Comment faire ce pas de côté, celui d'être dans son soi accompli ?
Qu'on le veuille ou non, nous incarnons en cet instant une forme humaine, qui est assujettie au temps, à l'espace et dimensions, ce qui fait de nous une présence en cet univers, en ce monde. Déjà comprendre que nous ne sommes ni la forme, ni ce monde, ni cet univers, nous en faisons l'apprentissage et l'expérience en tant que présence. Lorsque l'on s'identifie à la forme humaine, à ce monde et à cet univers,. à toutes les croyances, concepts, archétypes où tout autres liens d'enfermements, nous restons piégés en quelque sorte, comme si nous étions un personnage qui se raconte dans un livre d'histoire. Et lorsque l'on s'identifie à la personnalité du personnage, nous en vivons les conséquences, les émotions engendrées qui font que le personnage dans ce livre d'histoire vit une déchirure avec sa vraie nature divine, une grande souffrance. Pourquoi, il a juste oublié qu'il n'est pas juste le personnage de ce grand livre d'histoire mais bien la présence éternelle qui en fait la lecture. En fait en s'identifiant comme faisant partie de ce monde, de cet univers, on est confronté à toute cette illusion de dualité et de séparation.
On croit être unique, séparé, vivant indépendamment du reste de la création, qui est en fait à l'image du personnage. Il est difficile de comprendre, d'intégrer que tout est un, que tout dans ce livre d'histoire, ou dans ce rêve éphémère que tout soit la manifestation du même personnage se retrouvant dans la totalité du livre d'histoire, du rêve éphémère, de toute création de l'esprit. Comment cela se peut-il ? Le personnage ne peut comprendre le pourquoi, le comment, tant qu'il y a identification au personnage, il est rattaché au livre d'histoire, en l'occurrence à ce rêve éphémère. Et on se laisse prendre au jeu des personnages, chacun reprochant à l'autre sa propre souffrance, sa déchirure avec sa vraie nature divine. Alors on voit les autres comme extérieur à nous, le jeu du miroir, chacun des personnages se reflètent les mêmes blessures, les mêmes histoires, perçus de façon différente car chaque personnage a sa propre personnalité. Chacun est victime de sa personnalité, des croyances, des concepts, des archétypes, des conditionnements et autres enfermements. Il suffit de voir le contraste avec la nature et l'activité humaine, l'un est une belle représentation de la vie, où l'on sent et ressent l'âme de la nature et de l'autre l'activité humaine sans âme aucune, reflétant la mort, le sans vie.
Ne nous demandons pas pourquoi nous nous sentons pas à notre place dans cette activité qui ne fait que détruire la vie, la nature est essentielle à nous sentir vivant, pleine de vie, à ressentir la joie, le bonheur et l'amour dénudé de tout concept. Il y a cette force de la nature, qui nous rappelle notre vraie nature divine, ce tout en un, pas de croyance, pas de concept, pas d'archétype, pas de religion, pas de conditionnements, pas tout ce chaos mental, juste l'harmonie des choses, l'ordre parfait. La nature n'a point besoin de l'homme, pour se régénérer, afin de renouveler le cycle de la vie. Par contre l'homme, le personnage qui se raconte des histoires, a besoin de la nature, en agissant ainsi envers ce monde, cet univers, il meurt à petit feu, il ne respecte rien, ce qu'il respecte, ce sont ses croyances, son enfermement. En fait, il est victime de son ignorance, enfermement. Comme si nous pouvions voir en ce livre d'histoire deux aspects, l'un étant parfaitement orchestré, comme le montre si bien la nature et de l'autre l'homme jouant à son personnage, agissant sans âme aucune envers ce monde, envers toute création. Il est vrai que tout est le fruit de l'esprit, que tout est un, tout est la même présence éternelle. Comment retrouver sa vraie nature ? En nous reconnectant avec dame nature, en agissant avec amour, un amour dénudé de tout concept. Comme je le disais, nous ne sommes pas le personnage, ni la personnalité, nous sommes la présence éternelle, celle qui est avant toute création. Pourquoi, vivons-nous cet apprentissage et expérience ?
Nous le vivons pour comprendre notre vraie nature divine et prendre connaissance de notre enfermement et de notre égarement. En prenant connaissance que l'on se raconte des histoires, que sont les croyances et autres, qui ne font que nous éloigner de ce que nous sommes de toute éternité. Cette présence éternelle qui n'est qu'amour. Ne restons pas prisonnier de cette personnalité, de tout son contenu mental, nous ne sommes rien de toutes ces histoires, qu'importe ce que nous croyons, ce sera toujours notre reflet. Nous ne sommes pas le reflet, mais bien la présence éternelle qui se manifeste en toute création. Qu'importe ce que nous voulons atteindre, ce sera toujours notre reflet, il n'y a rien à attendre, de qui ou de quoi que ce soit, nous sommes déjà la présence éternelle et cela avant toute création. Quelle que soit la souffrance, les maux, où tous autres ressentis, nous en sommes les créateurs pour la simple raison que l'on s'identifie au personnage, au lieu de ce qui a toujours été et cela avant tout. Quoi qu'il en soit, qu'importe le personnage, la personnalité, tôt ou tard, tout est consumé par le feu sacré de la présence éternelle, nul ne peut ignorer sa vraie nature divine. Tôt ou tard, il y a basculement, il n'y aura plus aucune identification au personnage et à ses histoires, une renaissance en la présence éternelle. Comme je le disais, le temps, l'espace et dimensions ne sont qu'illusion, le fait de sortir du personnage, nous faisons que réaliser que tout est accompli, qu'il n'y a que la présence éternelle.
Présence
Régis Raphaël Violette
Note de l'auteur
N'oublions pas que nous sommes à la fois la goutte d'eau tout en étant la mer, l'océan, toutes les étendues d'eau, le fleuve de la vie, la présence éternelle, celle qui avant toute création et celle qui est en toute création.
Qu'on le veuille ou non, nous incarnons en cet instant une forme humaine, qui est assujettie au temps, à l'espace et dimensions, ce qui fait de nous une présence en cet univers, en ce monde. Déjà comprendre que nous ne sommes ni la forme, ni ce monde, ni cet univers, nous en faisons l'apprentissage et l'expérience en tant que présence. Lorsque l'on s'identifie à la forme humaine, à ce monde et à cet univers,. à toutes les croyances, concepts, archétypes où tout autres liens d'enfermements, nous restons piégés en quelque sorte, comme si nous étions un personnage qui se raconte dans un livre d'histoire. Et lorsque l'on s'identifie à la personnalité du personnage, nous en vivons les conséquences, les émotions engendrées qui font que le personnage dans ce livre d'histoire vit une déchirure avec sa vraie nature divine, une grande souffrance. Pourquoi, il a juste oublié qu'il n'est pas juste le personnage de ce grand livre d'histoire mais bien la présence éternelle qui en fait la lecture. En fait en s'identifiant comme faisant partie de ce monde, de cet univers, on est confronté à toute cette illusion de dualité et de séparation.
On croit être unique, séparé, vivant indépendamment du reste de la création, qui est en fait à l'image du personnage. Il est difficile de comprendre, d'intégrer que tout est un, que tout dans ce livre d'histoire, ou dans ce rêve éphémère que tout soit la manifestation du même personnage se retrouvant dans la totalité du livre d'histoire, du rêve éphémère, de toute création de l'esprit. Comment cela se peut-il ? Le personnage ne peut comprendre le pourquoi, le comment, tant qu'il y a identification au personnage, il est rattaché au livre d'histoire, en l'occurrence à ce rêve éphémère. Et on se laisse prendre au jeu des personnages, chacun reprochant à l'autre sa propre souffrance, sa déchirure avec sa vraie nature divine. Alors on voit les autres comme extérieur à nous, le jeu du miroir, chacun des personnages se reflètent les mêmes blessures, les mêmes histoires, perçus de façon différente car chaque personnage a sa propre personnalité. Chacun est victime de sa personnalité, des croyances, des concepts, des archétypes, des conditionnements et autres enfermements. Il suffit de voir le contraste avec la nature et l'activité humaine, l'un est une belle représentation de la vie, où l'on sent et ressent l'âme de la nature et de l'autre l'activité humaine sans âme aucune, reflétant la mort, le sans vie.
Ne nous demandons pas pourquoi nous nous sentons pas à notre place dans cette activité qui ne fait que détruire la vie, la nature est essentielle à nous sentir vivant, pleine de vie, à ressentir la joie, le bonheur et l'amour dénudé de tout concept. Il y a cette force de la nature, qui nous rappelle notre vraie nature divine, ce tout en un, pas de croyance, pas de concept, pas d'archétype, pas de religion, pas de conditionnements, pas tout ce chaos mental, juste l'harmonie des choses, l'ordre parfait. La nature n'a point besoin de l'homme, pour se régénérer, afin de renouveler le cycle de la vie. Par contre l'homme, le personnage qui se raconte des histoires, a besoin de la nature, en agissant ainsi envers ce monde, cet univers, il meurt à petit feu, il ne respecte rien, ce qu'il respecte, ce sont ses croyances, son enfermement. En fait, il est victime de son ignorance, enfermement. Comme si nous pouvions voir en ce livre d'histoire deux aspects, l'un étant parfaitement orchestré, comme le montre si bien la nature et de l'autre l'homme jouant à son personnage, agissant sans âme aucune envers ce monde, envers toute création. Il est vrai que tout est le fruit de l'esprit, que tout est un, tout est la même présence éternelle. Comment retrouver sa vraie nature ? En nous reconnectant avec dame nature, en agissant avec amour, un amour dénudé de tout concept. Comme je le disais, nous ne sommes pas le personnage, ni la personnalité, nous sommes la présence éternelle, celle qui est avant toute création. Pourquoi, vivons-nous cet apprentissage et expérience ?
Nous le vivons pour comprendre notre vraie nature divine et prendre connaissance de notre enfermement et de notre égarement. En prenant connaissance que l'on se raconte des histoires, que sont les croyances et autres, qui ne font que nous éloigner de ce que nous sommes de toute éternité. Cette présence éternelle qui n'est qu'amour. Ne restons pas prisonnier de cette personnalité, de tout son contenu mental, nous ne sommes rien de toutes ces histoires, qu'importe ce que nous croyons, ce sera toujours notre reflet. Nous ne sommes pas le reflet, mais bien la présence éternelle qui se manifeste en toute création. Qu'importe ce que nous voulons atteindre, ce sera toujours notre reflet, il n'y a rien à attendre, de qui ou de quoi que ce soit, nous sommes déjà la présence éternelle et cela avant toute création. Quelle que soit la souffrance, les maux, où tous autres ressentis, nous en sommes les créateurs pour la simple raison que l'on s'identifie au personnage, au lieu de ce qui a toujours été et cela avant tout. Quoi qu'il en soit, qu'importe le personnage, la personnalité, tôt ou tard, tout est consumé par le feu sacré de la présence éternelle, nul ne peut ignorer sa vraie nature divine. Tôt ou tard, il y a basculement, il n'y aura plus aucune identification au personnage et à ses histoires, une renaissance en la présence éternelle. Comme je le disais, le temps, l'espace et dimensions ne sont qu'illusion, le fait de sortir du personnage, nous faisons que réaliser que tout est accompli, qu'il n'y a que la présence éternelle.
Présence
Régis Raphaël Violette
Note de l'auteur
N'oublions pas que nous sommes à la fois la goutte d'eau tout en étant la mer, l'océan, toutes les étendues d'eau, le fleuve de la vie, la présence éternelle, celle qui avant toute création et celle qui est en toute création.