Tout est illusion, il y a que notre essence éternelle qui est avant toute création.
Ce que l'on pense réel est assujetti au temps, à l'espace et dimension, il n'est que de passage. L'être que l'on croit être, se trouve être semblable à une allumette, lors de la naissance, la vie s'enflamme et lorsque la vie quitte la forme, celle-ci n'est plus, seule la vie éternelle est. Peut-on lui attribuer une identification quelconque, un titre, un nom ou autres ? Non, parce qu'elle est avant toute création. Tout ce qui est assujetti au temps, à l'espace et dimension, n'est que passage, un cycle sans fin ou la vie enflamme et consume la forme pour laisser une trace de son passage dans le rêve éphémère, qui n'est qu'illusion. Réalise qu'en cet instant, le corps s'enflamme depuis sa naissance en ce monde, il vieillit, il dépérit, se trouve être consumé par la vie. Celle-ci continue, elle traverse le temps, l'espace et toutes les dimensions. Pour ceux qui continuent à s'identifier à la forme, qui se nourrissent des histoires, des formes consumés, ne réalisent pas qu'ils entretiennent les histoires, croyances, concepts et autres enfermements. Qu'importent leurs histoires, ils ont brillé le temps d'une existence, vivant ainsi l'illusion d'être la forme temporaire, oubliant ce qui a toujours été, cette essence éternelle qui est la vie, qui permet à la forme de s'exprimer, donnant l'illusion d'être quelqu'un, d'être important.
Qu'importe ce à quoi nous donnons de l'importance, en tant qu'être identifié aux histoires, à tous ces êtres consumés, rien n'existe vraiment, tout est illusion. Seule notre essence éternelle, qui unifie tout en un, car sans elle, ce serait le néant, rien dans le rêve ne pourrait être consumé par sa lumière, son amour dénudé de tout concept. Oublions ce qui fait de nous des êtres à part, cela n'est qu'illusion, nous sommes tous la même présence éternelle, cette essence qui est la vie, qui enflamme toute illusion, tout est consumé par son amour. Plus nous cherchons à être quelqu'un ou à vouloir être autre chose, plus la vie nous consume, plus il y a souffrance. Réalisons que nous sommes cette présence qui traverse le temps, l'espace et dimensions, par son amour. Être autre chose d'autres, c'est être dans les histoires, dans le rêve. N'oublions pas, la vie est tout autre quand on enflamme cette forme et tout ce qui est par notre amour, la joie, la paix en permanence, qui accueille et en accepte tout ce qui vient. C'est ainsi que nous traversons le temps, l'espace et dimensions, à ne plus être dans les histoires, à être la vie éternelle. Ne cherchons pas la cause de la souffrance, elle vient de l'ignorance, de cet aveuglement à ne pas reconnaître notre essence éternelle, la lumière de l'amour, de la vie éternelle. Quoi qu'il en soit, tout est consumé par notre essence éternelle, l'amour.
Présence éternelle
Régis Raphaël Violette
Ce que l'on pense réel est assujetti au temps, à l'espace et dimension, il n'est que de passage. L'être que l'on croit être, se trouve être semblable à une allumette, lors de la naissance, la vie s'enflamme et lorsque la vie quitte la forme, celle-ci n'est plus, seule la vie éternelle est. Peut-on lui attribuer une identification quelconque, un titre, un nom ou autres ? Non, parce qu'elle est avant toute création. Tout ce qui est assujetti au temps, à l'espace et dimension, n'est que passage, un cycle sans fin ou la vie enflamme et consume la forme pour laisser une trace de son passage dans le rêve éphémère, qui n'est qu'illusion. Réalise qu'en cet instant, le corps s'enflamme depuis sa naissance en ce monde, il vieillit, il dépérit, se trouve être consumé par la vie. Celle-ci continue, elle traverse le temps, l'espace et toutes les dimensions. Pour ceux qui continuent à s'identifier à la forme, qui se nourrissent des histoires, des formes consumés, ne réalisent pas qu'ils entretiennent les histoires, croyances, concepts et autres enfermements. Qu'importent leurs histoires, ils ont brillé le temps d'une existence, vivant ainsi l'illusion d'être la forme temporaire, oubliant ce qui a toujours été, cette essence éternelle qui est la vie, qui permet à la forme de s'exprimer, donnant l'illusion d'être quelqu'un, d'être important.
Qu'importe ce à quoi nous donnons de l'importance, en tant qu'être identifié aux histoires, à tous ces êtres consumés, rien n'existe vraiment, tout est illusion. Seule notre essence éternelle, qui unifie tout en un, car sans elle, ce serait le néant, rien dans le rêve ne pourrait être consumé par sa lumière, son amour dénudé de tout concept. Oublions ce qui fait de nous des êtres à part, cela n'est qu'illusion, nous sommes tous la même présence éternelle, cette essence qui est la vie, qui enflamme toute illusion, tout est consumé par son amour. Plus nous cherchons à être quelqu'un ou à vouloir être autre chose, plus la vie nous consume, plus il y a souffrance. Réalisons que nous sommes cette présence qui traverse le temps, l'espace et dimensions, par son amour. Être autre chose d'autres, c'est être dans les histoires, dans le rêve. N'oublions pas, la vie est tout autre quand on enflamme cette forme et tout ce qui est par notre amour, la joie, la paix en permanence, qui accueille et en accepte tout ce qui vient. C'est ainsi que nous traversons le temps, l'espace et dimensions, à ne plus être dans les histoires, à être la vie éternelle. Ne cherchons pas la cause de la souffrance, elle vient de l'ignorance, de cet aveuglement à ne pas reconnaître notre essence éternelle, la lumière de l'amour, de la vie éternelle. Quoi qu'il en soit, tout est consumé par notre essence éternelle, l'amour.
Présence éternelle
Régis Raphaël Violette
