mardi 24 mars 2020

En tout temps, nous pouvons éteindre la télévision ...

En tout temps, nous pouvons éteindre la télévision ...

En tout temps, nous pouvons éteindre la télévision, pourquoi ne pas faire de même avec ce qui se présente sur le grand écran de la vie ? Explication dans le message qui suit. Sans vouloir offenser quiconque, qui exprime sa propre vérité. La seule issue est de renaître dans sa vraie nature divine, en l'amour absolu. Avons-nous besoin d'un autre corps que celui que nous occupons en ce moment ? Non, pour la simple raison que nous avons déjà tout, mais pour laisser agir notre vraie nature divine, celui-ci ne doit pas être voilée par le contenu du mental, par les pensées qui nourrissent les peurs, les croyances et autres enfermements. Une chose simple à faire, cela demande aucun effort, ne plus donner aucune importance aux pensées qui peuvent subvenir, être en silence, tout ignorer, juste être dans la joie, dans la paix du cœur, laisser jaillir de notre cœur cet amour absolu qui accompagne, accueille, accepte et aime tout avec le même amour. Cessons de regarder ce qui se passe sur le grand écran de la vie, qui nous maintient captifs, qui ne fait qu'alimenter les peurs, les malentendus, redevenons au moment même ce que nous étions avant de regarder l'écran de la vie, de ce qui se manifeste au non-manifesté. Imaginons que ce monde, cet univers, tout ce qui est présenté comme la réalité, comme étant de nombreux diffuseurs sur l'écran de télévision. Que faisons-nous pour être dans le silence avec nous-mêmes, pour être en paix, pour trouver notre tranquillité, nous éteignons la télévision. Au lieu de l'éteindre ce qui se présente devant nous, agissons comme tel, accompagnons, accueillons, acceptons et aimons tout avec le même amour. Ce qui alimentait les peurs n'est plus, consumé par le feu sacré de l'amour. Il est normal d'avoir peur pour celui qui a oublié, car celui qui se souvient sait que nous sommes l'essence éternelle de la lumière de l'amour, et que le reste n'est que projection dans le temps et dimension. Par Régis Raphaël Violette