Un dilemme où tous et chacun ont à vivre
Pourquoi sommes-nous là en cet instant bien précis ? Ce soir, en train de relaxer, j'ai reçu cette inspiration de ma guidance intérieure, de cette présence éternelle. Comment pourrais-je la décrire ? Tout en relaxant, je me suis retrouvé face à un dilemme, qui frappe toute cette matrice quantique, ce rêve, cet éphémère. En gros ce que l'on considère comme étant réel, le paraître, qui est à l'origine de tous les concepts, de toutes les croyances, de tous les archétypes, religions, cultes ou autres conditionnements. En fait, quelle que soit la manifestation de la vie, conscience individuelle, collective, universelle ou quantique, tout se trouve être confronté à ce dilemme. Je vois parmi vous des êtres formidables, qui ont vécu des expériences extraordinaires, qui n'a rien à voir avec cette réalité, l'aspect multidimensionnel, se voir dans d'autres réalités, à être quelqu'un d'autre. Peu importe ce que nous avons expérimenté par la sortie hors du corps physique, voyageant dans l'éthérique, astrales ou autres sphères de conscience. Tout nous ramène à ce fameux dilemme. Regardons-nous un instant, où portons-nous notre regard, où donnons-nous de l'importance, à des expériences vécues dans la matrice quantique, à travers des canalisations, à travers des personnages dans d'autres dimensions ou autres réalités. Que faisons-nous de l'essentiel, de ce qui unifie tout en un, de ce qui permet de nous libérer des illusions de dualité et de séparation, qui nous permet de sortir de tous les concepts, archétypes et autres ? En fait il n'y a rien de réel, tout n'est que projection afin de dissoudre ce dilemme. Il est bien beau de partager son vécu, ses expériences, ce qui a permis le vrai éveil. Tant qu'il y a ce dilemme, y a-t-il vraiment cet éveil ? On pourra dire que nous sommes dans la joie, à festoyer, à chanter, à rire, à continuer à se raconter des histoires, à démontrer que nous sommes des êtres éveillés.
Pour un bref instant, on y croit, on est dans la joie incommensurable et merveilleuse, tout est beau, parfait, cela semble ne pas avoir de fin, le temps n'existe plus, seul l'instant est. Tôt ou tard, le temps nous rattrape, cette réalité n'a pas dit son dernier mot, faisant perdurer ce dilemme, nous voilà replongée dans l'éphémère, dans le rêve, on se laisse prendre au jeu. On constate, on reste calme, mais il y a cet aspect qui revendique son droit d'existence, tout en essayant de calmer le jeu. On lui donne pas trop d'importance, mais il rest un fait, le dilemme est toujours présent. On va me demander ce qu'est ce fameux dilemme. Il est cette fragmentation de la source présente dans l'éphémère, dans le rêve, qui participe à l'enfermement, à se raconter des histoires, à s'en rappeler, qui fait que renforcir le personnage. Par contre, l'être qui a vécu l'éveil, qui est sortie de cette matrice, sait que dans ce rêve, que tout est illusion, que tout est conçu à alimenter l'enfermement. Le dilemme c'est comment ne plus faire appel à ce personnage. que nous croyons et pensons être. On sait que tout est un, que du dernier jusqu'au premier tour vient de cette présence éternelle, qui est au-delà de cette matrice quantique et de tout ce qui est véhiculé comme concept et autres croyances. Le danger ce n'est pas cette matrice quantique, ni le temps, ni l'espace et les dimensions, c'est le dilemme avec le personnage, cette fragmentation de la présence éternelle qui ne fait que nous rappeler son existence. Et de l'autre nous sommes la présence éternelle, libre de tout concept, baignant dans la paix, dans la joie et dans l'amour éternel, libre de tout concept, aucune fragmentation, dans sa totalité.
Ce dilemme, nous ramène dans le jeu, on croit que tout ce qui se présente à nous, tout est là pour nous aider à transcender les dernières histoires à régler, à tout consumer par amour. Tant que nous restons dans le dilemme, à donner plus d'importance au personnage, à cette matrice quantique, cela ne fait que perdurer l'illusion. Tout dans ce monde, matrice quantique, ne fait que refléter sans cesse cette illusion, montrant notre reflet dans le miroir. Sommes-nous ce reflet ? Cela reste l'illusion, en fait nous sommes la présence éternelle, le tout en un. Comment vaincre ce dilemme, de cette représentation au personnage. à ce rêve ? En fait, nous sommes rien de ce qui appartient au rêve, à cet éphémère, quel que soit le nom qu'on se donne pour mettre une étiquette quelconque. Il n'y a que la présence éternelle qui se voit à travers le rêve dans toute sa fragmentation infinie. En continuant à se raconter des histoires, cela ne fait qu'alimenter l'illusion, juste prendre connaissance que nous sommes déjà accomplis, ne plus être dans l'attente de qui ou de quoi que ce soit. Le temps est venu de revendiquer notre vraie nature divine et en être la lumière. On a tendance à être dans la compassion, à apporter de l'aide, car tout dans cette matrice nous dévoile cette fragmentation qui crée l'illusion de dualité, de la séparation. Il suffit de voir un frère ou une soeur de lumière, ou une connaissance, voire même un étranger vivre l'illusion de dualité et de séparation, quel qu'en soit la conséquence encourue, que notre personnage rentre en action, tombe à nouveau dans le piège. De plus en plus d'être qui prend conscience de ce dilemme, voit ce grand tableau, comme étant à la fois le créateur tout en étant le tableau tout entier.
Il est difficile de ne pas succomber au jeu, pour la simple raison que tout est lié, que toute cette fragmentation a toute la même origine, en cette présence éternelle. Ques reste-t-il à faire ? Être au-dessus de toute cette illusion de dualité et de séparation, peu importe ce qui se passe dans le rêve, il n'y a qu'une seule vérité, et celle-ci est en notre cœur qui n'est pas assujetti à aucun concept, temps, espace et dimensions, qui n'a rien à voir avec la matrice quantique, tout n'est que la fragmentation, ce que l'on voit, constate, n'est que la présence éternelle sous une autre forme, conscience. Peu importe l'endroit, le temps, l'espace et dimension, toute cette diversité infinie en est la fragmentation. Qu'en fait nous sommes tous cette présence éternelle, du dernier jusqu'au premier, tout est un, présence éternelle au-delà de tout concept, traversant toute illusion par sa lumière et amour. Voilà, nous vivons ce dilemme, tout en vivant la dissolution de toute illusion, la traversant en étant à nouveau dans l'unification, baignant dans notre essence éternelle, l'amour.
Qu'on se le dise, nous sommes rien de ce qui vient de l'illusion de dualité et de séparation, de ce rêve, de cette matrice quantique, de cet enfermement, de tout ce qui est concept, archétype ou autres. Tout n'est qu'un costume, un voile infini cachant notre véritable nature divine. Le dilemme n'est que la transition, une conséquence de la dissolution. On remarque de plus en plus, que cela est un chemin de non-retour et que nous le voulons ou pas, la dissolution a lieu, quitter toute illusion, sortir du rêve, de cet enfermement. de se dénuder de tout, Juste, être la présence éternelle.