Que dire de plus de ce qui a déjà été dit.
Qui sommes-nous en cet instant présent à part du personnage que nous endossons en cet instant ? Il est drôle de constater que tous les êtres humains jouent un personnage qui lui est propre, qui a sa raison d'être dans cette réalité qui nous sert de pièce de théâtre. Imaginons un instant tous les êtres humains qui ont vécu dans ce monde, qui ont participé à cette grande pièce de théâtre, que celle-ci a traversé le temps, l'espace pour être ce qu'elle est en cet ici et maintenant. La même pièce de théâtre, où tous les êtres humains continuent à alimenter les histoires, les croyances et les concepts. Peut-on imaginer depuis combien de temps, l'histoire de cette humanité a pu se maintenir ainsi, créant ainsi l'illusion parfaite de l'illusion de dualité et de séparation. Peut-on croire que l'origine de toute cette illusion se trouve être la même présence qui se trouve en tous les êtres humains, en toute vie et qui par surcroit est dans toute création ? Il est inconcevable de réaliser ce que nous pouvons vivre en tant que personnage, vient de la même présence qui orchestre tout, qui est à l'origine de tout et qui est la conséquence de tout ce qui est.
Qui devrions-nous juger pour toutes les histoires que ce monde a connues, incluant cet univers et toute création ? En fait, est-ce la présence éternelle qui est coupable de tout, ou c'est le personnage qui n'a pas su reconnaître que tout est la manifestation de la même présence éternelle, oubliant qu'en fait, que le personnage a oublié que tout est sa création. Pas drôle de prendre connaissance qu'il n'y a rien à juger, ni à condamner, puisque nous sommes responsables en tant que personnage qui n'a pas su reconnaître que tout en est sa propre création. Nous n'endossons pas qu'un personnage, mais tous les personnages, nous sommes à l'origine de toutes les histoires, de tous les concepts, croyances et autres enfermements. Si je regarde un autre personnage que le mien, est-il plus ou moins intéressant ? Qu'importent les histoires de tous les personnages, ils ne sont que des histoires, qui ne fait que maintenir l'illusion de dualité et de séparation. La vraie histoire intéresse ceux qui ont compris, réalisé que tout sonne faux, que la raison du personnage est de comprendre le pourquoi de cette illusion, sa raison d'être. Et sa raison d'être c'est juste de réaliser que nous sommes créateurs de notre réalité, qu'il n'y a pas de victime, de bourreau et de sauveur, que la seule chose c'est que nous avons joué tous les rôles pas pour alimenter les histoires, mais nous révéler et nous dévoiler ce qui est avant toute création, notre véritable nature divine.
Sortir du personnage et réaliser que nous sommes la présence éternelle, il aura fallu jouer tous les rôles possibles pour le réaliser, le comprendre. Pouvons-nous continuer à juger notre prochain puisque nous sommes la totalité de tout ce qui est ? Cette vérité consume toutes les histoires, croyances, concepts et autres, pourquoi combattre ce qui n'est pas réel ? Don quichotte a réalisé qu'il se combattait lui-même. Qu'importe ce qui se rattache au personnage, tout est illusion, il n'y a qu'une vérité et celle-ci n'est pas assujettie au personnage, au temps, ni à l'espace et dimensions, une vérité si grande qu'elle consume tout, non pas en redonnant à César ce qui lui revient, en consumant tout par amour dénudé de tout concept. C'est ainsi que les voiles tombent pour ne rester que l'essentiel, notre véritable nature. Elle n'est pas dispersée, ni séparée, ni par le temps, l'espace et dimensions, elle est cette présence qui ne peut être altérée, dissipée ou même voilée, car celle-ci consume tout par amour. Alors que dire de plus, chacun fait face à sa propre illusion, les histoires appartiennent au personnage, cela ne reste que des croyances, alors que la vérité absolue est au-delà de tout ce qui est, qui est avant toute création, c'est-à-dire, ce que nous sommes de toute éternité, cette présence éternelle, la lumière de l'amour. Croire à autre chose, c'est continuer à se raconter des histoires.
Présence éternelle
Régis Raphaël Violette
Qui sommes-nous en cet instant présent à part du personnage que nous endossons en cet instant ? Il est drôle de constater que tous les êtres humains jouent un personnage qui lui est propre, qui a sa raison d'être dans cette réalité qui nous sert de pièce de théâtre. Imaginons un instant tous les êtres humains qui ont vécu dans ce monde, qui ont participé à cette grande pièce de théâtre, que celle-ci a traversé le temps, l'espace pour être ce qu'elle est en cet ici et maintenant. La même pièce de théâtre, où tous les êtres humains continuent à alimenter les histoires, les croyances et les concepts. Peut-on imaginer depuis combien de temps, l'histoire de cette humanité a pu se maintenir ainsi, créant ainsi l'illusion parfaite de l'illusion de dualité et de séparation. Peut-on croire que l'origine de toute cette illusion se trouve être la même présence qui se trouve en tous les êtres humains, en toute vie et qui par surcroit est dans toute création ? Il est inconcevable de réaliser ce que nous pouvons vivre en tant que personnage, vient de la même présence qui orchestre tout, qui est à l'origine de tout et qui est la conséquence de tout ce qui est.
Qui devrions-nous juger pour toutes les histoires que ce monde a connues, incluant cet univers et toute création ? En fait, est-ce la présence éternelle qui est coupable de tout, ou c'est le personnage qui n'a pas su reconnaître que tout est la manifestation de la même présence éternelle, oubliant qu'en fait, que le personnage a oublié que tout est sa création. Pas drôle de prendre connaissance qu'il n'y a rien à juger, ni à condamner, puisque nous sommes responsables en tant que personnage qui n'a pas su reconnaître que tout en est sa propre création. Nous n'endossons pas qu'un personnage, mais tous les personnages, nous sommes à l'origine de toutes les histoires, de tous les concepts, croyances et autres enfermements. Si je regarde un autre personnage que le mien, est-il plus ou moins intéressant ? Qu'importent les histoires de tous les personnages, ils ne sont que des histoires, qui ne fait que maintenir l'illusion de dualité et de séparation. La vraie histoire intéresse ceux qui ont compris, réalisé que tout sonne faux, que la raison du personnage est de comprendre le pourquoi de cette illusion, sa raison d'être. Et sa raison d'être c'est juste de réaliser que nous sommes créateurs de notre réalité, qu'il n'y a pas de victime, de bourreau et de sauveur, que la seule chose c'est que nous avons joué tous les rôles pas pour alimenter les histoires, mais nous révéler et nous dévoiler ce qui est avant toute création, notre véritable nature divine.
Sortir du personnage et réaliser que nous sommes la présence éternelle, il aura fallu jouer tous les rôles possibles pour le réaliser, le comprendre. Pouvons-nous continuer à juger notre prochain puisque nous sommes la totalité de tout ce qui est ? Cette vérité consume toutes les histoires, croyances, concepts et autres, pourquoi combattre ce qui n'est pas réel ? Don quichotte a réalisé qu'il se combattait lui-même. Qu'importe ce qui se rattache au personnage, tout est illusion, il n'y a qu'une vérité et celle-ci n'est pas assujettie au personnage, au temps, ni à l'espace et dimensions, une vérité si grande qu'elle consume tout, non pas en redonnant à César ce qui lui revient, en consumant tout par amour dénudé de tout concept. C'est ainsi que les voiles tombent pour ne rester que l'essentiel, notre véritable nature. Elle n'est pas dispersée, ni séparée, ni par le temps, l'espace et dimensions, elle est cette présence qui ne peut être altérée, dissipée ou même voilée, car celle-ci consume tout par amour. Alors que dire de plus, chacun fait face à sa propre illusion, les histoires appartiennent au personnage, cela ne reste que des croyances, alors que la vérité absolue est au-delà de tout ce qui est, qui est avant toute création, c'est-à-dire, ce que nous sommes de toute éternité, cette présence éternelle, la lumière de l'amour. Croire à autre chose, c'est continuer à se raconter des histoires.
Présence éternelle
Régis Raphaël Violette