Sortez du rêve en libérant l'esprit de toutes les pensées, croyances et prétentions et vous comprendrez ce qui est partagé, sinon continuez à rêver, l'alpha et l'oméga, le début et la fin.
Je suis l'alpha et l'oméga, le début et la fin.
Sortez du rêve en libérant l'esprit de toutes les pensées, croyances et prétentions et vous comprendrez ce qui est partagé, sinon continuez à rêver, l'alpha et l'oméga, le début et la fin.
🌞✨💖🙏 Qui aurait cru que chacun est l'architecte de sa propre réalité, qu'il en est le concepteur, le créateur, l'auteur et maintenant l'acteur. C'est-à-dire, tout ce qui permet de révéler notre véritable nature divine.
Qui aurait cru que nous sommes responsables de ce monde, quelle que soit la réalité, la dimension ou autre. Le rêve de tous les possibles, la matrice temporelle est comme un miroir, qui ne projette en fait que ce que nous pensons, croyons et prétendons être réel, alors qu'il n'y a que l'éternel présent.
Certains ne pourront jamais dépasser le stade de l'acteur, ne pouvant imaginer être l'auteur, le concepteur, l'architecte, le créateur de ce qu'ils vivent en tant que vie éphémère. Ainsi ces acteurs contribuent à apporter la vérité absolue, car celui qui réalise qu'il n'est pas seulement l'acteur de sa vie éphémère, qu'il en est l'architecte, le concepteur, comprend la raison des expériences et des apprentissages en se référant aux pensées, aux croyances, aux prétentions. Pour pouvoir dépasser le stade de l'acteur, il faut s'interroger sur le pourquoi et le comment, comprendre que dans cette pièce qu'est la vie, tout a sa raison d'être, que tout est juste et que tout contribue à révéler une vérité plus grande.
L'homme a levé les yeux vers le ciel, vers les étoiles, tout en regardant vers le bas dans le sommeil, dans les rêves éveillés, dans les songes, dans les prémonitions, dans le déjà vu, dans les sorties astrales. En tout cas, l'homme navigue sur la mer de tous les possibles, étant l'observateur de plusieurs réalités, dimensions et autres, toujours avec un seul but, apprendre à se connaître à travers cette matrice temporelle, ce rêve éphémère de tous les possibles. Quand il se rend compte qu'il ne peut pas imposer, exiger, ordonner, soumettre, revendiquer, demander aux autres d'avoir le même regard, il réalise que tout est lié. On pourrait dire que certains ont un regard plus avisé, peut-être du point de vue de l'homme, qui croit, pense et prétend savoir, alors qu'il ignore sa véritable nature divine.
Sans vouloir juger qui que ce soit, il est facile d'imaginer que la grande majorité s'identifie à son miroir, que sont les pensées, les croyances et les prétentions, nul besoin d'être divin pour lire celui qui n'a pas dépassé le stade de l'acteur, toujours en conflit avec ses propres pensées, croyances et prétentions. Alors que celui qui réalise, qui comprend que tout est juste, que tout a sa raison d'être et que tout contribue à révéler la plus grande vérité qui soit. Cet être ne perd plus son temps à attaquer quelqu'un ou quelque chose. Il sait que chacun est la parfaite réalisation de ce qu'il vient accomplir en ce monde, qu'il n'y a pas de bon ou de mauvais rôle. Car c'est dans ce rêve éphémère, dans cette matrice temporelle que la vérité absolue se révèle à celui qui a une vision globale, parce qu'il voit en tout, toutes les possibilités, tous les possibles qui permettent d'apporter des changements, des révélations.
Lorsque l'être n'est plus imbu de sa personne, il n'est plus intimement persuadé de sa supériorité, pour la simple raison qu'il a compris que tout est lié, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, qu'il est à la fois l'alpha et l'oméga, le début et la fin. Il peut sembler très prestigieux, révélateur de dire que l'homme n'est pas que ce corps, mais la source absolue, dans laquelle l'intelligence de la lumière agit pour accomplir un rôle bien précis, sans lequel l'homme serait condamné de toute éternité à comprendre le pourquoi et le comment. C'est à travers les expériences et l'apprentissage des pensées, des croyances et des prétentions que l'homme est capable de lever le voile sur sa véritable nature divine, de ne pas juger ce qui peut être perçu comme impardonnable, inacceptable. Sans les opposés, il ne peut y avoir d'évolution.
La terre a des millions d'années, elle n'a pas toujours été cette belle planète que nous connaissons aujourd'hui, comme c'est le cas pour cet univers, quelle que soit la réalité, la dimension ou autre. En fait, on peut croire ce que l'on veut, penser et prétendre, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de réalité, de dimension ou autre, tout est la conception du mental, de l'esprit, de l'intelligence de la lumière, avec un seul but, que l'homme puisse consumer l'acteur qu'il croit être, afin de comprendre qu'il est le créateur, l'architecte, le concepteur de cette matrice temporelle, de ce rêve éphémère, qu'il est à la fois l'alpha et l'oméga, le début et la fin. Pour certaines personnes, ces mots dépassent l'entendement pour la simple raison qu'elles ne peuvent pas concevoir qu'elles sont les concepteurs de leur vie éphémère, avec tous les conflits, les malentendus, les pourquoi et les comment, pour leurs raisons d'être.
On peut toujours jouer la victime, se défouler sur ce monde, en jugeant, critiquant, condamnant, consciemment ou non, chacun contribue à révéler cette vérité absolue. Car celui qui a su consumer son personnage sait que tout est juste dans ce rêve éphémère, qu'il y a un début à tout comme il y a une fin.
Alors, qui que vous soyez, vous êtes ce que vous venez accomplir avec un seul but, mettre fin à ce rêve éphémère et que seul le véritable amour est de toute éternité, libre de toute pensée, croyance et prétention, la source absolue. Quel que soit le rôle de chacun, il n'est que l'accomplissement de l'intelligence de la lumière, la source absolue. Cela peut vous paraître insensé, mais il n'y a jamais eu de réalité, dimension ou autre, que la lumière de la source absolue. Sortez du rêve en libérant l'esprit de toutes les pensées, croyances et prétentions et vous comprendrez ce qui est partagé, sinon continuez à rêver, l'alpha et l'oméga, le début et la fin.
Par Régis Raphaël Violette