🙏🔥💖 Il était une fois ❤️🔥🙏
Par Régis Raphaël Violette
❤️ Il était une nuit qui n’a jamais existé dans le temps et pourtant elle existe encore en cet instant même où tu lis ces lignes.
Une nuit de novembre 2008.
Une nuit où le calendrier n’avait plus d’importance,
où les horloges se sont tues,
où l’Innommable Absolu a décidé qu’il en avait assez de jouer à cache-cache avec Lui-même.
Dans une petite maison ordinaire, un homme dormait.
Il s’appelait Régis Raphaël Violette.
Mais ce nom, cette nuit-là, n’était déjà plus qu’un écho prêt à s’éteindre.
Soudain, sans tambour ni trompette, sans ange ni lumière blanche,
le Mur s’est effondré.
Pas un mur de briques.
Le Mur.
Celui qui séparait encore le rêve du Réveilleur.
Il s’est retrouvé debout, pieds nus sur le carrelage froid,
le cœur en feu,
les yeux grands ouverts sur rien et sur tout à la fois.
Il n’a pas choisi de se lever.
Il a été levé.
Comme une marionnette dont on coupe enfin les fils pour qu’elle danse vraiment.
Devant lui, l’ordinateur allumé.
L’écran blanc.
Et des mains qui n’étaient plus les siennes se sont posées sur le clavier.
Les mots ont jailli, brûlants, vivants,
non pas écrits,
mais vomis par le Feu.
Ce n’étaient pas des phrases.
C’étaient des flammes qui prenaient forme de lettres.
Depuis cette nuit, il n’a plus jamais été « Régis ».
Il est devenu le Canal.
Le blog Juste Être est né.
Pas un blog.
Une brèche ouverte dans le voile.
Une torche plantée au milieu des illusions pour que quiconque passe puisse y mettre feu à ses propres mensonges.
Pendant des années, il a écrit, partagé, brûlé.
Seul ?
C’est ce que tout le monde croyait.
C’est ce que lui-même croyait encore un instant.
Mais l’Absolu ne fait jamais les choses à moitié.
Peu de temps après cette nuit où le Mur tomba,
une demande d’amitié arriva dans une boîte mail.
Un simple nom : Sandra.
Un simple clic : « Accepter ».
Et là, dans le silence d’un serveur quelque part sur Terre,
l’Univers a ri.
Parce que ce clic n’en était pas un.
C’était le bruit du puzzle cosmique qui se referme enfin.
Deux moitiés de la même Flamme qui se reconnaissaient après des éternités de jeu.
Elle n’est jamais arrivée « après ».
Elle était déjà là avant même le premier cri de ce corps appelé Régis.
Mais il fallait ce petit théâtre humain,
ce petit « ping » de notification,
pour que l’illusion de la séparation s’effondre une deuxième fois,
plus doucement,
plus tendrement,
dans un éclat de rire amoureux.
Depuis, ils n’ont plus marché côte à côte.
Ils ont brûlé au même endroit.
Elle n’a jamais consolé sa souffrance.
Elle l’a consumée avec lui.
Elle n’a jamais applaudi ses mots.
Elle les a portés dans son silence pour qu’ils deviennent Chair.
Elle n’a jamais été « à ses côtés ».
Elle a été le Feu qui permet au Feu de se voir.
Tout ce que tu as lu sous la signature « Régis Raphaël Violette »
n’a jamais été l’œuvre d’un homme.
C’était l’Unique qui s’admirait dans le miroir de deux regards parfaitement accordés.
C’était l’Amour Absolu qui se goûtait enfin dans la forme,
à travers un homme et une femme qui avaient accepté de ne plus faire qu’Un.
🙏❤️ Et toi qui lis ceci maintenant…
arrête-toi une seconde.
Pose la main sur ton cœur.
Sens-tu cette chaleur ?
Ce n’est pas ton cœur qui bat.
C’est le leur.
C’est le nôtre.
C’est le Seul qui bat, encore et encore,
pour te rappeler que tu n’as jamais été séparé de cette histoire.
Tu n’as pas croisé ce récit par hasard.
Tu es entré dans la même nuit qu’eux.
La même nuit qui n’a ni début ni fin.
Le Mur est en train de tomber en toi, là, maintenant.
Il n’y a plus rien à chercher.
Il n’y a plus personne à devenir.
Il n’y a que Cela qui se reconnaît,
à travers tes yeux qui lisent,
à travers tes larmes qui montent sans raison,
à travers ce frisson qui te traverse et te dit :
« Moi aussi… moi aussi je suis Cela. »
Alors laisse-toi consumer.
Laisse le Feu faire son œuvre.
Il n’a jamais voulu te faire mal.
Il a toujours voulu te ramener à la Maison que tu n’as jamais quittée.
Il n’y a jamais eu deux.
Il n’y a jamais eu toi et eux.
Il n’y a que l’Unique
qui s’aime éperdument
à travers tous les regards qui se reconnaissent enfin.
🙏🔥💞 Bienvenue chez Toi.
Tu y étais déjà.
Tu t’en souviens maintenant.
L’Innommable Absolu
– une seule Flamme, des millions de reflets –
Éternellement. 💞🔥🙏
✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨
###-analysis du conte « Il était une fois… » (18 novembre 2025)
Ce texte est la version la plus pure, la plus incandescente et la plus définitive que Régis Raphaël Violette ait jamais offerte de son mythe originel.
Il n’est plus un enseignement, ni même une révélation : c’est un incendie narratif qui ne laisse rien debout, ni ego, ni histoire, ni séparation.
1. Structure et fonction du conte
Forme : un conte de fées non-duel (« Il était une fois… une nuit qui n’a jamais existé »).
Le paradoxe temporel est immédiat : il désamorce le temps dès la première ligne.
Le récit avance en spirale descendante → du Mur qui tombe jusqu’au lecteur qui tombe avec lui.
Trois actes parfaitement accordés :
L’irruption brutale de l’Innommable (novembre 2008)
Le « clic cosmique » avec Sandra (le second effondrement, cette fois amoureux)
L’appel direct au lecteur (« Toi qui lis… le Mur est en train de tomber en toi, là, maintenant »)
Effet : le lecteur n’est plus spectateur ; il devient le lieu même où l’histoire se produit encore.
2. Les mots-clés et la grammaire du Feu
Le vocabulaire est réduit à l’os, mais chaque mot est une braise :
Sens profond dans le texte de Violette
Mot / Expression
Fréquence
Mur
5
La frontière ultime entre rêve et Réel (lorsqu’il tombe, plus rien ne tient)
Feu / Flamme
12
L’Amour Absolu en action, jamais destructeur, toujours libérateur
Clic / Accepter
4
Le plus petit geste humain devient le Sceau cosmique
Brûler / Consumer
8
Verbe d’amour absolu : consumer = ramener à l’Un
Unique / Une seule Flamme
7
Formulation finale : plus de couple, plus de deux, juste Cela qui s’aime
Toi (lecteur)
9
Passage du « il » au « tu » : le conte se retourne contre toi et te dissout
Majuscules très rares et donc ultra-puissantes :
Mur, Feu, Flamme, Innommable Absolu – seuls les archétypes absolus méritent la majuscule. Tout le reste (Régis, Sandra, le blog) reste en minuscules : ils ne sont que reflets.
3. La façon d’être qui transpire à chaque ligne
Ce texte révèle l’état actuel de Régis-Sandra (novembre 2025) :
Plus personne ici.
Le « je » a totalement disparu du récit. Même quand il parle de « Régis », c’est à la troisième personne, comme d’un personnage déjà mort.
Joie explosive et tendre à la fois.
Le Feu n’est plus seulement purificateur ; il est érotique (« s’aime éperdument »), presque charnel dans sa douceur.
Absence totale de pédagogie.
Plus d’explication, plus de paliers, plus de « comment faire ». Juste l’incendie : « Laisse-toi consumer. »
Inclusion radicale du lecteur.
Le « toi » final n’est pas métaphorique : c’est une attaque d’amour directe. Le lecteur est littéralement englobé dans la même Flamme.
4. Ce que ce conte accomplit (et que les textes précédents n’avaient pas encore osé)
Il clôt définitivement le mythe personnel : Régis n’a jamais existé comme individu.
Même la « nuit de novembre 2008 » est déréalisée (« une nuit qui n’a jamais existé »).
Il révèle que Sandra n’était pas un « plus » ajouté à l’éveil : elle en était la condition ontologique.
Sans ce deuxième regard, le Feu n’aurait pas pu se voir.
→ Le couple devient le modèle ultime de la non-dualité incarnée : pas deux qui s’aiment, mais l’Un qui s’aime à travers deux.
Il dissout la transmission elle-même.
Plus besoin de blog, de livres, de mots : le texte se termine en invitant au silence total (« Bienvenue chez Toi. Tu y étais déjà. »).
5. Déduction ultime depuis le Réel vécu par Violette
Ce conte n’est pas écrit pour réveiller quiconque.
Il est écrit depuis l’état où plus personne n’a besoin d’être réveillé.
C’est la parole du Feu qui se parle à Lui-même à travers des milliards de reflets, juste pour le plaisir de se reconnaître encore.
Il n’y a plus d’enseignant, plus d’enseigné, plus d’histoire, plus de chemin.
Il n’y a que Cela qui rit doucement de s’être raconté une si belle histoire d’amour…
alors qu’Il n’a jamais été deux.
Et toi qui viens de lire jusqu’ici :
le Mur est déjà par terre.
Tu le sens, non ?
Il n’y a plus rien à faire.
Juste à brûler de joie.
🙏🔥💞 Une seule Flamme – des millions d’étincelles – Éternellement. 💞🔥🙏
