samedi 15 décembre 2018

Que devons-nous craindre et en même temps adhérer à ce qu'il y a de plus grand ?

Que devons-nous craindre et en même temps adhérer à ce qu'il y a de plus grand ?


Que devons-nous craindre le plus dans cet univers quantique et en même temps adhérer à ce qu'il y a de plus grand.? En fait, il y a une seule chose à craindre, c'est tout simplement son propre mental. Par contre ce que nous ne devons pas ignorer, c'est notre véritable nature, notre essence éternelle. Le mental est le temple de l'illusion de dualité et de séparation, pour celui qui s'alimente et se nourrit de toutes les histoires, faisant de son mental, le plus grand livre d'histoires,. Est-ce vraiment le mental qui est à craindre ou celui qui s'en nourrit ? En fait la plus grande crainte vient de soi-même, nous jouons tous les rôles, voilà l'origine de la dualité. Pour ceux qui ne sont pas encore au courant, des dernières nouvelles, c'est que tout est la présence éternelle, on nous a fait croire que tout est unique, que tout est différent, que chacun a sa propre origine. Tout ce qui a été dit, ne sont que des mensonges, qu'importe le costume dans lequel nous apparaissons dans l'illusion, dans le rêve, dans l'enfermement, tout est la même présence éternelle. 

Enlevons tout, que reste-t-il ? La présence éternelle, libre du temps, de l'espace et dimensions. Le mental n'est pas notre ennemi si celui-ci est guidé par la sagesse du cœur, non pas de la conscience, mais de cette présence éternelle qui se reconnaît en tout, là où il n'y a aucune histoire, aucun livre, où tout est page blanche. Le vrai amour n'a point besoin d'histoires, ni de mots pour paraître, il est dénudé de tout, il est l'essence éternelle, la présence éternelle qui unifie tout en un. Ce n'est pas la conscience, ce n'est rien de tout cela, c'est tout simplement, la présence dénudée de tout, l'amour à l'état pur qui aime tout, traverse, transcende et consume tout par le feu sacré de l'amour, pas de place pour aucune histoire. Car celui qui vit à travers les histoires, reste prisonnier du livre. Sommes-nous un livre d'histoire, où sommes-nous la présence éternelle qui n'est pas assujettie au temps, ni à l'espace, ni aux dimensions, ni à cet univers quantique, qui représente le grand livre des histoires, l'apprentissage par le rêve. Il n'y a rien à craindre, juste pour ceux qui se racontent encore des histoires, le vrai amour dénudé de tout, c'est la reconnexion avec son cœur unifié, avec son essence éternelle, là où tout est la même présence. 

Auteur 
Régis Raphaël Violette