La journée où j'ai arrêté de croire en ce monde, ce fut la plus grande révélation.
La journée où j'ai arrêté de croire en ce monde, j'ai commencé à vivre, à renaître, à m'aimer, à m'accepter et en m'accueillant tel que je suis dans cette forme qui me sert de faire l'apprentissage et l'expérience de ce que j'ai choisi d'expérimenter. Maintenant, j'accueille, j'accepte et j'aime tout d'un même amour, pour la simple raison que j'ai laissée tomber les croyances, les jugements, toutes les histoires de cette humanité, je laisse la vie être comme elle se présente en tout ce qui est... Je me suis jamais aussi bien senti de ma vie, d'être cette paix, cette joie, pourquoi ? Parce que j'ai décidé de me choisir, de sortir de tout enfermement, de m'aimer de cet amour incommensurable, de m'accepter et de m'accueillir dans toute expérience, dans tout apprentissage, tout d'un même amour. C'est ainsi que je me révèle et me dévoile en tout ce qui est notre vraie nature divine, la source de tout ce qui est. C'est l'amour ma véritable essence éternelle, la même qui se manifeste en tout, en chacun et en tout ce qui est... Ai-je peur de la mort ? Non, car j'ai décidé de vivre, de tout accepter, de tout accueillir et de tout aimer, tout ce qui se présente sur l'écran de la vie, car la vie me révèle et me dévoile qu'il n'y a rien qui meurt vraiment, ce qui n'est pas perceptible aux yeux, au sens et qui est ressenti et se vit par le cœur est notre essence éternelle, celle qui traverse le temps, l'espace, les dimensions et toutes formes de vie. Réjouissons-nous car le temps est illusoire, seule est de toute éternité ce que nous sommes en cet instant, la manifestation de la source originelle, l’intelligence de la lumière, l'amour absolu qui consume toute illusion, le paraître par son amour éternel. Par Régis Raphaël VioletteNote de l'auteur
Il n'en tient à chacun de se souvenir qu'il est la plus grande révélation qui soit, l'amour absolu, ce que nous sommes de toute éternité, l'essence éternelle.