Une seule vérité indéniable, ce que nous sommes de toute éternité

Surtout, pour comprendre que nous ne sommes pas seulement ce véhicule humain qui sert d'ancrage à ce monde illusoire, au rêve éphémère, considéré par la grande majorité comme réel, car tout se passe dans le temps, l'espace et les dimensions. Peu importe ce qui se passe dans le temps, l'espace, ainsi ce que nous expérimentons et apprenons de toute vie, de tout ce que nous vivons, tout est illusion. Il n'y a que l'éternel présent dans la lumière éternelle. Ce que la grande majorité croit être réel est l'expérience et l'apprentissage du rêve éphémère, sans se rendre compte qu'il en est le concepteur, l'intelligence absolue de la lumière qui expérimente tout et sans aucune exception. Celui qui vit l'éveil, et je suis ici pour en témoigner, pour révéler cette humble vérité. Comprenez-vous que dans le rêve éphémère, il n'y a que celui qui se regarde à travers cet univers de dimensions, d'espace-temps, de formes et de voiles ? Peu importe ce qui est manifesté sur le grand écran de l'éternel présent, tout est vécu par le même rêveur, créateur. Qu'en fait il n'y a que la lumière éternelle dans la lumière de l'amour absolu dans l'éternel présent, qui accompagne, accueille, accepte et aime tout en consumant tout par le feu sacré de l'amour absolu. Celui qui ne s'identifie qu'à sa forme humaine, n'a pas ce regard, prisonnier de ce qu'il croit et pense être, puisqu'il croit être conçu d'une mère et d'un père, ne se rendant pas compte qu'il n'est jamais né, qu'il est la lumière éternelle qui se manifeste à travers ce véhicule de lumière, contribuant à provoquer cet éveil. Il n'y a pas de rôle bon ou mauvais, tout est juste, tout a son but et tout contribue au plan divin, qui est de sortir du rêve éphémère, d'être dépouillé de toute identification n'être que la lumière éternelle dans l'éternel présent. Qui consume tout par le pouvoir sacré de l'amour absolu, ne donnant plus aucune importance à toute illusion de dualité et de séparation, puisque tout est la manifestation de la lumière. Par Régis Raphaël Violette