🌞✨💖🙏Réponses à ceux et celles qui ne veulent pas voir ce qui est antérieur à toute création, prisonnier de leurs propres enfermements.
Encore du jugement, tu as toutes les réponses et tu ne veux pas voir ce qui est pourtant est devant ton nez. J’ai vécu la souffrance, toutes les blessures de l’âme, qui sont le rejet, l’humiliation, l’abandon, la trahison et l’injustice. Je te dis en toute humilité, lorsque j’ai arrêté d’alimenter ces souffrances, la provenance de celles-ci, que j’ai arrêté d’accusé ceux et celles qui m’ont fait souffrir par leurs actions, leurs paroles, leurs méchancetés, que j’ai réalisé que je me faisais du mal à moi-même. Est-ce que tu comprends la notion d’unité où tout est un, l’un en tout ? Qu’importent les explications, je te donne des solutions mais tu restes de marbre, attendant que tu sois sauvé par un sauveur. Je ne suis pas un sauveur, ni un bourreau et ni une victime, tout ce que je te dis est mon vécu, mon expérience qui m’a permis de faire le pardon, de pardonner l’impardonnable, à comprendre qu’en fait que je me pardonnais à moi-même puisque tout est notre reflet, puisque nous sommes tous la même présence éternelle, qui est antérieure à toute création. Qu’importe que tu trouves mon discours de décevant, cela n’est que ta propre image. Je ne peux pas faire le chemin pour toi car tu as ton propre chemin à faire, à toi de vaincre tes peurs, ta souffrance et ton manque d’amour. En fait tu fais face à tes propres illusions, ne cherchent pas de coupables, il n’est que ton propre regard, l’observateur qui se regarde. La vie, l’intelligence de lumière te feront vivre cette dissolution de ton personnage afin que tu endosses la lumière de l’amour dénué de tout concept. En attendant, je te souhaite que le meilleur dans cette démarche qui est la tienne. Pour ma part, je suis en paix, en joie et dans cet amour qui aime tout d’un même amour.
Ce que tu appelles l’éther, l’astral, le bas où le haut, quelle que soit la dimension, l’univers parallèle où autre, tout fait partie de l’illusion. Tu es aveuglé par tes propres croyances, concepts et autres enfermements, tu ne te rends même pas compte que tu es ton propre geôlier. Tu voudrais que je te nourrisse, que je t’alimente de toutes ces illusions, non je vais quand même te révéler cette humble vérité, le plus grand cadeau, présent qui t’est servi sur un plateau d’or que nous ne sommes pas la conscience, ni la forme, ni quoi que ce soit qui vient de l’éther, de l’astral où des univers parallèles où de toutes autres créations, dimensions, ne comprends-tu pas que tout est là pour que tu restes piégé dans cet enfermement, mais bon cela fait partie de ton apprentissage. Qu’importent tes jugements à mon égard, tes offenses, ils ne sont que le reflet de ta propre personnalité. Pour moi, tu es cette présence éternelle qui s’ignore et qui s’identifie à ce qu’il croit et pense être comme étant sa réalité illusoire. J’ai un amour éternel, dénué de tout concept envers l’être que tu es pour la simple raison que tout est un et que je suis aussi toi dans la réalité qui est tienne.
Régis Raphaël Violette
Note de l’auteur
Tant que nous cherchons la vérité à l’extérieur de soi, nous restons sous l’emprise de cet enfermement, qu’est le rêve éphémère, l’observateur qui ne sait pas qu’il s’observe, interprétant tout selon ce qu’il croit et pense être. La vérité n’est pas de ce monde, ni d’aucune création, elle est antérieure à toute création, dimension, elle est notre essence éternelle de toute éternité, en cet amour dénué de tout concept, voilà ce que nous sommes. Nous accompagnons la forme à révéler et dévoiler cette lumière qui libère de toute illusion, d’enfermement. Nous sommes venus consumer toute illusion de dualité et de séparation par le feu sacré de l’amour. Soyons l’observateur qui s’observe consumant tout par amour dénué de tout concept, afin de vivre cette dissolution et n’être qu’à travers la forme cet instrument qui aime tout d’un même amour. En fait, nous n’avons jamais quitté la source originelle, Dieu, la présence éternelle.
Tant que nous cherchons la vérité à l’extérieur de soi, nous restons sous l’emprise de cet enfermement, qu’est le rêve éphémère, l’observateur qui ne sait pas qu’il s’observe, interprétant tout selon ce qu’il croit et pense être. La vérité n’est pas de ce monde, ni d’aucune création, elle est antérieure à toute création, dimension, elle est notre essence éternelle de toute éternité, en cet amour dénué de tout concept, voilà ce que nous sommes. Nous accompagnons la forme à révéler et dévoiler cette lumière qui libère de toute illusion, d’enfermement. Nous sommes venus consumer toute illusion de dualité et de séparation par le feu sacré de l’amour. Soyons l’observateur qui s’observe consumant tout par amour dénué de tout concept, afin de vivre cette dissolution et n’être qu’à travers la forme cet instrument qui aime tout d’un même amour. En fait, nous n’avons jamais quitté la source originelle, Dieu, la présence éternelle.