, pensée, croyance et prétention. Vous ne pouvez pas renaître, puisque vous êtes déjà ce que vous cherchez, ce que vous attendez, c'est qu'en cet instant vous êtes identifié à ce qui est éphémère, une illusion, une projection. Pour ne plus être victime des pensées, des croyances et des prétentions, alors aime tout d'un amour absolu, accepte, accompagne, respecte tout ce qui est dans le même accueil, celui de l'amour inconditionnel et absolu, sachant que la seule réalité est l'instant présent et que ce qui est manifesté, n'est qu'une projection, manifestant ainsi le pouvoir de création. Dans chaque message, il y a une morale, voici, l'homme a perçu en Jésus, le fils de Dieu, le sauveur, alors qu'il n'a pas su le voir en lui. Par Régis Raphael Violette

samedi 17 septembre 2022

Ne plus être pour être

 

Ne plus être pour être

À quoi consiste ne plus être pour être, à ne plus s'identifier à quoi ou à qui que ce soit, ne faire aucune référence, n'adhérer à aucune croyance, aucune religion, ni à aucune prétention, pensée ou autre voile. Car celui qui continue à être ce qu'il pense, croit et prétend être, n'est qu'une projection éphémère, revêtant un personnage multiple, est-ce la Bête de l'Apocalypse ? La Bête est chevauchée et domptée par Sainte Marie-Madeleine qui symbolise la domination des passions et des vices. On comprend qu'il s'agit d'une légende, d'une image descriptive de l'homme face à son destin, face à ces têtes, représentant toutes les pensées, croyances et prétentions du personnage qu'il croit être. Alors que celui qui a vaincu la Bête de l'Apocalypse a su vaincre toutes ces têtes, tout ce qui représente les possibilités infinies du personnage qui le maintient dans l'illusion d'être. Comment expliquer que l'on soit libre du personnage, qui sert d'ancrage à ce monde, qui est en quelque sorte le pont entre ce qui n'est qu'un rêve à ce qui est de toute éternité ? En fait, lorsqu'on n'est plus dans l'être à être, il n'y a plus d'identification à quoi que ce soit ou à qui que ce soit, à ce qui sert d'ancrage, à travers cette forme humaine, qui est simplement là pour observer, pour témoigner, pour révéler la plus grande vérité qui soit, que tout est illusoire, rien n'est vraiment réel. Il y a ce lâcher prise, cette compréhension absolue où tout est vue comme un rêve. Comment en vouloir à ce monde, quel qu'il soit, quel que soit le monde, l'univers, la dimension ou autre réalité, tout est consumé par le feu sacré de l'amour absolu. Il n'y a rien à faire, on laisse ce qui doit être, ne plus être pour être. Certains auront du mal à comprendre cette phrase, nous laissons ce qui doit être, pour ne plus être pour être, c'est-à-dire ce qui est vu comme réel, la réalité n'est plus qu'un rêve éphémère, une matrice temporelle, qui n'a plus aucun contrôle pour la simple raison que tous les voiles sont levés, ne plus être pour être la source absolue, la lumière éternelle de l'éternel présent, libre de toute identification. C'est pourquoi ceux qui ont su chevaucher et dompter la Bête de l'Apocalypse, le personnage à plusieurs têtes, qui symbolise la domination des passions et du vice, par les pensées, les croyances et les prétentions, non pas en jugeant, ni en tuant la Bête, mais en la consumant par le feu sacré de l'amour absolu. En acceptant, en accueillant, en accompagnant, en respectant et en aimant tout d'un amour absolu et inconditionnel, quel que soit le monde, l'univers, la dimension, la réalité ou autre. Car ce qui sert d'ancrage, à travers cette forme humaine, n'est plus perçu comme un personnage, mais comme la lumière éternelle, la source absolue, l'intelligence de la lumière mettant fin au règne de l'être, de la Bête de l'Apocalypse, représentant cette matrice temporelle, ce rêve de tous les possibles, qui est à l'image de l'homme qui pense, croit et prétend être... Ne vous inquiétez pas pour ceux qui ne le vivent pas, qui sont sous la domination des passions et des vices, qui par les pensées, les croyances et les prétentions vivent la Bête de l'Apocalypse, le serpent ou le dragon à plusieurs têtes. Qui représente en fait ce qui n'est qu'un rêve éphémère, la matrice temporelle, le fruit du mental, de l'esprit, où tout est illusoire, il n'y a que la source absolue de l'éternel présent, libre de toute identification. Si vous êtes sous la domination de vos passions et de vos vices, ne vous inquiétez pas si vous percevez un être qui n'a plus besoin d'être pour être, il ne vous voit plus comme quelque chose qui dérange, qui déstabilise, il voit en vous cette possibilité infinie vivant cette expérience éphémère, voyant en cela l'œuvre de l'intelligence absolue pour la simple raison que tout a sa raison d'être, que tout est juste et que tout contribue à mettre fin à l'être pour être. C'est la raison d'être de la Bête de l'Apocalypse qui n'a qu'un seul but : révéler le plus grand amour qui existe, cet amour qui a su chevaucher et dompter les passions et les vices, les consumant par le feu sacré de l'amour, révélant ainsi ce que l'on est de toute éternité, ne plus être pour être la source absolue de l'éternel présent, consumant tout par le feu sacré de l'amour. En fait, on se rend compte que rien n'est réel, que tout est un rêve et que la seule réalité est l'éternel présent, source absolue et éternelle de l'amour. Par Régis Raphael Violette

mercredi 14 septembre 2022

Le temps des pensées, des croyances et des prétentions est terminé.

 

Le temps des pensées, des croyances et des prétentions est terminé.

L'homme, depuis sa venue en ce monde, a toujours cru en ses pensées, ses croyances et ses prétentions, transmettant de génération en génération le fruit de son savoir. Ce monde est l'image même de ce savoir, une connaissance construit sur le passé, définissant un présent, qui se projette dans un futur, définissant le temps de l'homme et de sa présence dans ce qui est un éternel changement d'apparence sans changer la substance de ce qui est à l'origine des pensées, des croyances et des prétentions. L'homme se bat pour une vie meilleure, depuis son origine dans ce monde, il est la source de tous les conflits, voulant toujours plus, plus de ceci, plus de cela, et ce au détriment de ceux qui vivent paisiblement. En fait, l'homme est en guerre contre lui-même, à l'image de son passé, devenu son présent et son futur. Rester identifié à son passé, se souvenir de ses morts, les pleurer, les vénérer. Ainsi l'homme souffre de ce qu'il pense, croit et prétend être, restant à l'image de ce qui est éphémère, s'accrochant à son histoire, y voyant la plus grande richesse. Pourquoi ce temps est-il terminé, le temps des pensées, des croyances et des prétentions ? Et c'est dans ce message que vous comprendrez que vos pensées, croyances et prétentions ne sont qu'un frein à votre véritable nature divine et que cela vous maintient dans l'illusion d'être. Quelle que soit l'identification résultant des pensées, des croyances et des prétentions, rien n'est éternel, tout est éphémère. Votre souffrance vient du fait que vous restez identifié à ce qui est éphémère, qui ne fait que passer, souffrant de vos pertes, de vos manques, de vos morts, de vos richesses matérielles, car rien ne vous appartient, tout appartient au temps et le temps s'amuse à changer d'apparence. Un peu comme les vêtements, rien n'est éternel, tout s'use, tout se renouvelle, rien n'est stable. Vous vous accrochez au temps, sans jamais le stabiliser, puisque le temps est en perpétuel changement. Vous courez après le temps, en voulant ceci ou cela, en passant plus de temps avec vos proches, mais la vie décide de ce qui doit partir, et laisse donc la place. Ne croyez pas une seconde que vous arriverez à stabiliser le temps, rien n'est éternel, pas même le temps pour la simple raison que le temps est comme un serpent qui se mord la queue. Quelle que soit la réalité, dimension ou autre, ainsi que la vie, tout est illusoire, que tout change, tout se renouvelle, rien n'est stable, tout est à l'image de celui qui pense, croit et prétend être, se nourrissant de son histoire. Quelle que soit l'histoire, rien n'est stable, il n'y a jamais de fin puisque l'histoire change d'apparence, car le lecteur s'identifie à ce qui est raconté, se base sur ce qui est révélé pour créer sa propre histoire, répétant dans le temps la même histoire. Ainsi l'homme est piégé, répétant l'histoire de ce qu'il pense, croit et prétend être sans prendre connaissance de sa véritable nature divine, qui contrairement à l'histoire, tout est stable, le temps n'existe pas, ne cherchez pas le passé, le présent et le futur, il n'existe pas, comme il en est pour les réalités, les dimensions ou autres, il n'y a pas de matrice temporelle. Ce qu'il y a, c'est l'éternel présent, l'absolu, il ne peut y avoir aucun manque, aucune perte de personne ou de quoi que ce soit, ni aucune histoire, tout est lumière, tout est paix, silence. Il ne peut y avoir de plus grande paix, de plus grand amour, de plus grande joie, puisque tout est le contraire de ce qui est éphémère, de ce qui n'est qu'un rêve. Vous réalisez que vous n'avez jamais été, que vous n'êtes jamais né, que vous n'êtes jamais mort, puisque vous êtes le contraire de ce qui est pensée, croyance et prétention, que vous ne connaissez ni début ni fin, que la seule richesse est l'amour absolu et que celui-ci ne peut être altéré par rien ni personne, car il est absolu. Telle est notre véritable nature divine, ce que nous sommes de toute éternité, qui n'a pas besoin d'être, qui n'a pas d'identification pour être la lumière éternelle, la source absolue de l'éternel présent, libre de tout passé, présent et futur. Vous rendez-vous compte de l'ampleur de ce qui est en chacun, en chaque homme, en chaque vie, en chaque réalité, dimension ou autre ? Vous donnez tellement d'importance à ce qui n'est qu'un rêve, à ce qui est éphémère, à ce qui est en perpétuel changement, à une apparence, une dimension, une réalité ou autre qui change de temps, à la vie qui meurt et renaît sous une autre apparence, que rien n'est stable et éternel. Vous vous plaignez de votre état d'être, souffrant de ce qui est pour vous votre richesse, alors que tout n'est qu'apparence, illusoire, oubliant la vraie richesse. Qui est au-delà des illusions, des apparences, qui n'est pas basée sur les pensées, les croyances et les prétentions ou sur le temps, la vraie réalité, dans l'absolu, dans l'éternel présent, dans la source éternelle de l'amour. En fait, rien n'est vraiment né, jamais mort, puisque tout est illusoire, un rêve éphémère, il n'y a jamais eu de monde, d'univers, de réalité, de dimension ou autre, la matrice temporelle est le fruit de la pensée, du mental, de l'esprit, qui vous fait croire que tout est vrai, alors que rien ne l'est. Vous pouvez penser qu'en ce moment vous êtes vivant, que vous vivez votre réalité, en pensant, croyant et prétendant ceci ou cela, alors que tout n'est qu'un rêve. Ce que vous pensez, croyez et prétendez être, n'est que le fruit de votre esprit, rien n'est réel, quelle que soit la réalité, dimension ou autre. Vous ne réalisez pas que vous êtes identifié à votre propre création illusoire. Vous ne réalisez pas que vous courez après le temps, que le temps sera la raison de votre existence pour la simple raison que ce que vous croyez être n'existe pas, ce n'est qu'une projection illusoire. Cela semble si réel, que vous vous laissez prendre au jeu de votre propre création. Il est temps de sortir de ce rêve éphémère et de réaliser l'ampleur de la vérité absolue, de mettre fin à ce rêve, à toute souffrance, à toute cette ignorance, que vous réalisiez que vous n'êtes jamais né, jamais mort puisque vous êtes l'absolu, la source de la lumière éternelle de l'amour, de l'éternel présent, qui n'a besoin d'aucune histoire, d'aucune identification pour être. Ne pas oublier l'origine de la souffrance, vient de votre pensée, de ce que vous prétendez être, alors que tout cela n'est qu'un rêve. Par Régis Raphaël Violette

mardi 13 septembre 2022

Pourquoi l'être humain souffre-t-il ?

 

Pourquoi l'être humain souffre-t-il ?

La réponse est très simple, il est à la fois la Source Absolue, le créateur de sa propre réalité, il blâme tout ce qu'il ne peut pas accueillir, accepter, respecter, accompagner et aimer d'un amour inconditionnel et absolu. Pourquoi en est-il ainsi ? Pour la simple raison qu'il a oublié que tout est sa création éphémère, s'identifiant à ce qu'il pense, croit et prétend être, identifié à cette forme humaine de sa propre projection. Alors que celui qui par l'intelligence absolue de la lumière éternelle avant même d'être dans cette forme humaine, vient mettre fin à ce rêve éphémère de la pensée créatrice, celle de l'esprit, du mental, qui croit être, alors qu'elle n'est que projection. Créant ainsi une matrice temporelle, où tout se manifeste à travers le temps, l'espace, l'illusion d'un passé, d'un présent et d'un futur, une gestation nécessaire pour renaître, pour sortir de ce qui n'est qu'un rêve. On peut facilement imaginer la souffrance qui accompagne la dissolution de tous les voiles. Tant qu'un voile subsiste, l'être humain continue à souffrir, c'est le moyen de percer tous les voiles et de réaliser qu'il n'y a que l'absolu, la source éternelle de l'amour, libre de toute identification. Il ne peut plus y avoir de souffrance car il n'y a plus de voile. Comprenez que celui qui ne souffre plus, est en même temps tout de ce rêve éphémère, de cette matrice temporelle, ainsi en est-il pour chacun et c'est par l'amour absolu qui est libre de toute identification. Pourquoi est-il libre ? C'est parce qu'il a reconnu en toute chose sa propre création éphémère, en l'aimant du plus grand amour qui soit, c'est pourquoi il aime, accepte, accueille, respecte, accompagne toute chose d'un amour absolu et inconditionnel, sans jugement. Vous qui souffrez, sachez que votre souffrance n'est pas dénuée de sens, puisque tout est lié et qu'il suffit que cette vérité soit révélée pour que cesse ce qui n'est qu'un rêve, abolir et mettre fin à toute souffrance. Ne souffrez plus, réalisez que tout est déjà accompli et cela avant même d'être manifesté, car rien ne peut altérer ce qui est de toute éternité, pas même la souffrance, ce que l'on est de toute éternité, la source absolue. Par Régis Raphaël Violette

lundi 12 septembre 2022

Souffre qu'il en soit ainsi, ou aimez tout inconditionnellement.

 

Souffre qu'il en soit ainsi, ou aimez tout inconditionnellement.

Voici un titre qui en dit long, souffre qu'il en soit ainsi. Quand on ne veut pas comprendre, quels que soient les conseils, les avertissements de la vie, on les ignore souvent, non pas par ignorance, mais pour se montrer plus fort et à la hauteur de ce qui se présente en tant que réalité. C'est-à-dire apprendre par la souffrance pour ainsi être préparer à revivre les mêmes circonstances, sans trop de souffrances. Dans une discussion, quelqu'un a dit à un ami, souffre qu'il en soit ainsi. Exprimant bien ce que la grande majorité des êtres humains vivent en tant que souffrance, qui persistent à continuer à être ce qu'ils pensent, croient et prétendent être, agissant selon leur conscience, n'acceptant pas, n'accueillant pas, ne respectant pas, n'accompagnant pas et n'aimant pas ce qui est pour eux un malentendu, une injustice ou toute autre chose qui va à l'encontre de leurs pensées. Quelles que soient les causes de la souffrance, de l'incompréhension d'un acte ou d'un autre, le fait de souffrir ne fait que démontrer une incompréhension, une non-acceptation, un non-respect, un non accompagnement, un non amour de ce qui se manifeste comme réalité. Comprenez que tout est lié, qu'en fait tout ce qui compose la réalité, tout est un, ce qui est, n'est qu'une manifestation de ce qui doit être en temps réel. En fait, on est un observateur, tout en étant créateur de ce qui se manifeste comme réalité, tout est approprié, rien n'est le fruit du hasard. Il est normal que la réalité change pour chaque individu, car ce qui est perçu est cohérent pour chacun. Tout le monde ne réagira pas de la même manière à une même épreuve, comme la perte d'un être cher, d'un emploi ou autre. Cela ne signifie pas que la personne qui traverse une épreuve sans souffrir est immunisée, elle souffrira pour d'autres épreuves de la vie, pour la simple raison que cela fait partie de ce qu'elle est venue vivre. En fait, qui que nous soyons, personne n'est à l'abri de la souffrance, pour la simple raison qu'il y a une grande vérité et que c'est par la souffrance que nous sommes capables de comprendre le pourquoi et le comment. Alors souffre, qu'il en soit ainsi. Lorsque l'on est capable de comprendre que le but de la vie est de révéler la plus grande vérité qui soit. Le hasard n'existe pas, il y a toujours une cause et un effet, tant que l'on ne voit pas la totalité, il ne peut y avoir de véritable compréhension, ce n'est pas en percevant la réalité, que la véritable vérité est révélée. Quelle que soit la réalité, dimensionnelle ou autre, elle n'est que le reflet de ce qui doit être transcendé, consumé par l'amour véritable, car l'être qui reste identifié à ce qu'il pense, croit et prétend être, vit sa propre réalité, quel que soit son contenu. En fait, il vit sa vie éphémère, souffrant des injustices, des incompréhensions, de ce qu'il ne peut pas accepter, accueillir, respecter, accompagner et aimer, pour la simple raison qu'il reste identifié au personnage qu'il pense, croit et prétend être. Comment cesser de souffrir dans ce monde qui est à l'image de ce que l'on est venu vivre et qui, à travers cette forme humaine, a une identité propre ? Tout d'abord, celui qui ne souffre plus, ne s'identifie plus à ce monde, ni à aucune de ses réalités, voyant en tout cela un grand jeu, une matrice temporelle, permettant toute réalité, dimension ou autre, qui n'a qu'un seul but, celui d'apprendre. Et c'est par la souffrance que nous apprenons à vivre, à être, et c'est par l'amour absolu que nous apprenons à ne plus être, à ne plus être identifié à qui ou quoi que ce soit, donc à ne plus souffrir. Car l'amour véritable nous apprend à ne plus souffrir, à ne plus donner d'importance, à tout accepter, à accueillir, à accompagner, à respecter et à aimer ce qui est, ce qui doit être comme réalité, tout ce qui se manifeste, tout se conforme à chacun, à toute forme de vie, quelle que soit la dimension ou autre plan d'existence. Car celui qui ne souffre plus sait que tout est juste, que tout a sa raison d'être, que tout contribue à révéler ce qui ne peut être perçu à première vue. Seul un œil avisé sait voir ce qui est de toute éternité, qui n'a ni début ni fin, seulement la lumière éternelle de l'éternel présent, la source absolue. Pourquoi souffrir, ce n'est qu'un rappel que l'on est avant toute chose, la source absolue de l'éternel présent, qui n'a pas besoin d'être pour être la lumière éternelle de l'amour absolu. Alors que le personnage de ce rêve éphémère, de cette matrice temporelle, souffre par identification à ce qui est illusoire, à ce qui n'est qu'une projection de la pensée, de l'esprit, du mental. Apprendre, c'est faire l'expérience de la souffrance, alors qu'aimer, c'est désapprendre pour percevoir la vérité absolue de ce que nous sommes de toute éternité. La souffrance révèle avant toute chose ce que l'on est de toute éternité. Par Régis Raphaël Violette Tout est lié, il n'y a pas de séparation dans ce qui n'est qu'un rêve éphémère, on n'est pas seulement un personnage, mais tous les personnages de cette matrice temporelle, de tous les possibles. En fait, on est l'âme illusoire de la pensée créatrice, tant qu'on y croit, on se laisse prendre au jeu de l'être, qui croit, pense et prétend que tout est réel, alors qu'il est prisonnier de son propre rêve, puisqu'il est à la fois le créateur et l'observateur, le tout en un, l'un en tout. Rien n'est réel, pas même le personnage que l'on incarne à travers cette forme humaine, tout n'est qu'apparence de réalité, illusoire, pour la simple raison que rien n'est stable, tout est éphémère, un éternel changement. Alors que celui qui est libéré, est libre du personnage, il est le rêveur éveillé, mettant fin à ce rêve, consumant tout par le feu sacré de l'amour absolu. Ouvrez les yeux, rien n'est réel sinon l'absolu, la source éternelle, libre de toute identification.

mercredi 7 septembre 2022

La fin des temps

 

Jusqu'à la fin des temps ...

Ce qui est scellé doit être descellé. Pour certains cela n'a aucune répercussion, continuant à jouer le rôle de l'intelligence absolue de la source éternelle, libre de toute identification, qui n'a pas conscience du temps. Alors que le personnage, qui est lié jusqu'à la fin des temps, qu'il en soit conscient ou non, est le héros de cette grande matrice temporelle. En fait, tout est héroïque, magistralement orchestré, même le personnage ne se rend pas compte qu'il est en même temps une pièce importante de ce grand puzzle qu'est cette grande œuvre colossale de l'intelligence absolue de la source éternelle. La fin du personnage, personnifiant la perfection immaculée de ce qui n'est qu'un rêve, met fin aux peurs, aux souffrances, aux désirs inassouvis, aux regrets, aux manques, car en fait le personnage pense, croit et prétend savoir, connaître ce qui est, alors qu'il n'est que l'accomplissement d'un rôle éphémère. Ne vous méprenez pas, rien de ce que le personnage accomplit n'est réel, il est le héros, qui par son rôle unique, perce cette coquille dans laquelle se trouve votre attention, afin de vous libérer du voile de l'illusion, celle de cette matrice temporelle, de ce rêve éphémère. Pourquoi toutes ces expériences, ces apprentissages à vivre à travers cette forme humaine, causant de grandes souffrances et blessures, mais aussi de la joie et de l'amour ? Il faut de la patience, un temps illusoire pour percer, traverser le voile de l'oubli, jusqu'à la fin des temps, pour pouvoir percer le grand mystère de la vie. Alors que la vie est éternelle, elle n'a pas besoin d'être dans une quelconque réalité, dimension, ou quoi que ce soit pour être la lumière éternelle de l'éternel présent. La fin du temps, la fin de ce qui n'est qu'un rêve, de ce qui est temporel, quantique. Et la coquille, ce qui sert d'ancrage à ce qui n'est qu'un rêve, n'a pas pu empêcher la fin du temps, car la lumière éternelle, la source absolue consume tout par le feu sacré de l'amour absolu tout ce qui est éphémère, voile. Tant que le personnage pense, croit et prétend qu'il est de ce monde, de cet univers, dimension ou autre, il n'est que le rêve éphémère, la matrice temporelle. Tandis que celui qui a perçu le rôle du personnage, voit en lui, le héros qui fait face à sa propre création illusoire, qui a su percer le mystère de la vie, non pas en jugeant qui ou quoi que ce soit, en se libérant du voile de l'illusion, de l'éphémère, en mettant fin au temps. En réalisant qu'il n'y a personne, aucune réalité, dimension ou autre, que l'absolu de l'éternel présent. Vous remarquerez que l'amour absolu ne connaît aucun temps, aucune réalité, dimension ou autre, il est la source éternelle absolue de l'éternel présent, la fin du temps. Quel que soit le personnage, qui fait partie de votre réalité, il est ce héros, comme il l'est pour vous-mêmes, tout contribue à vous révéler le grand mystère de la vie, à vous dépouiller de ce que vous pensez, croyez et prétendez être, à vous préparer à la fin des temps. Ne voyez pas en cela quelque chose de négatif, ce n'est que l'abolition de ce qui n'est qu'un rêve, vous vous réveillez à ce qui a toujours été, qui n'a ni début ni fin, où tout est amour absolu, libre de toute identification. Par Régis Raphaël Violette

Publié par Juste (Profil & Articles associés)

vendredi 2 septembre 2022

Le silence de l'amour absolu révèle la vérité …

 

Le silence de l'amour absolu révèle la vérité …

C'est dans le silence de l'amour absolu que se révèle la vérité … On ne peut pas juger ce que l'on a choisi d'apprendre et de vivre, qui que l'on soit dans ce monde, ou ailleurs, quelle que soit la manifestation de la vie, chacun a sa propre perception, et ce n'est pas quelqu'un qui choisit ce que l'autre a décidé de vivre, peu importe les étiquettes, les croyances, les références ou tout autre enseignement. Qui est mieux placé que celui qui est né avec sa propre programmation, comme c'est le cas pour chacun. Pourquoi juger pour l'apprentissage de cette infinie diversité de la vie ? Ou tout simplement accepter, accueillir, accompagner, respecter et aimer la différence quelle que soit son apparence. Tout est apparence dans le rêve éphémère, celui de tous les possibles, tel un personnage ayant son propre livre d'histoire. Peut-on en même temps vivre toutes les expériences et apprentissages, quelle que soit l'étiquette, spirituelle ou autre. Pas à travers ce qui sert de véhicule à la vie, mais en son coeur. Nous comprenons quelle que soit la manifestation de la vie, tout est unique, tout a sa propre évolution, tout en ne faisant qu'un avec cette matrice temporelle, incluant toute dimension, réalité ou autre. N'est-il pas plus enrichissant d'accepter les différences, tout en partageant notre propre vérité, permettant la liberté d'être. Quelle que soit l'étiquette qui fait de chacun ce qu'il est en cet ici et maintenant, elle ne fait que démontrer la diversité de l'intelligence absolue de la source éternelle de l'éternel présent, où tout bouge, tout change, dans un éternel recommencement, où rien ne peut être figé dans le temps. Celui qui n'a pas d'étiquette spirituelle ou autre, ne s'identifie plus à rien qui change continuellement. La vérité n'est d'aucun monde, univers, dimension ou autre, elle est l'essence de la vie, elle est cette intelligence absolue où tout a sa raison d'être, où tout est à sa juste place, où tout contribue à révéler la plus grande vérité qui soit. Ce n'est pas dans l'apparence que l'on perçoit cette vérité, mais dans le silence où tout est absence de tout ce qui n'est qu'expérience et apprentissage éphémère. On juge sur l'apparence, sur ce qui est différent, ce qui a une autre perception, un autre regard, alors que tout est issu de l'intelligence absolue de la source éternelle de l'éternel présent, sans laquelle rien ne pourrait être expérimenté. Et la matrice temporelle du rêve éphémère permet cela, de vivre tous les possibles. Lorsque nous voyons une autre possibilité différente de ce que nous pensons, croyons et prétendons être, alors ouvrons notre cœur à tout ce qui est, à tout ce qui doit être, que nous soyons d'accord ou non, ce n'est que le personnage, l'ego qui réagit, qui se sent menacé par ce qu'il ne connaît pas, la peur du changement, de l'inconnu. Chercher la beauté en toute chose, elle ne peut être perçue que par un cœur et un esprit libres de tout jugement. C'est dans le silence de l'esprit, mental que nous sommes capables de tout accepter, d'accueillir les différences, de respecter la liberté d'être de chacun, en accompagnant et en aimant tout d'un amour absolu, rien n'est figé dans le temps, tout change et évolue. Ce qui ne change jamais, c'est l'essence éternelle de ce que nous sommes, la source absolue de l'éternel présent, qui n'a ni début ni fin, qui est de toute éternité. Le temps n'a aucune emprise, ni rien d'autre, rien ne peut altérer ce qui n'existe pas dans la matrice temporelle, dans ce qui n'est qu'un rêve éphémère, pour la simple raison qu'il est de toute éternité. Et c'est dans le silence de l'amour absolu que se révèle la vérité de notre véritable nature divine, sans la moindre étiquette, identification. Par Régis Raphaël Violette

Hors du temps, silence ...

 

Hors du temps, silence ...

Celui qui n'a ni début ni fin, est dans le SILENCE éternel, libre de toute attente. N'attend rien de personne ni de rien, laisse ce qui doit être, ce qui est, puisque tout est approprié. Seul le personnage est dans l'attente, il en souffre pour la simple raison qu'il n'accepte pas ce qui doit être, il n'est pas dans cet accueil, ni dans l'accompagnement, ni dans le respect de ce qui est placé. Il n'est pas capable d'aimer ce qui est. Alors que celui qui n'est plus dans aucune attente, n'attend rien, laisse ce qui doit être, ce qui est en place. Il aime tout d'un même amour, acceptant, accueillant, respectant et accompagnant ce qui doit être, ce qui est en place en tant que réalité, dimension ou autre. Il sait que tout est illusoire, un rêve éphémère, créant la matrice temporelle de tous les possibles. Pas besoin de savoir ce qui se passe dans tout ce rêve éphémère, puisqu'il reçoit la lumière appropriée à ce qu'il est venu vivre comme expérience et apprentissage de tout consumer simplement avec cet amour absolu. Et c'est dans le SILENCE qu'il peut le faire, libérant l'esprit, le mental de toutes les pensées, les consumant avec amour, ne jugeant plus ce qui doit être sur le grand écran de l'éternel présent, mettant en scène la plus grande œuvre qui soit, le rêve de tous les possibles où tout est illusoire, un écran temporel de toute réalité, dimension et autre. C'est dans le silence que nous terminons, en coupant le pouvoir de l'esprit, du mental, en mettant fin au personnage et à toute identification. Quoi qu'il arrive comme projection sur le grand écran de l'éternel présent, ce n'est pas plus vrai qu'hier, aujourd'hui ou demain, tout est un rêve. Car celui qui ne rêve plus est dans le SILENCE, dans la source éternelle de l'amour absolu, n'attendant plus rien ni personne, puisqu'il est de toute éternité, ce qui n'a ni début ni fin. C'est en ne jugeant plus le personnage, que l'on est capable de tout accepter, d'accueillir, d'accompagner, de respecter et d'aimer d'un même amour ce qui doit être, ce qui est placé en tant que rêve éphémère. Que cela vienne du cœur ou du mental, ce qui doit être vécu, expérimenté, accompli reste l'œuvre de l'intelligence absolue de la source éternelle de l'éternel présent. Rien n'est réel, car la vraie réalité se vit dans le SILENCE. Par Régis Raphaël Violette