mercredi 26 février 2020

Que puis-je citer comme exemple de cette vérité qui m'a été révélée ?

Que puis-je citer comme exemple de cette vérité qui m'a été révélée ?

Cette vérité unique qui n'a aucune connotation, aucune référence à ce qui a été transmis dans les enseignements de ce monde, dans les livres. Ce qui est drôle, c'est que je n'ai pas cherché cette vérité, elle est venue à moi et que depuis ma naissance dans ce monde, bien que précipitée pour que les liens qui unissent une mère à son enfant soient inexistants, de sorte que ma venue en ce monde a été coupée de ce lien mère-enfant, je me souviens que pour moi, le regard que j'avais devant mes parents, je voyais deux étrangers, cela ne m'a pas dérangé dans ma croissance personnelle, je suivais ma voix intérieure, parce que j'avais cette guidance intérieure, cette voix rassurante qui se manifestait à chaque occasion, que j'en ressentais le besoin, elle est toujours présente. Je me souviens que je ne pouvais pas me réunir à l'église avec mon père, que je m'évanouissais, c'était difficile pour moi à cette époque de sentir les gens qui fréquentaient l'église, ce n'était pas le fait que je n'acceptais pas ces gens, c'était ce qui en sortait, leurs vibrations, ne correspondaient pas de la conception que j'avais de l'amour. Je me souviens que mon père me demandait pourquoi, quand nous sommes dans l'église, assis sur un banc, tu t'évanouis, forçant mon père à me faire sortir de l'église. Je lui ai dit, père, je n'ai pas besoin d'aller à l'église, je communique déjà avec Dieu, Il est dans mon cœur, dans tout mon être comme Il est dans tout. Mon père a donc respecté ma réponse et m'a laissé cette liberté de vivre ma propre relation avec Dieu, de fréquenter l'église ou pas. J'ai toujours su que je n'avais pas ma place dans l'église, dans les religions, que pour moi il était naturel d'avoir une relation avec Dieu dans mon cœur, pour la simple raison que nous faisons un. Comme mon père n'était pas très présent et que ma mère se préoccupait plus d'elle-même que de ses propres enfants, sans vouloir juger son comportement. Je n'étais pas en colère contre elle ni contre mon père, je l'avais accepté dès mon plus jeune âge. Avant de l'accueillir, j'ai accepté ce que je vivais quand j'étais jeune, j'entendais souvent ma mère nous dire, lorsque nous étions à ces yeux un peut turbulent, à mon frère et à moi, que s'il y avait eu un moyen de contraception, nous ne serions même pas nés, car pour elle, nous étions des accidents, pas désirés bien sûr. Je me souviens de l'avoir regardé et de lui avoir dit, tu sais maman, puisque nous sommes ici, tu vas faire avec, à vivre face à la situation telle qu'elle est pour nous, c'était dit sans malice, au moins ça a remis les pendules à l'heure, une mise à niveau. Vers l'âge de onze ans, nous avons pu expérimenter une vraie relation entre père et ses enfants, pendant plus de deux ans, avec un colocataire qui louait une chambre. Je crois fermement que c'était un ange descendu du ciel, qu'il n'était pas là par hasard. pendant les vacances estivales, cet être merveilleux qui avait l'habitude de nous emmener avec lui, de faire des activités de plein air, d'aller à la pêche, de cueillir des framboises, des myrtilles (bleuets), des noisettes et de faire des balades en voiture, il était comme un père qui prenait plaisir à nous faire connaître ces activités, ces passions. Il n'est plus avec nous, il a eu un accident de travail et il est mort tragiquement, écrasé par plusieurs troncs d'arbre, il travaillait dans une usine de pâte et papier. Quand j'ai appris la nouvelle, qu'il avait eu un accident et qu'il en était mort, j'avais onze ans, je me souviens avoir eu quelques larmes et soudain une voix venant de mon cœur et de ma tête me disant ne pleure plus, je suis toujours en vie, je continue sur un autre plan, tout en étant avec toi et cela pour toujours. Depuis que j'ai vécu cette expérience de vie, je n'ai plus de larmes pour ceux qui quittent ce monde car je sais que la mort n'est qu'un passage, que la vie est éternelle. En fait, que puis-je donner comme exemple à part mon propre vécu ? En fait, nous sommes tous des exemples, peu importe ce que nous vivons, en tant qu'expérience dans ce monde, dans cet univers, du point de vue quantique, tout n'est qu'un passage, nous sommes la vie éternelle, semblable à cet être qui était comme un père, un ange descendu du ciel pour me faire vivre ce qu'il avait à me révéler, tel un instructeur. Il m'a dit qu'il serait toujours avec moi, même s'il continuait sur un autre plan, ce qui n'a rien à voir avec ce monde. Comprendre que tout est un, qu'il n'y a pas de bon ou de mauvais rôle parce que la vie orchestre tout par l'intelligence de la lumière pour nous faire voir, pour nous révéler cette vérité unique, que tout est un, que seul l'amour absolu révèle sa magnificence éternelle. Ai-je eu la chance de vivre toutes ces révélations ? Ce n'est pas une question de chance, car tout est juste et selon ce que nous venons vivre dans ce monde, tout est en place pour le révéler à chacun d'entre nous selon ce qui est destiné en tant qu'expérience et enseignement de ce que nous sommes de toute éternité. Est-il important de connaître le pourquoi et le comment de l'expérimentation de chacun, c'est-à-dire ce qui est bon et ce qui ne l'est pas ? Quand on a compris que nous sommes la vie éternelle, qui traverse, transcende le temps, comme si rien n'avait existé et que la seule chose importante est l'amour que nous avons pour nous-mêmes et pour tous ceux qui apparaissent sur le grand écran de la vie. Pourquoi ces expériences, ces apprentissages de la vie ? Juste pour nous révéler ce qui nous permet de faire l'expérience de la vie, parce que nous sommes la vie éternelle, la présence immaculée. Vous cherchez le pourquoi et le comment, ne cherchez rien parce que c'est par l'intelligence de la lumière que la vérité une se vit, le vrai éveil à sa divinité, le tout en un. Cette présence immaculée est notre nature divine et que tout ce qui est manifesté, tout ce que nous vivons, toutes ces vies, tous ces passages, toutes ces apparitions quelle que soit la dimension, la réalité ou d'autres plans de conscience, tout est pour nous révéler ce que nous sommes de toute éternité, notre nature divine en vivant ces expériences et ces apprentissages par l'amour absolu. Car le visage de l'amour n'est pas ce que l'on pense, ne pas se fier aux apparences, tout a son utilité. J'aurais pu continuer à partager avec vous mes propres expériences, je le fais déjà à travers les messages. Suis-je un enseignant ou autre chose ? Peu importe comment vous me percevez, je suis la même présence immaculée qui se manifeste en chacun de vous, et dans ce corps et dans tout ce qui est, tout vient de la vie éternelle, tout est un. Il n'y a rien à juger, rien à condamner, rien à comprendre avec le mental car tout est expérience et apprentissage de ce que nous sommes de toute éternité et qui est libre du temps, tout se vit avec le cœur unifié. Accompagnons, accueillions, acceptons et aimons tout avec le même amour. Rien ne nous quitte vraiment, tout est unifié, tout est toujours un, seul l'amour absolu nous libère de toute dualité et séparation, ce qui nous libère de l'ego, nous permettant d'aimer tout avec le même amour. J'ai le plaisir de vivre cela avec ma femme Sandra, cet amour absolu parfait, tout en accompagnant, accueillant, acceptant et aimant tout avec le même amour, nous libérant de toutes les expériences et apprentissages, en aimant la vie éternelle. Comme je l'ai déjà dit dans un de mes messages, nous ne sommes plus de ce monde, tout en étant là, percevant que la présence immaculée dans tout ce qui est. Tout ce que j'ai vécu et ce que je suis en train de vivre, je n'ai aucun regret, tout n'est que présent. qu'amour absolu. Par Régis Raphaël Violette