Notre relation avec les différentes réalités parallèles.
En cet instant, en tant que présence éternelle se manifestant dans le rêve éphémère, à y vivre une vie illusoire de l'esprit. Il est drôle de constater qu'en fait, que toutes les réalités se chevauchent, se traversent les unes aux autres afin que la même présence éternelle se retrouve simultanément à donner l'impression d'une matrice parfaite, universelle, voire quantique, pour la simple raison que tout se manifeste dans un même instant. On se rend compte que le temps, l'espace et dimensions, font en sorte de rendre cela possible. Lorsque l'on sait que rien n'a quitté la source originelle, qu'il y a que la présence éternelle, la seule et vraie réalité, celle-ci ne se retrouve pas dans la matrice, elle se trouve dans ce que nous pourrions appelé le point zéro. Là où le temps, l'espace et dimensions n'ont pas leurs raisons d'être. En ce qui me concerne, je suis mon propre témoin, je suis le rêveur conscient qu'il rêve, tout en faisant face à toutes les autres réalités, manifestées par la même présence éternelle, évoluant dans toute une diversité, ayant tous une réalité conforme à leurs niveaux de connaissances. Je suis le centre de mon propre univers, de ce rêve éphémère, de cette matrice, qui me renvoie une multitude de réalités infinie de ma propre création. Je suis l'observateur tout en étant l'observé. Il en est de même pour chacun, pour tous les êtres faisant face à la même matrice, mais percevant celle-ci selon un tout autre regard, compréhension.
En fait, en tant que présence éternelle, nous vivons une relation d'unité avec tout ce qui est, comme nous évoluons dans un corps humain, nous vivons cette relation émotionnelle avec toutes les réalités de la même présence éternelle, ce qui crée l'illusion de la différence, de la dualité et de la séparation, pour la simple raison que l'on se croit unique, mais qu'en fait, tout est la présence éternelle dans toute sa manifestation de réalités parallèles, qui constituent l'illusion parfaite, quel qu'en soient le temps, l'espace et dimensions. Pourquoi avons-nous des connexions, des canalisations, que nous vivons d'autres expériences dans d'autres réalités parallèles ? Pour la simple raison que cela fait partie de notre propre création et en tant que présence éternelle, dans toute sa diversité, nous le vivons tous différemment. Pourquoi, en est-il ainsi ? Nous avons chacun notre propre regard, nous vivons tous le même rêve éphémère, nous sommes tous le même rêveur. Qu'importe le niveau de conscience ou de connaissance, tout est toujours approprié à chacun car la présence éternelle se manifeste en tout, quelle que soit la réalité vécue par toute cette diversité, tout est toujours conforme, appropriée, orchestrée.
Voilà pourquoi, on dit que tout est toujours juste, toujours parfait, que l'on ne perçoit pas toujours en tant que présence éternelle incarnant le personnage de l'instant. Tout ça pour dire que tout est parfait, qu'importe le choix de vie de chacun, tout est juste, en ce qui me concerne, je suis l'observateur tout en étant l'observé. Je suis toujours en ce rêve, tout en y étant plus, la présence éternelle qui se reconnaît dans toutes ces réalités parallèles, ayant le même regard, celui de la lumière de l'amour, dénudé de tout concept, ce qui me ramène au centre, au point zéro. Je me libère de toute illusion, percevant que la présence éternelle. Qu'importe ce que l'on peut me dire, ce que l'on veut me faire croire ou ce que l'on veut me partager, tout ce qui vient de toutes ces réalités parallèles sont la manifestation de la même présence éternelle. J'accueille et j'accepte tout d'un même amour et que la paix éternelle se vit par la dissolution du rêve éphémère, du paraître, ce qui nous ramène à ce point zéro, à la présence éternelle, qui n'est pas assujetti à rien, là où tout est accompli. Je suis le rêveur réveillé, prenant connaissance que tout est illusion et que la seule réalité ne se trouve pas dans le rêve, mais bien dans l'éveil à sa vraie nature divine. La présence éternelle, libre de tout, dénudé de tout, dépouillé de tout. Qu'importe ce qui se passe dans toute cette matrice virtuelle, de toutes ces réalités parallèles, la seule réalité c'est le point zéro, là où tout est accompli et cela avant le rêve éphémère, avant toutes ces réalités parallèles, avant toute chose.
Il n'y a que par la dissolution de l'être, du paraître que l'on est en mesure d'intégrer et de vivre cette réalité qui est au-delà du rêve éphémère. Il n'y a rien à juger, ni à condamner, tout est juste, à chacun en tant que présence éternelle de comprendre que tout est son propre reflet, la même présence éternelle, que la dualité vient de l'identification au personnage au lieu de ce qui lui apporte le souffle de vie. Celui qui prend connaissance de ce qui est dit, sait que lorsque l'on vit cet éveil, c'est que tout n'est qu'illusion, qu'il n'y a que la présence éternelle. Qui que nous soyons, il n'y a rien à juger, car nous vivons tous une réalité qui nous est propre et conforme à ce que nous sommes venus vivre en tant que présence éternelle.
Auteur
Régis Raphaël Violette
En cet instant, en tant que présence éternelle se manifestant dans le rêve éphémère, à y vivre une vie illusoire de l'esprit. Il est drôle de constater qu'en fait, que toutes les réalités se chevauchent, se traversent les unes aux autres afin que la même présence éternelle se retrouve simultanément à donner l'impression d'une matrice parfaite, universelle, voire quantique, pour la simple raison que tout se manifeste dans un même instant. On se rend compte que le temps, l'espace et dimensions, font en sorte de rendre cela possible. Lorsque l'on sait que rien n'a quitté la source originelle, qu'il y a que la présence éternelle, la seule et vraie réalité, celle-ci ne se retrouve pas dans la matrice, elle se trouve dans ce que nous pourrions appelé le point zéro. Là où le temps, l'espace et dimensions n'ont pas leurs raisons d'être. En ce qui me concerne, je suis mon propre témoin, je suis le rêveur conscient qu'il rêve, tout en faisant face à toutes les autres réalités, manifestées par la même présence éternelle, évoluant dans toute une diversité, ayant tous une réalité conforme à leurs niveaux de connaissances. Je suis le centre de mon propre univers, de ce rêve éphémère, de cette matrice, qui me renvoie une multitude de réalités infinie de ma propre création. Je suis l'observateur tout en étant l'observé. Il en est de même pour chacun, pour tous les êtres faisant face à la même matrice, mais percevant celle-ci selon un tout autre regard, compréhension.
En fait, en tant que présence éternelle, nous vivons une relation d'unité avec tout ce qui est, comme nous évoluons dans un corps humain, nous vivons cette relation émotionnelle avec toutes les réalités de la même présence éternelle, ce qui crée l'illusion de la différence, de la dualité et de la séparation, pour la simple raison que l'on se croit unique, mais qu'en fait, tout est la présence éternelle dans toute sa manifestation de réalités parallèles, qui constituent l'illusion parfaite, quel qu'en soient le temps, l'espace et dimensions. Pourquoi avons-nous des connexions, des canalisations, que nous vivons d'autres expériences dans d'autres réalités parallèles ? Pour la simple raison que cela fait partie de notre propre création et en tant que présence éternelle, dans toute sa diversité, nous le vivons tous différemment. Pourquoi, en est-il ainsi ? Nous avons chacun notre propre regard, nous vivons tous le même rêve éphémère, nous sommes tous le même rêveur. Qu'importe le niveau de conscience ou de connaissance, tout est toujours approprié à chacun car la présence éternelle se manifeste en tout, quelle que soit la réalité vécue par toute cette diversité, tout est toujours conforme, appropriée, orchestrée.
Voilà pourquoi, on dit que tout est toujours juste, toujours parfait, que l'on ne perçoit pas toujours en tant que présence éternelle incarnant le personnage de l'instant. Tout ça pour dire que tout est parfait, qu'importe le choix de vie de chacun, tout est juste, en ce qui me concerne, je suis l'observateur tout en étant l'observé. Je suis toujours en ce rêve, tout en y étant plus, la présence éternelle qui se reconnaît dans toutes ces réalités parallèles, ayant le même regard, celui de la lumière de l'amour, dénudé de tout concept, ce qui me ramène au centre, au point zéro. Je me libère de toute illusion, percevant que la présence éternelle. Qu'importe ce que l'on peut me dire, ce que l'on veut me faire croire ou ce que l'on veut me partager, tout ce qui vient de toutes ces réalités parallèles sont la manifestation de la même présence éternelle. J'accueille et j'accepte tout d'un même amour et que la paix éternelle se vit par la dissolution du rêve éphémère, du paraître, ce qui nous ramène à ce point zéro, à la présence éternelle, qui n'est pas assujetti à rien, là où tout est accompli. Je suis le rêveur réveillé, prenant connaissance que tout est illusion et que la seule réalité ne se trouve pas dans le rêve, mais bien dans l'éveil à sa vraie nature divine. La présence éternelle, libre de tout, dénudé de tout, dépouillé de tout. Qu'importe ce qui se passe dans toute cette matrice virtuelle, de toutes ces réalités parallèles, la seule réalité c'est le point zéro, là où tout est accompli et cela avant le rêve éphémère, avant toutes ces réalités parallèles, avant toute chose.
Il n'y a que par la dissolution de l'être, du paraître que l'on est en mesure d'intégrer et de vivre cette réalité qui est au-delà du rêve éphémère. Il n'y a rien à juger, ni à condamner, tout est juste, à chacun en tant que présence éternelle de comprendre que tout est son propre reflet, la même présence éternelle, que la dualité vient de l'identification au personnage au lieu de ce qui lui apporte le souffle de vie. Celui qui prend connaissance de ce qui est dit, sait que lorsque l'on vit cet éveil, c'est que tout n'est qu'illusion, qu'il n'y a que la présence éternelle. Qui que nous soyons, il n'y a rien à juger, car nous vivons tous une réalité qui nous est propre et conforme à ce que nous sommes venus vivre en tant que présence éternelle.
Auteur
Régis Raphaël Violette
